Côte d’Ivoire : DU PIMENT ET UN FOUET POUR DÉLIVRER UN ENFANT DIT SORCIER

« Mon prophète nous a enseigné qu’il y a des esprits qui ne peuvent être chassés que par la violence », tels sont les propos justifiant le châtiment infligé à un enfant accusé de sorcellerie dans la commune d’Abobo. Dame Yao, témoin des faits, raconte :

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Je lui ai demandé en quoi l’enfant était concerné dans cette affaire, et elle a répondu : « Je me suis rendue chez notre homme de Dieu, le prophète X. Après plusieurs questions, il a expliqué qu’il s’agissait d’un esprit maléfique qui vivait dans la maison avec nous et qu’il fallait que j’observe bien cet enfant. Ma sœur, je te dis que j’ai rapidement compris qu’il était à l’origine de nos malheurs. Pire encore, suite aux interrogations du prophète, l’enfant a avoué qu’il était responsable de la mort de ma mère. » J’ai répliqué que ce n’était pas possible et que l’enfant avait probablement dit ces paroles sous la pression et la menace. « Non ma sœur, l’esprit qui est en lui est têtu, si on n’utilise pas la force, il ne parlera pas. Donc depuis ce matin, je le fais avouer le reste de ses crimes. Mon prophète nous a enseigné qu’il y a des esprits qui ne peuvent être chassés que par la violence. »

Ne voulant pas contrarier mon amie, je lui ai simplement dit qu’elle devait faire attention, car l’enfant pourrait perdre la vie, et son prophète ne se reconnaîtrait pas dans ces agissements. De plus, son mari pourrait la répudier un jour. Je l’ai laissée, mais j’appelle de temps en temps pour avoir des nouvelles.

Recueilli par Saint Apollos.

MME YAPO AYA KAN MARINA : Mordue par un cobra, Dieu m’a miraculeusement guérie

« Ils saisiront des serpents; s’ils boivent quelque breuvage mortel, il ne leur fera point de mal; ils imposeront les mains aux malades, et les malades, seront guéris » Marc 16:18. Ce passage des Saintes Ecritures a trouvé son accomplissement dans la vie de la sœur Marina Yapo. Voici son témoignage.

Je suis heureuse de l’occasion qui m’est donnée pour rendre ce témoignage à la gloire de notre Seigneur Jésus- Christ. Comme il est de coutume à Perestaur, communauté chrétiennes à laquelle j’appartiens, mon mari et moi, nous rendions à la veillée de prière un vendredi soir. C’était le programme que le Pasteur avait élaboré pour l’année 2016. Donc chaque c vendredi, nous tenions ces veillées. Chemin faisant, comme le temps était sombre, je prenais mes précautions. Et ce, pour ne pas être surprise par un insecte ou par un reptile quelconque. Je regardais tout le temps autour de moi.

La morsure du cobra

Nous étions presqu’arrivés à l’église, quand soudain, j’ai senti une présence étrangère au niveau de mon pied droit. J’ai donc balancé le pied, toute apeurée, et je me suis écriée : « qu’est-ce que c’est ? ». Mon mari me voyant affolée, m’a demandée ce qui se passait. Lorsqu’il jeta un coup d’œil, il vit le reptile se faufiler dans la broussaille. Et il m’a dit que c’était un serpent, précisément un cobra. Quand j’ai entendu cela, j’ai eu peur. Dans la panique, nous nous sommes mis à courir pour atteindre l’église.

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La prière du Pasteur Kignelman

Une fois là-bas, nous avons fait part de cela au Pasteur Kignelman. Alors, il nous recommanda de nous éloigner du temple, et me dit : « ma fille n’aie pas peur car ceci est un petit problème. Le Seigneur va prendre contrôle de la situation ». Ensuite, il m’a demandée de lui indiquer la partie qui a subi la morsure. Et moi de lui montrer le petit orteil de mon pied droit. Il m’y imposa la main et fit une prière. Suite à cela, le Pasteur se proposa de nous conduire à l’hôpital à bord de son véhicule. Ainsi, nous nous sommes rendus dans un petit hôpital, au niveau d’Angré au terminus 81. Arrivés là-bas, j’avais du mal à marcher car la douleur était atroce. Les médecins nous ont fait savoir qu’ils ne pouvaient pas traiter ce cas de morsure de serpent dans leurs locaux. Sur ce, nous nous sommes vus dans l’obligation d’aller au CHU sous leur recommandation. Nous y sommes arrivés aux environs de minuit. Ils m’ont rapidement admise aux urgences. J’étais anxieuse, voyant toutes ces personnes connectées à des appareils sanitaires. Pour eux, mon cas était critique. Raison pour laquelle il fallait qu’on m’admette dans une salle où il y avait des appareils. Et ce, pour me réanimer au cas où je tomberais dans le coma. Tout autour de moi, c’était des personnes dans le coma. Les médecins ont prescrit l’ordonnance et mon mari a acheté les médicaments pour commencer les premiers soins.

Par la suite, ils sont revenus encore me voir au petit matin, me rassurant que les premiers soins avaient été faits.

Les médecins perplexes face aux résultats des examens sanguins

Ils m’ont aussi expliqué que souvent, pour ce genre de cas, le sang est infecté. Ils ont donc opté pour une analyse de sang afin de voir les dégâts causés par le venin dans mon corps. Ils ont fait un prélèvement pour effectuer les différents examens. Les résultats furent disponibles aux environs de 11 heures. Le médecin, chargé de suivre mon état de santé, fut très étonné, en observant les résultats des examens. Il n’y avait aucune portion de venin dans mon sang. Le venin avait disparu. Et le docteur de me dire: « qu’as- tu fais ?» et moi de lui répondre que c’est le Seigneur Jésus-Christ qui m’a guérie. Le médecin m’a confessé que ce qui s’est produit, est vraiment rare; car dit-il, pour les cas de morsure de serpent, il y a toujours du venin contenu dans le sang. Et que cela nécessite des traitements approfondis pour totalement en venir à bout.

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Dieu a totalement restauré ma jambe

Tous m’ont dit : « le Dieu que tu pries, est fort ». Et moi de réitérer que le Dieu que je prie, est avec moi. Donc, ils nous ont délivré un papier pour ma sortie de l’hôpital. Malgré cela, toute ma jambe droite était quasiment enflée. Nous sommes rentrés à la maison, toujours accompagnés de notre berger. Il a encore prié et s’est adressé à moi en ces termes : «  ma fille, le Seigneur a déjà fait et ces marques que tu vois, vont disparaitre ». Pendant une semaine, il passait régulièrement à la maison pour prier pour moi. J’éprouvais du mal à me tenir sur le pied. Cependant, avant que la semaine ne fusse écoulée, l’enflure avait diminué. J’ai retrouvé le bon usage de mon pied. Je bénis le nom du Seigneur pour ce miracle.

Belphine Konan

Brésil : après avoir survécu au crash de son avion, une famille rend grâce à Dieu

 Une famille a rendu grâce à Dieu après avoir survécu au crash de son avion survenu le 12 juin 2023 sur un terrain de football.

« Dieu nous a donné une nouvelle vie aujourd’hui. Nous devrons subir des interventions chirurgicales. Les filles sont déjà sorties et n’ont rien eu de grave. Gratitude à tous ceux qui ont prié, je vous demande de continuer à prier pour nous », explique le père de famille.

Alors que l’avion venait de décoller, le pilote Arcedino Concesso a contacté la tour de contrôle de l’aéroport Petrônio Portela pour signaler de son besoin d’atterrir en urgence.

Une porte de l’avion était restée ouverte. Les pompiers ont signalé à G1 que l’avion avait heurté un poteau de ligne à haute tension, entraînant une coupure d’électricité dans tout le quartier. La famille a été transportée à l’hôpital de Teresina.

« Pour le moment, Les cinq membres de la famille présents dans l’avion sont sains et saufs.

Tous les blessés ont déjà reçu des soins initiaux et subissent des examens complémentaires pour l’évaluation et l’évolution clinique des patients. En général, tous se plaignent de lombalgies. Les enfants attendent l’avis d’un neurochirurgien. »

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Belphine Konan

Koné T. : «Deux mois sous oxygène, quatre mois sans manger, Jésus m’a délivré».

 « Aujourd’hui, je suis le premier à dire que le féticheur n’est rien », dixit Koné T. dans ce témoignage il démontre combien de fois Jésus-Christ est l’être suprême qui domine les marabouts, féticheurs et toutes les forces ténébreuses.

J’ai remarqué que je n’arrivais pas à me marier et à rester avec une femme ; mes parents disaient que j’avais une femme de nuit qui m’en empêchait.  Quand je me suis converti au Christ, avant de lire la Bible je demandais toujours à Dieu de me révéler tout ce qui était caché. C’est alors j’ai reçu à travers des songes qu’en réalité, il n’y avait pas de femme de nuit, mais que c’était l’œuvre de mes parents. Ils ont mis un démon à mes trousses de sorte que quand je commençais à aimer une femme la relation prenait fin si tôt.

Ma rencontre avec ma femme actuelle

J’ai connu deux femmes qui avaient le VIH-SIDA. Je l’ai su quand elles sont allées faire leurs tests. J’ai eu des enfants avec ces dernières. J’ai automatiquement cru que j’étais infecté. C’est suite à cela que j’ai rencontré mon épouse actuelle. Cela fait cinq ans que nous sommes ensemble. Quand je la connaissais on lui avait tellement parlé de mes aventures qu’elle a même pensé que j’avais le VIH-SIDA. Puisqu’elle est conseillère-clinique à l’AIBF,  sa première condition avant d’être avec moi; était que  je fasse le test. Nous avons fait le test ; j’étais négatif. Tous mes proches étaient étonnés,  j’entendais des gens dire que le SIDA c’est une affaire de chance. Mais selon moi, ce n’est pas la chance, c’est Dieu qui m’a préservé. Voilà comment je me suis marié avec elle.

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Comment la maladie m’a été mystiquement donnée

En 2018, j’ai participé à une cérémonie d’accueil des pèlerins au village. Ce jour-là un ami d’enfance m’a offert un plat que j’ai consommé. A partir de ce moment, ma santé s’est dégradée. J’ai été empoisonné. Ma grande sœur m’a envoyé à Yopougon MICAO, disant qu’elle avait une amie guérisseuse qui allait m’aider. Une fois arrivé, on m’a donné un gobelet d’eau rempli d’asticots, que je devais boire. J’ai protesté disant à ma grande sœur : « mais je suis un traitement de palu, et tu m’envoies chez une dame qui me donne une telle décoction à boire ? ». Elle essayé de me rassurer que c’était le sacrifice à faire pour ma guérison. Alors j’ai bu cette eau. Je devais passer la nuit chez cette féticheuse.

Cette dernière  tenait une flèche et faisait des incantations disant que celui qui est en train de fatiguer Koné soit percé par cette lance. Ensuite, elle m’a ordonné de dormir seul dans sa chambre où il y avait son fétiche. Il était minuit passé et je n’arrivais pas à dormir. Alors je suis sorti et j’ai rejoint ma grande sœur pour lui faire savoir qu’elle m’a trompé en m’envoyant dans cet endroit. Au même moment, un hibou s’est assis sur le toit et chantait. Je me voyais dans un film d’horreur. Mais cela n’a pas dérangée cette féticheuse. J’étais troublé et furieux. Le lendemain, ma situation s’est aggravée, on m’a évacué aux urgences au CHU de Treichville.

Ma femme, un secours venant de Dieu

Je souffrais de mal de côte de la tuberculose osseuse. J’avais l’hépatite, la pleuropneumonie c’est-à-dire, l’eau dans mon poumon droit et mon foie était atteint. Je souffrais également d’hernie discale. J’étais devenu si maigre qu’il n’y avait plus de chair sur mon corps. J’étais pratiquement mort. C’est dans cette situation que m’a femme est entré en scène. C’est la meilleure des femmes de ma vie. Elle a démissionné de son travail pour rester avec moi à l’hôpital.  Ceux qui m’en voulaient ont vu qu’elle les empêchait d’en finir avec moi. Ils ont tout fait pour l’éloigner de moi, parce qu’elle est ancrée en Christ. Ils sont même allés voir les médecins leur disant qu’ils ne peuvent pas me soigner car ils n’ont pas d’argent donc ils doivent m’envoyer au village. Les médecins ont refusé, ils n’étaient pas dupes, puisqu’ils voyaient ma femme toujours à mon chevet faisant toutes les courses pour payer mes médicaments, et pourtant elle ne s’en plaignait pas. Tous mes parents ont commencé à faire des tapages. Ils nous ont combattu mon épouse et moi.

Cloué au CHU de Treichville, plus d’une centaines de pasteurs intercèdent pour moi

J’ai fait deux mois sous oxygène ; quatre mois sans manger. Plus de 100 pasteurs que j’ai fait défiler pour prier pour moi au CHU de Treichville. Sans compter ceux qui m’appelle au portable pour prier aussi pour moi chaque jour. Les médecins ne cessaient de dire à ma femme « madame, nous avons fait tout ce qu’on pouvait il reste maintenant la prière ». On nous a libérés par la suite et mon épouse m’a envoyé à Bouaké.

Mon soupire et ma conversion à Dieu

Lorsque nous sommes arrivés à Bouaké, dès qu’il  faisait soir c’était le calvaire. Il y avait une dame au milieu du salon avec une machette. Chaque nuit je criais. N’en pouvant plus, J’ai fléchi genoux et je me suis mis à parler au Christ en lui disant : « si c’est toi qu’on appelle Christ montre-moi ton pouvoir car j’ai fait le tour des marabouts, des féticheurs mais en vain. Si vraiment c’est toi, que ce qu’on dit de toi est vrai, que tu es le plus fort de toute la terre vient me sauver ». À partir de cet instant, le Seigneur m’a accordé la délivrance. Aujourd’hui, me voici devenu chrétien ; ce n’est pas parce que ma femme est chrétienne et que je le suis maintenant. Mais j’ai vu la puissance de Jésus-Christ et il est venu au bon moment.  Un jour, alors que j’étais en prière, Il m’a dit « je t’ai connu depuis le sein de ta mère ». Depuis mon enfance, j’ai eu des signes que j’allais appartenir à la religion chrétienne mais je n’ai pas fait attention. Je disais même à mon fils : « le jour où j’apprends que tu es devenu chrétien je te renie ». Mais aujourd’hui, me voilà, l’encourageant : « va à l’église » parce que j’ai vu que c’est la vérité : Jésus-Christ est vivant. Certains chrétiens ne savent pas qu’ils ont de l’or en mains.

Le marabout n’est rien.

Aujourd’hui, je suis le premier dire que le féticheur n’est rien. Tous ceux qui adorent les objets ne sont rien. C’est dans la pensée qu’il arrive à atteindre les cœurs. Comme les marabouts et les féticheurs sont des commerçants. Ils te demanderont un sacrifice de poulet, de pintade, de mouton, de bœuf, etc. C’est prêt de 500 000 FCFA que j’ai gaspillé avec les charlatans dans mon combat pour la guérison. Si tu as peur c’est là qu’ils vont d’atteindre mais tant que tu as le Christ dans ta vie ils ne peuvent pas. Depuis que je suis en Christ, quand ils envoient des figurines, des marionnettes pour m’effrayer, je me retrouve avec un sabre et je les mets en pièce. Depuis qu’on est parti à Bouaké aucun membre n’est venu me rendre visite car avec le Christ dans la maison tu ne peux pas rentrer. On les voit en songe ; ils veulent venir mais ils ne peuvent pas. Je dis grand merci au Seigneur.

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Par Victoire K.

Témoignage : le Seigneur m’a miraculeusement épargné d’un cancer de la tyroïde.

Les promesses de guérisons du Seigneur sont toujours d’actualité. Tel fut le cas du frère Tra BI BAH Patrice du temple de la restauration promise des 220 logements d’Adjamé qui a  été miraculeusement épargné d’un cancer de la tyroïde.

En effet, au mois de décembre 2015, mon épouse a remarqué qu’une épouse a remarqué qu’une petite boule se formait au bas de ma gorge lorsque je me mettais à parler. Elle m’a conseillé de faire une radio.

Ce que j’ai fait immédiatement. Et les résultats montraient que la boule était grosse et qu’elle a commencé il y a peut-être très longtemps.

Mais moi, je n’avais jamais su cela. Puisque je ne ressentais aucune douleur. Cependant, on ignorait ce que c’était exactement. Il fallait donc consulter un spécialiste. C’est ainsi que j’ai été orienté vers un chirurgien digestif. Celui –ci m’a demandé de faire une échographie et une biopsie au Chu de Cocody. A la suite de ces examens, il a été découvert que cette grosse masse se développait dans ma poitrine.

L’hypothèse de la tyroïde a été écartée par les médecins, car celle-ci se forme uniquement dans le cou et non ailleurs. S’agissait-il d’un cancer ou d’autres choses ? Des analyses poussées se sont imposées pour en avoir le cœur net. J’ai expliqué tout cela à mon pasteur et nous avons prié ensemble. Il m’a rassure que les résultats seraient négatifs ; ou alors les médecins diraient que c’est une  chose bénigne.

Les résultats des analyses :

Effectivement, comme l’homme de Dieu l’avait prédit, les spécialistes ont affirmés que ce n’était ni un cancer, ni une hyper thyroïde encore moins une hypo thyroïde. Jetais si soulagé de le savoir. Néanmoins, une opération chirurgicale était nécessaire pour me débarrasser de ce corps étranger. Apres le bilan préopératoire à la suite duquel j’ai été déclaré apte, les médecins m’ont demandé de proposer une date pour mon opération. Je leur dit que je voulais l’approbation de mon berger. Et quand je suis allé rapporter les faits au serviteur de Dieu, il était peu peiné. Selon les médecins, c’est une opération très délicate car il n’y a deux cas de réussite sur dix. Ce n’est vraiment pas évident qu’on en sorte sain et sauf. Nous avons prié a nouveau et le ministre de Dieu m’a encouragé à y aller. Il ajouté que si malgré la prière le Seigneur a voulu que je passe par cette situation, c’est que c’est sa volonté.

Le succès de l’opération :

Avant cela, j’ai prié pour le sujet ; mais je ne voyais pas de bonnes choses. Ce n’était pas sûr que je reste en vie. Mais comme le serviteur de Dieu a confié la requête au Seigneur, alors jetais confiant. Je me suis renseigné, et le chirurgien m’a dit que l’opération durerait maximum une heure et demie. Je suis entré au bloc à neuf heures pour en ressortir vers quatorze heures. Et pendant l’opération, il y a deux coupures d’électricité. Pour montrer combien de fois c’était difficile. A mon réveil, le médecin et l’anesthésiste ont témoigné de la grâce de Dieu à mon égard, car ils ne s’attendaient pas à passer un long moment au bloc. Le chirurgien m’a en outre révélé que le thyroïde c’était développé quatre à cinq fois plus. Et de façon scientifique, lorsqu’une chose n’obéit pas à sa régénérescence ou à sa transformation, cela signifie que c’est un cancer.

Et ils ont affirmé que la chirurgie relève de Dieu, passe d’un individu. Ils le réalisent à nouveau avec mon cas. La masse qui a été enlevée de ma poitrine fut envoyée à la faculté de médecine, au laboratoire d’Anapath, pour une étude. Et par la grâce de Dieu, ils ont conclu que ce n’était pas un cancer. Jésus- Christ m’a encore démontré sa fidélité. Il a dit par ses meurtrissures nous sommes guéris. Donc la guérison est en nous. Ce sont des promesses qui sont là pour nous.

Source: PPTV

Que Dieu vous bénisse !

Krismel Bamba

Me croyant trop belle, je me retrouve célibataire à plus de 45 ans

Le choix du conjoint doit se faire en mettant en avant les critères bibliques. Il faut profiter d’une fleur lorsqu’elle resplendit de toute sa beauté, avant qu’elle ne se fane. De même, la sœur N.T. n’a pas su profiter de sa beauté face aux nombreuses demandes en mariage dont Dieu lui a fait grâce.

Je suis chrétienne, croyant le Message du temps de la fin. Je vis dans la région de l’Agneby Tiassa. J’ai fait la rencontre du Seigneur à mon très jeune âge. Le Seigneur m’a fait grâce d’une beauté extraordinaire. J’avais tout pour plaire. Mon physique ne laissait aucun frère en Christ indifférent. Même les sœurs que je fréquentais, ne manquaient pas de m’admirer.

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Belle forme, belle figure, grande taille, teint claire naturel sont les atouts sur lesquels je comptais, pour me faire une idée de qui j’épouserais et à quel moment je déciderais d’être la conjointe d’un homme. L’assurance que j’avais placée en ma beauté m’avait mise sur un piédestal que vous ne pourrez imaginer. J’avais tous les hommes à mes pieds tant chrétiens que païens. J’étais très belle. J’en étais très fière.

Mon idéal était d’avoir un homme beau et riche. Des frères venaient des villes lointaines pour me demander en mariage, mais je n’en faisais qu’à ma tête.  En fait, je regardais au pouvoir d’achat de celui qui osait me courtiser. J’ai ainsi refoulé un grand nombre de précieux frères dans ma vie. Je me disais que j’avais tout le temps. Hélas, je n’ai pas su profiter de cette grâce que Dieu m’a faite, le temps s’est ainsi écoulé et je n’ai accepté aucune demande en mariage.

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Je croyais que ma beauté serait éternelle. Hélas, comme une fleur, cette beauté s’est détériorée de jour en jour. Les hommes se sont également éloignés de moi. J’ai plus de 45 ans et je suis toujours célibataire, sans enfant. Aujourd’hui, je me rends compte que j’ai été naïve, gonflée d’orgueil. C’est une expérience amère. Mes critères pour le mariage n’étaient pas conformes aux exigences de la parole de Dieu. Et je mérite cette situation dans laquelle je me retrouve. Toutefois, j’implore la grâce du Seigneur, qu’il me pardonne mon erreur et m’accorde la joie du mariage. Je conseille également à toutes mes sœurs de ne pas suivre le même chemin que moi et de ce laisser guider par le Seigneur.

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Belphine Konan

Témoignage : Pour une pièce de 200 Fcfa, j’ai causé du tort à une innocente.

Rendre le mal par le mal sous prétexte qu’on est une victime, entraine des conséquences regrettables. Lisons les paroles de remords de cet étudiant vivant à Abidjan.

Résidant dans la commune de Koumassi, le bus en commun est mon moyen de transport privilégié à cause du coût de revient rentable. En effet, avec 200F je peux me rendre au Plateau ou Adjamé. Un jour, étant au terminus de bus, après une trentaine de minutes d’attente, notre véhicule pointe enfin son nez.

Dans le respect du rang, nous embarquons au fur et à mesure. Chaque passager présente sa carte de bus ou paye directement le ticket avec le conducteur. Mon tour étant venu, je lui remets une pièce de 200fr. « Ouf, l’occasion m’a été donnée de me débarrasser de cette pièce ‘’lisse’ que j’ai reçu dans un autre bus la veille », me suis-je dit intérieurement. Le conducteur me remet le ticket sans faire attention à l’état de la pièce de 200fr. Heureux, je m’installe confortablement. Alors que les passagers montent progressivement, une clameur attire notre attention. Le conducteur a des altercations avec une passagère du fait, qu’il s’est vu refuser une pièce de 200f par un passager à qui il venait de rendre la monnaie. Automatiquement, il cherche la personne qui lui a remis cette pièce lisse.

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C’est ainsi qu’il a indexé cette dame, qui à son tour, a protesté face à cette accusation. Les échanges devenant très houleux, la dame lance un juron a l’égard du conducteur.  Furieux, ce dernier tente de lui porter main, cependant il est empêché in extremis par d’autres passagers. J’ai alors réalisé les dégâts causés par ma volonté de vouloir coûte que coûte donner une pièce lisse à un conducteur de bus. Mais, je n’ai pas eu le courage d’avouer que la pièce m’appartenait, vu la situation qui s’est envenimée.

Et je craignais aussi la réaction des passagers déjà surexcités. La dame a dû descendre du bus afin que le conducteur démarre. Et moi, le vrai coupable, je suis resté dans le bus. Conscient de l’altercation que j’ai occasionnée, je suis resté confus et triste jusqu’à destination.

Pourtant, j’avais d’autres pièces en bon état dans ma poche. En voulant me débarrasser de cette pièce pour rendre le coup, j’ai provoqué la discorde. Le verset selon lequel le Seigneur nous dit de ne pas rendre le mal par le mal, a eu raison de mon attitude.

Depuis cette période, plus question pour moi de donner une pièce lisse à qui que ce soit. Lorsque je reçois une pièce lisse par inattention, je la jette tout simplement. Car cette expérience est restée un souvenir amer que je ne veux plus revivre.

Que Dieu vous bénisse !

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Krismel Bamba

Payement de la dîme : Ma négligence a failli me couter la vie.

La dîme est une ordonnance pour tout chrétien. La désobéissance à cette pratique conduit à des châtiments venant du Seigneur Jésus. Tel fut le cas de ce jeune  chrétien vivant à Abobo.

Je me nomme Y.I étudiant en Gestion Commerciale et membre d’une assemblée du message. De façon récurrente, je négligeais le payement de la dîme. Lorsque j’ai une petite entrée d’argent, je privilégie mes besoins personnels et je me dis qu’en ce qui concerne la dîme cela peut attendre. Mais, cette mauvaise habitude a failli un jour me coûter la vie.

 En effet, un dimanche après le culte, j’ai reçu une importante somme d’argent de la part d’un parent. Au lieu de m’acquitter de ma dîme, j’ai jugé bon d’en différer le payement et m’offrir un nouveau téléphone portable, en remplacement de celui qui était défectueux. Ainsi, le lendemain vers 20 h, après avoir effectué toutes mes courses, je rentrais tout joyeux à la maison. Chemin faisant, j’ai ressenti le besoin d’uriner.

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J’ai privilégié le téléphone à la dîme

 Alors, j’ai marqué un arrêt près d’un grand caniveau pour me soulager. Au même  moment, j’ai aperçu cinq jeunes hommes venant dans ma direction. Arrivé à mon niveau, l’un d’entre eux s’est approché de moi feignant  d’avoir un besoin pressant. Pendant que ses compagnons patientaient à quelques mètres de là. Il sort plutôt un couteau automatique qu’il avait enfoui dans son pantalon. Lorsque j’ai discerné que j’avais affaire à des braqueurs, j’ai essayé de m’échapper. Malheureusement, j’ai glissé et je suis tombé dans un caniveau.

Puisque j’avais perdu l’équilibre, j’ai préféré garder mon calme pour éviter d’aggraver mon sort. Ils m’ont tous rejoint dans le canal d’évacuation et ont pointé leurs couteaux sur ma gorge et mon bas ventre. Quand ces brigands m’ont saisi par les cols, pris par l’étau, sans même qu’ils me demandent quoi que ce soit, je leur ai remis tout ce que j’avais en ma possession. C’est-à-dire mon téléphone portable nouvellement acquis et deux autres. J’étais vraiment triste sur le champ mais plus tard après réflexion, j’ai compris que cette agression est survenue parce que je n’ai pas voulu payer ma dîme. J’exhorte donc les frères et sœurs à toujours payer leur dîme. Pour ma part, j’ai été délivré de ce mauvais comportement.

Que Dieu vous bénisse !

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Krismel Bamba

Témoignage : J’ai fait un procès à Dieu et il m’a confondu.

Lorsqu’on se trouve dans la détresse et qu’on pense que Dieu nous a abandonné, il démontre toujours sa fidélité. Tel fut le cas de ce jeune chrétien vivant à Abidjan.

Dans la matinée du samedi 20 juin 2015, le jour de mon anniversaire, la femme de mon cousin m’a appelé pour me souhaiter un joyeux anniversaire. Elle a profité pour m’encourager à persévérer dans la foi. Après ce coup de fil, couché sur mon lit, je me suis mis à pleurer et me plaignais  à Dieu en disant «  Seigneur, à quand mon tour ?Tous mes amis ont réussi, je suis si fatigué d’attendre ». Il m’a répondu : «  Mon fils si tu savais que tout ce que tu voyais n’était que vanité et également tout ce que je fais pour toi! Ta santé et ta vie devraient te suffire ! »

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 Le lendemain, je marchais dans une rue aux environs de 23h30, lorsqu’un jeune homme a enfoncé un couteau dans mon cou. Il m’avait suivi pendant près de 20 minutes. Lorsque je me suis retourné en criant, il m’a demandé de lui donner tout ce que j’avais. Soudain, une force surnaturelle m’a traversé et d’un coup de pied, je l’ai fait tomber. Il n’a pas eu le temps de récidiver lorsqu’un passant est intervenu et il s’est enfui. Jetais grièvement blessé et me vidais de mon sang. on m’avait transféré aux urgences du CHU de Yopougon. Les médecins en service de ce jour, avaient trouvé la situation tellement délicate qu’ils hésitaient quant à la décision à prendre. C’est le jour suivant, sur insistance de mes parents, dont un député, qu’ils ont décidé de faire une opération de mon cou. Je suis resté presque lucide. Oui j’étais presque vidé de mon sang.

Le miracle du Seigneur :

 Il fallait trouver du sang A+. Là encore ce fut un calvaire. Tout ce temps, je devrais attendre. Ce n’est qu’à 15h que l’on m’a transféré au bloc opératoire. J’en suis ressorti seulement à 20h. Le médecin qui m’a opéré fut surpris de mon endurance. Il m’a dit à deux reprises « ton Dieu est très très fort » je venais d’être sauvé par Jésus et c’est en ce moment que je me suis rappelé que j’avais fait un procès à Dieu. Je me suis confessé et j’ai pardonné à mon bourreau. J’ai ainsi vu jusqu’où Dieu peut nous sauver des situations.il m’a montré sa fidélité, et aujourd’hui je travaille en tant qu’assistant d’un député. Je ne cesserai jamais de lui être reconnaissant.

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Que Dieu vous bénisse !

Krismel Bamba

NEGLIGENTE, DIEU M’A CONTRAINTE A LE RESPECTER

Le chrétien oublit, voire même néglige parfois l’autorité du Seigneur parce qu’il n’a tout simplement pas la véritable crainte de Dieu. En tant que fils de Dieu nous devons Lui rendre entière soumission en Lui accordant le Titre qu’il mérite dans tout ce que nous faisons pour ne pas avoir à subir sa colère.

J’aimais appeler le Seigneur, ‘’le grand barbu’’. J’ai entendu cette appellation dans une série télé brésilienne et cela m’a plu.

A l’époque, je fréquentais l’église universelle. Dans mes échanges avec le pasteur, je  disais le ‘’grand barbu’’ pour faire allusion au Seigneur. Cette appellation était également mentionnée dans mes prières. Je disais «  grand barbu bénis moi, bénis ma journée ».

Il m’arrivait même de parfois mettre une chaise que je recouvrais ensuite d’un pagne et je disais comme si je m’adressais à mon égale « toi le grand barbu là vient t’assoir, je dis oh tu attends quoi pour me bénir, depuis là je ne suis pas mariée contrairement à mes camarades… qu’est ce qui se passe aujourd’hui là parle-moi ». Toutefois,  personne ne m’interpellait à ce sujet. Bien au contraire, ils étaient tous impressionnés par ma façon particulière de nommer le Seigneur.

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Même après avoir accepté le message du Temps de la fin, je ne disais jamais Seigneur Jésus-Christ, car je croyais bien le faire en l’appelant par ce surnom hideux.  Puis un jour alors que je faisais la sieste, j’ai vu un homme vêtu de vêtement blanc apparaître au-dessus de moi. J’ai commencé à trembler et j’ai  sur le champ pris froid.

Il m’a dit avec autorité « c’est moi le créateur du ciel et de la terre, c’est moi le Dieu qui t’a crée, qui t’a engendrée ». Il cita ensuite les versets bibliques en me disant : « pourquoi m’appelles-tu grand barbu, je suis ton Père appelle moi, Seigneur Jésus-Christ ». C’est en sursaut et prise de panique que je me suis réveillée. J’ai alors compris que le Seigneur n’était pas un ami avec lequel nous devons plaisanter et qu’Il mérite le respect et la crainte. Je me suis donc repentie et jusqu’à ce jour, j’invoque mon Dieu en tant que le Seigneur Jésus-Christ.

Belphine Konan

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