L’arc-en-ciel ne t’appartient pas

L’arc-en-ciel ne t’appartient pas

Tu fais vraiment ton travail. Celui de pervertir les choses de Dieu. Tu as tout fait pour t’accaparer le symbole de l’arc-en-ciel. Tu es sans ignorer qu’au-delà de la définition du dictionnaire, l’arc-en-ciel est le symbole de l’alliance faite par Dieu le Créateur avec l’homme. Et les sept couleurs émanant de ce spectre expriment chacune une portion de cette Alliance pour nous.

Aujourd’hui, tes pantins et toi osez trainer ce symbole dans la boue de votre abomination. Tu ne m’étonnes pas, car tu ne peux rien créer. Toujours prêt à bondir tel un lion sur les choses de Dieu, pour ensuite les pervertir. N’as-tu pas honte ? Pour les hommes de ce siècle, le symbole de l’arc-en-ciel que tu as choisi et que tes agents homosexuels arborent fièrement, est un symbole comme tout autre. Que non ! Tu peux tromper tout le monde. Oui, cela est dans tes cordes ! Mais, au grand jamais tu ne pourras tromper la vigilance des fils et filles de Dieu.

Tu sais tellement mentir que tu as trouvé une belle dénomination pour saper ce beau symbole : symbole LGBT+ ou arc-en-ciel de l’humanité. Oh mon Dieu ! Quelle tromperie ! Tu es tellement faux que ton arc-en-ciel à toi comportait 8 couleurs en 1978. En 1979, de huit on est passé à six couleurs. Peut-on être aussi perdu ? Ça c’est ta touche à toi. C’est du Satan tout craché : ajouter ou retrancher. C’est ta marque déposée. Tu ne peux te tenir dans la vérité.

Sinon, notre arc-en-ciel est composé des sept couleurs pleines de sens, reflétant les attributs du Dieu Tout puissant, le Seigneur Jésus-Christ. Tu auras beau consenti des efforts pour ajouter d’autres couleurs, qui selon toi exprimeront l’universalité, la nature te confondra toujours à chaque apparition de ce chef d’œuvre coloré dans l’azur. Aussi, à cause de ta fausseté, lorsque quelqu’un aperçoit le symbole de l’arc-en-ciel automatiquement, il pense à l’homosexualité ou à la communauté LGBT+. Sans oublier les autres tendances qui en découlent. Sache-le, tu ne tromperas aucun élu, car ayant la révélation du sens de ce merveilleux symbole, le liant à son Créateur, le Seigneur Jésus-Christ.

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Femme, habille toi décemment

L’indécence vestimentaire de la femme est monnaie courante dans notre société actuelle. C’est vraiment dommage de voir combien certaines femmes sont légères dans leur façon de se vêtir. Aucune gêne, aucune pudeur, aucun respect pour elles-mêmes et pour les autres.

Récemment sur la toile, l’habillement d’une jeune dame dont je préfère taire le nom a choqué plus d’un. Tu portes une tenue qui laisse entrevoir toute tes cuisses et par la même occasion certains défauts de ton corps, qui auraient pu être camouflés si tu enfilais une tenue décente. C’était quoi le but ? Tu croyais que tout le monde allait t’applaudir ?Comment peut-on exposer ses parties intimes de la sorte ?  Ah ma chérie pardon faut plus répéter cela.

Aussi, ce dimanche alors que je me rendais au culte, le véhicule que j’ai emprunté a traversé une ruelle, j’ai aperçu beaucoup de filles devant un bar, l’une d’entre elles a attiré mon attention par son habillement dégoutant. Elle a mis un pantalon jeans, déchiré au bas des fesses. Ce vêtement laissait voir distinctement cette partie de son corps. Quelle idée ? Moi je dirai que c’est tout simplement de la folie. Une personne sensée ne peut pas agir de la sorte.  

Il est vrai que la mode de notre ère met davantage en valeur le faux, le laid et l’indécent plutôt que le vrai, le beau et le bien, et c’est ce qui rend la tâche ardue a beaucoup de femmes pour s’habiller de façon vraiment féminine. Cependant cela ne devrait pas être une excuse, car il existe bel et bien des vêtements très décents sur le marché.  Il y a encore des tissus et pagnes pour se faire coudre des tenues selon son gout. En réalité celles qui s’habillent sans vergogne ont une idée derrière la tête : la séduction. C’est cela leur leitmotiv.

 Pour se démarquer, la femme chrétienne doit absolument s’habiller décemment, non seulement à l’église mais partout où elle se trouve. Si une femme est réellement née de nouveau, elle mettra tout en œuvre pour s’habiller de manière décente, pudique et appropriée, tandis que celles dont les cœurs sont centrés sur elles-mêmes s’habilleront pour attirer l’attention sur elles, sans penser aux conséquences que cela pourrait engendrer. Ces dernières rendent ainsi un mauvais témoignage de Christ et elles oublient carrément que leur corps est le temple du Saint Esprit.

Quoique les autres femmes s’habillent de façon indécente, la femme pieuse ne doit pas suivre aveuglément cette mouvance. Elle sait que certains vêtements sont faits pour attirer l’attention sur son corps et provoquer la convoitise des hommes. Elle a la sagesse de comprendre que ce genre d’attention la dévalorise. L’idée d’inciter les hommes à pécher contre Dieu à cause de sa tenue vestimentaire ne peux pas lui être agréable, car son désir est d’aimer et d’honorer le Seigneur. Toute femme qui cherche à plaire à Dieu doit toujours se vêtir avec décence.

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TEMOIGNAGE/ DIEU M’A MIRACULEUSEMENT ACCORDEE UNE MAISON

Les bénédictions du Seigneur ne sont vraiment pas liées à notre statut social. Et, la sœur Angbonon épouse prédicateur Angbonon Jérôme du temple de la Restauration promise des 220 logements peut le dire sur tous les toits. Car quoique gouvernante, Dieu lui a accordée une belle maison de façon miraculeuse dans la commune de Cocody Abidjan où posséder une maison relève nécessite beaucoup de moyens. Elle partage la grâce de Dieu à son égard. Lisons.

Cela fait 20 ans que je travaille en tant que gouvernante pour une famille européenne dans la commune de Cocody, l’un des quartiers résidentiels de la ville d’Abidjan. Cette ancienneté dans le travail était due à mon témoignage de chrétienne au sein de cette famille. Ma patronne et moi gardons toujours de bons rapports. Lors de nos discussions, je lui exprimais souvent mon désir d’être l’heureuse propriétaire d’une maison dans cette ville, à ma retraite. Cette requête nous tenait à cœur mon mari et moi. Chaque fois, dans les prières et supplications, nous la mentionnions à Dieu. Aussi, j’allais voir régulièrement le serviteur de Dieu qui m’encourageait et me soutenait en prière. Des années s’écoulèrent et il n’y avait aucune réponse à l’horizon. Cependant, à l’image d’Abraham, je gardais toujours la foi et je savais que mon Dieu était capable de me donner ma maison.

 C’est ainsi qu’un mardi, j’ai reçu un coup de fil de ma patronne me disant de lui apporter deux photos et une copie de ma pièce d’identité. C’est ce que j’ai fait. Le lendemain midi, toute pressée, elle me demanda de la suivre. A bord de son véhicule, nous nous sommes dirigées dans une nouvelle cité. Et là une nouvelle maison m’a été offerte par ma patronne et son mari. C’était une grande surprise de la part de Seigneur ! Mon vœu était palpable et venait de se réaliser sous mes yeux. Je pouvais maintenant le toucher. Dieu m’a offert une villa de quatre pièces, c’est-à-dire un salon et trois chambres à coucher. Il faut rappeler que je n’ai aucun niveau d’étude, ni aucun diplôme, mais Dieu dans sa grâce m’a donné une belle et grande maison. Et la cerise sur le gâteau fut mon intégration en tant qu’employée au sein du personnel de l’entreprise de ma patronne. Je remercie le Seigneur ainsi que mon pasteur qui est un véritable berger. Ma reconnaissance à mon mari qui est un soutien inestimable pour moi. Dieu vous bénisse.

Source : www.missionparoleparlee.com

SUISSE/ UN PARLEMENTAIRE CONTRE LA RÉFÉRENCE À « DIEU » DANS LA CONSTITUTION

Fabian Molina, membre du conseil national suisse a déposé le 17 mars dernier une motion auprès du parlement pour retirer Dieu de la constitution. Cette initiative viserait à « ancrer la laïcité dans la constitution fédérale ».

« Au nom de Dieu Tout-Puissant ! Le peuple et les cantons suisses, conscients de leur responsabilité envers la Création ». C’est par ces mots que commence le préambule de la constitution fédérale de la confédération suisse. Et selon l’initiative de Fabian Molina, « la référence à un Dieu chrétien et à la création dans le préambule contredit le principe de la neutralité de l’État en matière religieuse et n’est plus appropriée au vu de la sécularisation croissante de la population suisse ».

« Le système juridique démocratique ne peut lier sa légitimité à une ou plusieurs religions, car il doit également s’appliquer à toutes les personnes de croyants différents ou non. Du point de vue théologique, la proclamation d’un texte juridique séculier au nom de Dieu est aussi hautaine et présomptueuse. »

La motion propose donc de commencer le préambule par ces termes : « Le peuple suisse et les cantons, responsabilité envers l’environnement ».

Derrière cette motion se cache une réelle volonté d’écarter Dieu du quotidien des humains. Les arguments précités pour justifier ladite motion ne sont que des prétextes pour éloigner l’homme de son Créateur. Pourquoi vouloir changer la constitution dudit état maintenant ? Cette motion est tout simplement inspirée du diable.

Face à Poutine, Alexei Navaldy révèle sa foi

Russie: Face à Poutine, Alexei Navalny révèle sa foi en Dieu

Lors de son audience en appel le samedi 20 février, Alexei Navalny a encouragé une nouvelle fois les Russes à s’opposer au Kremlin en citant la Bible.

Il a surtout révélé sa foi en Dieu dans la conclusion de son discours, déclarant qu’il est un « homme de foi », une foi qui l’aide à ce que tout soit plus facile avec « moins de dilemme » puisqu’il y a un « livre qui dit plus ou moins clairement ce que vous devez faire dans chaque situation ».

En plus, Alaxei Navalny repondant au juge s’est exprimé en ses mots: « Je ne sais plus de quoi parler, Votre Honneur. Vous voulez que je vous parle de Dieu et du salut. Je vais tourner le bouton du pathos au maximum, pour ainsi dire. Le fait est que je suis un homme de foi, […]  car la plupart des gens sont athées, j’étais moi-même assez militant. Mais maintenant je suis une personne de foi, et cela m’aide beaucoup dans mon travail, parce que tout devient beaucoup, beaucoup plus facile. Il y a moins de réflexion, moins de dilemme dans ma vie parce qu’il y a un livre qui dit plus ou moins clairement ce que vous devez faire dans chaque situation. Il n’est pas toujours facile de suivre ce livre, mais j’essaie. Et donc, comme je l’ai dit, il est probablement plus facile pour moi que pour beaucoup d’autres de m’engager dans la politique. »

Alexei Navalny, âgé de 44 ans est un militant anti-corruption et critique le plus virulent du président russe Vladimir Poutine. Le 17 janvier dernier, après avoir passé cinq mois en Allemagne où il était soigné après avoir été empoisonné par un agent neurotoxique par empoisonnement qu’il attribue au gouvernement de Poutine.

Le coronavirus, un jugement de Dieu ?

Le coronavirus, un jugement de Dieu ?

La crise du coronavirus frappe durement, et il est encore bien trop tôt pour dire si et quand elle va s’arrêter. En attendant, l’économie est en berne, nos systèmes de santé sont sous tensions, la vie courante semble s’arrêter. Et surtout, des personnes en grand nombre sont frappées par la maladie, et les décès se chiffrent en milliers, avec le potentiel de beaucoup plus. Face à tout cela, il est tentant et même normal de se demander ce que Dieu fait dans tout cela.

Non, parce que Dieu est amour ?

Une réponse trop rapide s’appuie sur l’amour et la bonté de Dieu pour dire que non, certainement Dieu n’y est pour rien. Mais cette réponse fait de Dieu un Dieu impuissant, un Dieu à qui les évènements échappent. Quel secours attendre alors d’un Dieu bien gentil, mais dépassé ? Et la Bible montre plusieurs fois que Dieu peut utiliser les malheurs les plus tragiques, tout comme la méchanceté des humains, pour accomplir ses bons desseins. D’ailleurs la crise du coronavirus conduit à minimiser le trafic aérien, ralentir notre vie frénétique, et donc à diminuer drastiquement nos émissions de CO2. Nous en savions la nécessité sans en trouver le courage, malgré des décennies d’avertissements scientifiques et tout le militantisme d’Extinction Rebellion, de Greta Thunberg et de sa génération. Avec le coronavirus, nous payons en partie le prix de notre modèle économique globalisé, tellement dommageable pour notre terre, et si nous tirons les leçons nécessaires, il se peut qu’à long terme l’humanité s’en porte bien mieux – mais cela demandera de ne pas tout reprendre « comme avant » sitôt la crise passée. Déjà aujourd’hui certains se demandent si l’amélioration de la qualité de l’air a sauvé plus de vies que le coronavirus n’en a coûté. Ainsi, on est en droit de se demander si le coronavirus est un moyen employé par Dieu en dernier recours pour nous faire saisir la nécessité de changements.

Touchés donc coupables ?

Une autre réponse déplacée voudrait voir le malheur frapper directement ceux qui le méritent le plus. Alors les victimes seraient des coupables, et les moins touchés pourraient se sentir assurés de leur supériorité morale. Cette logique, tentante en tout cas dans l’antiquité, a été explicitement refusée par Jésus. Confronté à deux tragédies de son époque, il a clairement refusé l’hypothèse selon laquelle les victimes auraient été plus coupables que tous leurs contemporains. Mais il enchaînait en avertissant : « Si vous ne changez pas de vie, vous mourrez tous comme eux » (évangile selon Luc, chapitre 13, versets 3 et 5). Devant Dieu, il n’est pas d’innocent, et s’il était question de mérite, c’est l’humanité entière qui devrait périr. Nous participons tous aux torts de nos sociétés, et nous faisons tous bien assez de mal à nos congénères pour encourir le jugement de Dieu. Et le mépris du Créateur, si courant et même valorisé, ne saurait être innocent si vraiment il y a un Dieu qui a tout amené à l’existence et qui peut faire valoir ses droits sur notre monde. Du reste, l’avertissement de Jésus ne vise pas seulement le risque d’une mort tragique, mais le plus grand drame de quitter ce monde en étant ennemis de son souverain maître. Dans cette optique, le coronavirus n’est pas l’entier du jugement de Dieu sur tout le mal commis par les humains, mais un avertissement, un signe avant-coureur. Parce que la pandémie menace tout un chacun, elle peut tous nous pousser à nous interroger sur notre vie, notre mortalité et notre destinée.

Repenser à sa vision de la vie

C’est pourquoi les temps de troubles et de malheurs, les drames et les épidémies sont des moments favorables pour le retour sur soi et le retour à Dieu, pour faire le point sur nos vies et mettre au jour ce qui emplit nos cœurs. Du reste nos ancêtres l’avaient bien compris, qui avaient régulièrement décrété des journées de jeûne et de pénitence à l’occasion de catastrophes, inondations ou épidémies, ce dont nous gardons la trace en Suisse, dans les Jeûnes fédéral, genevois ou autres. Cependant, ce n’est pas aux autorités politiques de proclamer la repentance, mais c’est chacun en son âme et conscience qui doit se positionner et se remettre en question. Et puisque les victimes ne sont pas plus coupables que n’importe qui, elles ont droit à toute notre compassion, et à toute l’aide que l’on puisse apporter.

En outre, une circonstance tragique comme celle que nous traversons est aussi un temps d’épreuve, un temps qui va manifester le caractère de chacun, un temps où nos réactions démontreront quel genre de personnes nous sommes, et ce que vaut notre société. Serons-nous de ceux qui se battent pour des rouleaux de papiers hygiéniques, ou de ceux qui aident les plus vulnérables et ceux qui sont en quarantaine à faire leurs courses ? De ceux qui prolongent et profitent de leur insouciance, ou de ceux qui prennent au sérieux les mesures qui permettent de protéger les plus faibles ? De ceux qui veulent avant tout sauver leur propre peau, ou de ceux qui œuvrent pour que la société surmonte l’épreuve ?

Ainsi, la tragédie que nous vivons est l’opportunité pour chacun de repenser à sa vision de la vie et à son comportement. La vision chrétienne met le positionnement face à Dieu au cœur de la question, bien que d’autres domaines puissent être touchés également.

Dieu prendra toujours soin

DIEU PRENDRA TOUJOURS SOIN

1 Rois 17:8-16

Nous pouvons tirer plusieurs leçons de ce récit de l’Ancien Testament. En les appliquant à nos vies, nous pourrons surmonter les nombreux défis qui se présenteront à nous durant cette période de confinement que nous traversons du fait de la pandémie à coronavirus.

Le prophète Élie vivait en Israël au temps du roi Achab. L’Éternel envoya une grande sécheresse sur le pays. Il n’y eut ni pluie, ni rosée pendant trois ans et six mois, et le peuple souffrait de la famine. Mais Dieu a pris soin de son serviteur. Il lui avait d’abord ordonné d’aller se cacher près du torrent de Kérith, qui est en face du Jourdain. Élie avait obéit, et Dieu l’avait nourri de façon miraculeuse. Personne ne savait où il était et personne ne connaissait ses besoins, cependant il ne manqua de rien (1 Rois 17:6). Pourtant, comme il ne pleuvait pas, l’eau diminuait sans cesse et, un jour, le torrent a séché.

Élie avait encore du pain et de la viande, mais l’eau du torrent diminuait de jour en jour.

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Il devait se poser des questions et avait de quoi s’inquiéter. Peut-être a-t-il prié comme beaucoup parmi nous aujourd’hui face à la situation qui prévaut: «Seigneur, que vais-je devenir? Où irai-je quand il n’y aura plus d’eau ou plus rien à manger?» Mais Dieu ne lui répondait pas.

Aussi longtemps qu’il restait un filet d’eau dans le torrent, il ne lui a pas adressé la parole. Il arrive que le Seigneur mette ainsi notre foi à l’épreuve: il ne nous répond pas immédiatement.

Alors nous sommes tentés de nous plaindre, de nous lamenter et de dire: «Seigneur, ne vois-tu donc pas dans quel embarras je me trouve?... Fais quelque chose Seigneur!»

Nous sommes un peu comme les disciples qui traversaient le lac avec Jésus.

Tout à coup comme le coronavirus, «Or, voilà que, soudain, un vent violent se déchaîne, les vagues se jettent contre la barque ; l’eau commence à la remplir. Et pendant ce temps, Jésus dort à l’arrière du bateau, la tête sur un coussin. Les disciples le secouent pour le réveiller. Maître, lui crient-ils, tu ne vois pas que nous sommes en train de périr. Tu ne t’en soucies pas ?» (Marc 4:37-38).

Comme s’ils pouvaient périr avec Jésus dans la barque!

 Nous ne pouvons pas périr avec le Seigneur à nos côtés.

 Restons donc calmes, ne nous affolons pas à cause de cette pandémie.

 Nous sommes appelés à vivre par la foi et non par la vue. Lorsque nous ne manquons de rien, nous n’avons pas besoin d’avoir la foi. Mais quand nous nous trouvons dans une situation éprouvante comme celle que nous traversons actuellement, nous sommes alors obligés de faire confiance au Seigneur.

1 Rois 17 : 6 « Les corbeaux lui apportent du pain et de la viande matin et soir, et Élie boit l’eau du torrent. » Si nous savons attendre dans le calme et la confiance, le Seigneur finira toujours par nous tirer d’affaire.

 Nous reconnaîtrons alors qu’il agit toujours au moment voulu et qu’il intervient toujours à temps pour nous secourir.

 Les corbeaux viendront nous apporter du pain et de la viande matin et soir durant cette période de la pandémie à coronavirus.

 Ayons confiance au Seigneur qui prendra soin de nous malgré tout.

 Croyez-vous en cela ? Cette leçon mérite d’être prise au sérieux par les hommes et femmes de foi que nous sommes.

Fulbert SINEMEHO

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