TURQUIE/ Le président de la république approuve la conversion d’une église en mosquée

 Le président turc Recep Tayyip Erdogan a accepté la conversion de l’église orthodoxe Saint-Sauveur-in-Chora d’Istanbul en mosquée le 13 mai 2024. L’ordre de cette transformation date d’août 2020, un mois après la réouverture au culte musulman de l’ancienne basilique Sainte-Sophie.

Après la basilique Sainte-Sophie, c’est désormais l’église Saint-Sauveur-in-Chora d’Istanbul, trésor du patrimoine byzantin qui est converti en mosquée malgré les réclamations et le « mécontentement » d’Athènes.

Le chef de l’État turc, qui recevait à Ankara le Premier ministre grec Kyriakos Mitsotakis, est passé outre les appels de ce dernier à revenir sur cette décision qui irrite le monde orthodoxe.

 « La mosquée de Kariye (son nom turc, N.D.L.R.) dans sa nouvelle identité reste ouverte à tous », a insisté le président Erdogan devant la presse et au côté du dirigeant grec. « Comme je l’ai dit au Premier ministre (grec, N.D.L.R.), nous avons ouvert notre mosquée Kariye au culte et aux visites après un travail de restauration minutieux conformément à la décision que nous avons prise en 2020 », a-t-il insisté.

« J’ai eu l’occasion de discuter avec M. Erdogan de la conversion de l’église Saint-Sauveur-in-Chora et je lui ai exprimé mon mécontentement » a fait valoir en retour Kyriakos Mistotakis. « Il est au moins très important de préserver la valeur culturelle unique de ce monument, inscrit au patrimoine mondial de l’Unesco, afin qu’il puisse rester accessible à tous les visiteurs » a-t-il insisté.

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M. Erdogan avait lui aussi souligné « la grande importance » qu’il attache « à la protection de chaque monument qui constitue un bien du patrimoine culturel de l’Unesco et à le rendre accessible au bénéfice de notre nation et de toute l’humanité ».

Les deux dirigeants ont néanmoins entamé après des décennies de tensions et de malentendus un processus de normalisation de leurs relations que Recep Tayyip Erdogan a salué.

Belphine Konan

Source : la croix

MME YAPO AYA KAN MARINA : Mordue par un cobra, Dieu m’a miraculeusement guérie

« Ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris » Marc 16:18. Ce passage des Saintes Ecritures a trouvé son accomplissement dans la vie de la sœur Marina Yapo. Voici son témoignage.

Je suis heureuse de l’occasion qui m’est donnée pour rendre ce témoignage à la gloire de notre Seigneur Jésus- Christ. Comme il est de coutume à Perestaur, communauté chrétiennes à laquelle j’appartiens, mon mari et moi, nous rendions à la veillée de prière un vendredi soir. C’était le programme que le Pasteur avait élaboré pour l’année 2016. Donc chaque c vendredi, nous tenions ces veillées. Chemin faisant, comme le temps était sombre, je prenais mes précautions. Et ce, pour ne pas être surprise par un insecte ou par un reptile quelconque. Je regardais tout le temps autour de moi.

La morsure du cobra

Nous étions presqu’arrivés à l’église, quand soudain, j’ai senti une présence étrangère au niveau de mon pied droit. J’ai donc balancé le pied, toute apeurée, et je me suis écriée : « qu’est-ce que c’est ? ». Mon mari me voyant affolée, m’a demandée ce qui se passait. Lorsqu’il jeta un coup d’œil, il vit le reptile se faufiler dans la broussaille. Et il m’a dit que c’était un serpent, précisément un cobra. Quand j’ai entendu cela, j’ai eu peur. Dans la panique, nous nous sommes mis à courir pour atteindre l’église.

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La prière du Pasteur Kignelman

Une fois là-bas, nous avons fait part de cela au Pasteur Kignelman. Alors, il nous recommanda de nous éloigner du temple, et me dit : « ma fille n’aie pas peur car ceci est un petit problème. Le Seigneur va prendre contrôle de la situation ». Ensuite, il m’a demandée de lui indiquer la partie qui a subi la morsure. Et moi de lui montrer le petit orteil de mon pied droit. Il m’y imposa la main et fit une prière. Suite à cela, le Pasteur se proposa de nous conduire à l’hôpital à bord de son véhicule. Ainsi, nous nous sommes rendus dans un petit hôpital, au niveau d’Angré au terminus 81. Arrivés là-bas, j’avais du mal à marcher car la douleur était atroce. Les médecins nous ont fait savoir qu’ils ne pouvaient pas traiter ce cas de morsure de serpent dans leurs locaux. Sur ce, nous nous sommes vus dans l’obligation d’aller au CHU sous leur recommandation. Nous y sommes arrivés aux environs de minuit. Ils m’ont rapidement admise aux urgences. J’étais anxieuse, voyant toutes ces personnes connectées à des appareils sanitaires. Pour eux, mon cas était critique. Raison pour laquelle il fallait qu’on m’admette dans une salle où il y avait des appareils. Et ce, pour me réanimer au cas où je tomberais dans le coma. Tout autour de moi, c’était des personnes dans le coma. Les médecins ont prescrit l’ordonnance et mon mari a acheté les médicaments pour commencer les premiers soins.

Par la suite, ils sont revenus encore me voir au petit matin, me rassurant que les premiers soins avaient été faits.

Les médecins perplexes face aux résultats des examens sanguins

Ils m’ont aussi expliqué que souvent, pour ce genre de cas, le sang est infecté. Ils ont donc opté pour une analyse de sang afin de voir les dégâts causés par le venin dans mon corps. Ils ont fait un prélèvement pour effectuer les différents examens. Les résultats furent disponibles aux environs de 11 heures. Le médecin, chargé de suivre mon état de santé, fut très étonné, en observant les résultats des examens. Il n’y avait aucune portion de venin dans mon sang. Le venin avait disparu. Et le docteur de me dire: « qu’as- tu fais ?» et moi de lui répondre que c’est le Seigneur Jésus-Christ qui m’a guérie. Le médecin m’a confessé que ce qui s’est produit, est vraiment rare; car dit-il, pour les cas de morsure de serpent, il y a toujours du venin contenu dans le sang. Et que cela nécessite des traitements approfondis pour totalement en venir à bout.

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Dieu a totalement restauré ma jambe

Tous m’ont dit : « le Dieu que tu pries, est fort ». Et moi de réitérer que le Dieu que je prie, est avec moi. Donc, ils nous ont délivré un papier pour ma sortie de l’hôpital. Malgré cela, toute ma jambe droite était quasiment enflée. Nous sommes rentrés à la maison, toujours accompagnés de notre berger. Il a encore prié et s’est adressé à moi en ces termes : «  ma fille, le Seigneur a déjà fait et ces marques que tu vois, vont disparaitre ». Pendant une semaine, il passait régulièrement à la maison pour prier pour moi. J’éprouvais du mal à me tenir sur le pied. Cependant, avant que la semaine ne fusse écoulée, l’enflure avait diminué. J’ai retrouvé le bon usage de mon pied. Je bénis le nom du Seigneur pour ce miracle.

Belphine Konan

Abidjan: L’église CMA organise une journée de prières pour le retour des valeurs fondamentales dans les familles.

L’église CMA a organisé une journée de prières pour le retour des valeurs fondamentales dans les familles ce samedi 14 octobre  2023  à cocody au sein du stade de l’Université Félix Houphouët-Boigny.

Inscrite dans le cadre de la 2e édition de la Semaine de la famille et autour du thème « Bâtissons une famille saine, socle de la société », cette journée a servi de lucarne pour tirer la sonnette d’alarme sur la dégénérescence et les dysfonctionnements de la vie sociale, notamment le taux de divorces estimé à 40,70%, 4224 cas de violences conjugales et 10.968 enfants en situation de rue, selon le quatrième annuaire statistique 2022 publié par le ministère de la Femme, de la Famille et de l’Enfant.

Le président de l’église CMA, Rév. Dr Noël N’guessan, a fait des recommandations tant aux autorités étatiques qu’aux parents et à l’ensemble de l’église en Côte d’Ivoire. Il s’agit entre autres, de la révision des émissions diffusées sur la chaîne nationale principalement celles dédiées aux enfants, de plus de vigilance des législateurs sur les dépravations sexuelles et contre-nature dont l’homosexualité, de plus de responsabilité des géniteurs dans l’encadrement de leurs progénitures.

Pour lui, toutes ces dérives sociales sont le fait de la fragilité familiale. D’où la nécessité de cette initiative pour un secours divin dans le rétablissement des normes pour une société épanouie et prospère.

Le surintendant de la région d’Abidjan 2, le pasteur Jacques Koumi, a estimé que ce déséquilibre social dû à la fragilité de la famille est le résultat d’une confusion des rôles entre les membres qui la composent et s’est engagé à être un relais auprès des siens.

La 2e édition de la célébration de la famille organisée de façon éclatée sur toute l’étendue du territoire ivoirien, a été meublée par des formations des pasteurs sur des thématiques telles que « L’état des familles dans notre nation » et « La vision de Dieu pour la famille ». Près de 3 250 fidèles ont participes à cette journée.

Source: AIP

Krismel Bamba

 Nigeria : un pasteur met le feu sur sa fidèle lors d’une séance de délivrance

Sukura Owodunni, une femme de 21 ans, a été incendiée par le pasteur Taiwo Odebiyi  pendant une séance de délivrance le 17 aout 2023 dans La paroisse de Chérubins et Séraphins Maberu située à Offin, dans la région de Sagamu, dans l’État d’Ogun.


L’incident s’est produit après que Owodunni s’est rendue à l’église pour une prière spéciale à l’invitation du pasteur.
Le pasteur avait demandé à Owodunni d’acheter le parfum Amazing Grace, des œufs locaux et une bougie pour la prière spéciale. Pendant la prière, le pasteur versa le parfum sur la femme et alluma la bougie. Owodunni a immédiatement pris feu, subissant de graves brûlures à la poitrine, à l’épaule et aux jambes.

Un témoin oculaire aurait déclaré que le pasteur avait été arrêté peu de temps après l’arrivée du responsable de la police divisionnaire d’Adigbe, le CSP Abdulfattah Ogunsanya, et de son équipe dans les locaux de l’église. SP Omolola Odutola, responsable des relations publiques de la police d’État, a déclaré qu’une enquête plus approfondie avait été ouverte pour comprendre les circonstances de l’affaire.

« La dame aurait été abandonnée pour subvenir à ses frais médicaux après l’incident. La victime a été transportée à l’hôpital pour des soins médicaux », a déclaré Odutola. 

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Belphine Konan

PASKISTAN : Une journée de prières organisées par des chrétiens après les violences.

Pour l’harmonie interreligieuse et pour dire non à toute forme de violence, une journée de prières a été organisée ce dimanches 20 Août 2023  par des chrétiens après les violences au Pendjab dans l’Est du Pakistan.

Ces derniers jours, contre les églises et les habitations de chrétiens, et après l’arrestation de deux d’entre eux accusés de blasphème, à Jaranwala, dans la banlieue de Faisalaba, dans le Pendjab pakistanais. «Tous les chrétiens et les personnes de bonne volonté sont invités à observer cette journée de prière pour les incidents de Jaranwala et pour la paix et l’harmonie dans notre pays», peut-on lire dans une note de la Conférence épiscopale partagée aux médias.

Mercredi 15 août, des centaines de personnes de confession musulmane, armées de bâtons et de pierres, ont déferlé dans les ruelles du quartier chrétien de Jaranwala, dans la banlieue de la ville industrielle de Faisalabad, poussant les chrétiens à la fuite. Des violences après qu’un groupe de fanatiques religieux eut accusé une famille d’avoir profané le Coran. Le lendemain, le quartier chrétien de Jaranwala a été placé sous surveillance policière.

La Commission indépendante des droits de l’homme au Pakistan a plusieurs fois souligné que les lois sur le blasphème étaient utilisées comme des armes pour cibler les minorités religieuses et régler des vendettas personnelles, et que ces incidents violents étaient en augmentation constante depuis plusieurs années. Les chrétiens, qui représentent environ 2% de la population, occupent l’un des échelons les plus bas de la société pakistanaise et sont fréquemment la cible d’allégations de blasphème, fallacieuses et infondées.

Source : Vatican news

Krismel Bamba

Cinéma / l’interprétation d’un personnage biblique pousse un acteur à se convertir au christianisme

Un acteur connu sous le nom de Nick Shakoour a récemment décidé de se convertir au christianisme après avoir joué le rôle de Zebedee   dans « The Chosen » une série à succès basée sur la Bible. Il a exprimé son admiration pour l’influence positive des chrétiens travaillant sur le tournage.

Dans une entrevue avec Christian Headlines, Nick Shakoour a affirmé que la série avait eu un impact profond sur sa vie. Il a décrit cela comme un changement majeur, faisant allusion à la transformation qu’il a vécue.

« Cela a été un changement majeur. »

Avant sa conversion, l’acteur américain connu pour ses rôles dans des films et séries, a grandi dans une famille catholique et a fréquenté des écoles catholiques.

Cependant, il a déclaré qu’il ne se considérait pas comme un chrétien engagé. Sa participation à « The Chosen » a été un tournant dans sa vie spirituelle, l’amenant à approfondir sa foi et à s’engager pleinement dans le christianisme.

Il a ensuite partagé un événement marquant qui s’est produit en septembre dernier lorsqu’il a été invité à une conférence d’église.

« Et tout s’est accumulé jusqu’en septembre dernier, où j’ai été invité à une conférence d’église où la prochaine chose que j’ai su, un groupe de personnes m’a entouré … et m’a imposé les mains et a commencé à prier. Et j’ai pu expérimenter ce que c’était que de ressentir le Saint-Esprit aller de l’extérieur vers l’intérieur et cela a enflammé mon corps. »

Cette expérience a été bouleversante pour lui. Il a ressenti une transformation profonde et a déclaré se sentir comme une nouvelle personne. Il exprime sa gratitude envers la série et le rôle qu’il y joue.

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« Mon esprit est époustouflé par ce qui s’est passé. La série a donc été une bénédiction et j’ai adoré y jouer. Mais c’est définitivement le canal dont je ne peux m’empêcher de parler. »

Actuellement, Shakoour et le reste de la distribution et de l’équipe tournent la quatrième saison de The Chosen.

Belphine Konan

Côte d’Ivoire : harmonie familiale pour une vie et un ministère fructueux.

L’église Ministère de la prière vivante(MPV) et le bureau communal du CNEPECI  a organisé ce mardi 06 juin 2023 un séminaire sous le thème : « Harmonie familiale pour une vie et un ministère fructueux » à l’attention des pasteurs, diacres et ancien de la commune au sein du di temple sis à Koumassi en présence des autorités ecclésiastiques et politique.

Après le premier acte qui s’est tenu le 7 février dernier et avait tablé sur comment faire face aux défis du ministère, la branche Koumassi du Conseil National des Eglises Protestantes et Evangéliques de Côte d’Ivoire a remis le couvert avec cet atelier qui met en lumière la corrélation entre vie de foyer et ministère.

Président du comité d’organisation de cet atelier, le révérend Djilé Narcisse, vice-président du CNEPECI-Koumassi, a tenu à préciser que le bureau communal du CNEPECI Koumassi a mis en place cette tribune pour aider les participants à extérioriser la meilleure version d’eux-mêmes, celle que Dieu attend d’eux dans leurs ménages et leurs ministères.

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« Aujourd’hui le constat est évident, ayons le courage de le dire, par manque d’harmonie, nos foyers s’amenuisent, nos ministères sont banals et finissent par devenir monotones » a regretté Le révérend.

Partant du constat ahurissement du taux élevé de cas de divorce dans le Corps de Christ en Côte d’Ivoire et dans le monde, Le CNEPECI Koumassi, selon son président, le révérend Isaac Karambiri a jugé opportun de mettre sur pied ce programme qu’il qualifie de ‘’salutaire’’.

« Le diable attaque les foyers des serviteurs de Dieu dans le but de détruire leur ministère » dira-t-il démontrant ainsi que les guides religieux que Dieu s’est choisi n’échappent pas à ce fléau qui met en mal l’institution divine qu’est le mariage.

« Aujourd’hui le concept de la famille est quelque chose qui est beaucoup attaqué par le diable. Nous avons jugé utile avec le bureau de nous retrouver et de nous pencher sur ce thème parce que ça ne va pas. Une famille qui souffre est une église qui souffre et une église qui souffre, c’est une société qui souffre. Sauvons nos ministères en sauvant nos familles », va-t-il exhorter.

Organisé autour du thème : « L’harmonie familiale pour une vie et un ministère fructueux », ce séminaire a vu la participation comme conférencier du Bishop Ayé Touali, le président des Eglises Baptistes du Plein Evangile, par ailleurs conseiller spécial du président national du CNEPECI, le Dr Kpangui Bernard.

Venus donc en grand nombre s’abreuver à la source du sachant qu’il est, les serviteurs et servantes de Dieu de Koumassi ont tous montrer leur satisfecit par les acclamations et acquiescements auxquels l’on assistait à chacune des argumentations et illustrations de l’orateur.

Faisant l’état des lieux sur les statistiques en rapport avec le tandem mariage/divorce en Côte d’Ivoire et dans le monde, le bishop Ayé Touali a révélé qu’Il y a 6 ans en arrière, le taux de divorce en Côte d’Ivoire était de 50% et que selon les recherches d’un centre américain, le taux de divorce chez les chrétiens catholiques s’élèverait à 19%, chez les protestantes 51%, les mormons 1% et les témoins de Jéhovah 9%.

« Le divorce est une réalité dramatique dans le milieu pastoral (…) le taux croissant de divorce au sein de la communauté chrétienne nous emmène à tirer la sonnette d’alarme », a relevé le conférencier tout en rappelant que Dieu dans son plan (1 Tim3 :1-9) a décidé que pour tous ceux qui aspirent à conduire son peuple, les qualifications spirituelles, morales et intellectuelles ne suffisent pas, mais il faut qu’ils aient des valeurs familiales irréprochables.

« Notre vie familiale et notre ministère sont liés…Celui qui ne peut pas s’occuper de sa famille, comment peut-il s’occuper de l’Eglise de Dieu ?».

Il a par ailleurs rassuré l’auditoire sur le caractère normal des troubles dans les foyers; Les personnalités, les tempéraments et les attentes à court et long terme des conjoints n’étant pas les mêmes.

« Sachez que le Diable attaquera toujours le foyer. S’il n’a pas hésité à débarquer dans le jardin d’Éden pour troubler la quiétude du couple originel, comprenez bien qu’il le fera dans le vôtre parce que c’est Dieu qui l’a [le mariage] instauré », a indiqué l’orateur.

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« Nous entrons dans le mariage parce que nous voulons nous sentir aimés, valorisés et en sécurité et lorsque ces besoins ne sont pas satisfaits les problèmes surgissent. Tout problème naît d’un besoin non satisfait ».

Ainsi, le poids du passé, les mauvais mobiles du mariage, la santé, le lieu de résidence du couple, les difficultés professionnelles, la présence de tiers, les luttes d’intérêts et les facteurs économiques ou sociaux sont les principales causes de la vie tumultueuse de nombreux foyers.

Pour la bonne gestion des conflits, il faut premièrement que chacun ait une juste conception du mariage, ensuite qu’il travaille à améliorer la communication, aussi qu’il se soucie de satisfaire les besoins de l’autre et enfin de vider la coupe (ensemble des faits et gestes pouvant entraîner les mauvais agissements du conjoint).

Il finit par révéler que l’harmonie du couple peut être restaurée malgré les remous par de petits gestes qui favorisent une atmosphère positive au sein du foyer. Il a donc encouragé les participants de ce séminaire à privilégier la communication et le respect mutuel pour le bonheur de leurs foyers et donc de leurs ministères respectifs.

Source: ichretiens

Krismel Bamba

Pentecôte : le pasteur Kouadio Emmanuel exhorte les fidèles à une vie de sainteté.

Le pasteur Kouadio Emmanuel de l’église des assemblées de Dieu de Tehini a exhorté les fidèles à une vie de sainteté, ce dimanche 28 mai 2023, a l’occasion de la célébration de la fête de pentecôte.

Selon l’homme de Dieu, le Saint Esprit vient aider les fidèles à avoir une vie chrétienne de victoire « en donnant de recevoir le Saint Esprit, l’une des trois manifestations de Dieu ».

La Pentecôte est une fête chrétienne qui célèbre le jour où 120 disciples de Jésus dont les 12 apôtres ont reçu le Saint Esprit, 50 jours après la résurrection de Jésus Christ.

Des prières pour la restauration spirituelle et pour la paix dans le pays et particulièrement le département de Téhini ont été dites par les fidèles.

Source : AIP

Krismel Bamba

Burkina Faso : Une journée de jeûne et de prière pour la paix sur toute l’étendue du territoire.

Pour la cohésion sociale et la paix le gouvernement a décrété une journée nationale de jeûne et de prière ce samedi 20 mai sur toute l’étendue du territoire.

Les Burkinabè ont fait le jeûne et prier partout dans le pays. Comme à la fédération des églises et missions évangéliques de Ouagadougou où des milliers de fidèles se sont tournés vers Dieu pour la paix dans le pays. « Nous sommes des centaines, des milliers, aujourd’hui qui intercédons, qui faisons monter des requêtes vers le seigneur pour que la paix revienne au Burkina Faso, nous avons l’assurance que notre Dieu fera quelque chose, et qu’il fera des nouvelles choses pour le Burkina Faso », raconte une femme.

« Nous savons que dans peu de temps, poursuit un homme, ensemble encore, nous allons dire merci au seigneur parce qu’il est intervenu pour que réellement les gens puissent revivre, et ceux qui sont déplacés puissent retourner dans leurs localités respectives. »

« Retrouver la sécurité, la sérénité, la cordialité et le vivre ensemble harmonieux »

Plusieurs délégations composées de membres du gouvernement se sont rendues sur les différents sites de prières .Les forces de défense et de sécurité ont également participé à toutes les séances de prières.

Source : Rfi

Krismel Bamba

États-Unis: Un culte se tient depuis 5 jours sans arrêt dans une université chrétienne

Depuis le 10 février 2023 un culte se tient en continu à l’université chrétienne d’Asbury, aux États-Unis.

A lire: CHEVELURE DE LA FEMME / TRESSES, FOULARDS, MÈCHES, TISSAGES, PERRUQUES : CE QUE DIT LA BIBLE

Le culte pour les étudiants dans l’auditorium de l’université chrétienne d’Asbury a démarré normalement, le 10 février au matin, mais il ne s’est pas arrêté depuis. Des milliers de personnes de tous âges affluaient hier encore dans la petite ville de Wilmore, dans l’est des Etats-Unis. Nombreuses sont celles qui expriment leur repentance pour leurs péchés, leur conversion à Jésus et leur décision de changer de vie. Un « réveil» non prévu décrit par la rédactrice en chef du journal de l’établissement le 11 février, avec des moments «remplis de prières, de chants d’adoration, de temps de confessions et de témoignage».

«C’est encore difficile à verbaliser», a expliqué ensuite Alexandra Presta à Christian Headlines. «Des amis au-delà des frontières de l’état (du Kentucky) m’ont envoyé des SMS et m’ont appelée, voulant une explication sur comment et pourquoi Dieu a choisi, maintenant, de se manifester de cette manière. Je leur ai avoué à tous […]: « Je ne sais pas », confie-t-elle.

L’université d’Asbury a déjà vécu en ses murs plusieurs périodes de réveil chrétien. «Un culte d’étudiants «a conduit à quatre jours d’adoration, de prière et de louange» en février 2006, affiche-t-elle sur son site internet. En février 1970, les cours avaient été annulés presque une semaine, pendant 144 heures de réveil ininterrompu.

Flora TEHE

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