J.O/GAMES TALK Une plateforme chrétienne pour les adeptes du sport

J.O/GAMES TALK :  Une plateforme chrétienne pour les adeptes du sport

À l’occasion des J.O de Paris qui ont pris fin le 14 août dernier et des jeux Paralympiques qui se dérouleront du 28 aout au septembre 2024, une plateforme chrétienne dénommée GAMES TALK a été lancée pour les amoureux de sport.

Elle est consacrée aux récits inspirants d’athlètes, aumôniers et professionnels du sport qui abordent des sujets tels que la gestion du succès ou le rapport entre le sport et la foi. En outre, elle donne la parole à des athlètes français et internationaux, valides ou en situation de handicap, ainsi qu’à des aumôniers et des professionnels du sport qui abordent divers sujets tels que la gestion du succès, le sport et la foi, le burn-out dans le monde du sport et les transitions de carrière. 

Depuis le 26 juillet, premier jour des JO, des vidéos sont publiées chaque jour sur la plateforme. Elle a été lancée à l’initiative du distributeur multinational de médias chrétiens évangéliques Trans World Radio (TWR) en collaboration avec le groupe de médias français Phare FM afin d’offrir une couverture spéciale des coulisses des Jeux Olympiques à Paris. L’idée étant avant tout de partager un message d’espoir au plus grand nombre !

À lire aussi : Le chrétien face à la pratique du sport (part 1): CE QUE DIT LA BIBLE

La rédaction et infochretienne.com

Par Ephraïm Goshen

Sport et spiritualité : les conseils de la Bible pour les chrétiens

Alors que la Côte d’Ivoire organise la 34e édition de la coupe d’Afrique des nations de football, l ‘occasion est donnée de parler de la place que peut occuper le sport dans la vie du chrétien. Que dit la Bible sur la pratique du sport et comment les chrétiens perçoivent-ils cette activité ?

LES PREMIERS CROYANTS FACE AU SPORT

Dans toute la Bible, le mot « sport », ne figure nullement. Cependant, la question du sport est traduite par l’expression « exercice corporel » en 1 Timothée 4 :7-8 :« Repousse les contes profanes et absurdes. Exerce-toi à la piété ; car l’exercice corporel est utile à peu de chose, tandis que la piété est utile à tout, ayant la promesse de la vie présente et de celle qui est à venir ». Il Faut souligner que Timothée est le fils dans la foi de Paul et réside à Lystre, en Lycaonie (Asie Mineure) dans les années 50. Il est le fils d’un père grec et d’une mère juive, Eunice. Il était jeune (1 Timothée 4 :12) en âge, et aussi engagé dans la pratique régulière du sport qui avait déjà court en Grèce.

En effet, selon le dictionnaire Wikipédia, « La pratique du sport est l’une des caractéristiques de la civilisation grecque antique. On entend parfois plus précisément par Grèce antique la Grèce classique, en particulier l’Athènes du 5è siècle av. J.-C. de Périclès et de celle tragédie, et celle 4è siècle av. J.-C. de Platon et d’Aristote. Les jeux sportifs occupent une place importante pour les Grecs. Ils apparaissent dans leurs deux premiers textes littéraires, l’Iliade e l’Odyssée ce sont les jeux funéraires organisés par Achille après la mort de Patrocle et les jeux Organisés par le roi Alcinoos pour honorer Ulysse. Ils sont étroitement liés à un culte religieux : les Jeux olympiques ont pour but d’honorer Zeus, de même que Pythiques célèbrent Apollon et Jeux les isthmiques Poséidon ».

A lire aussi: Sport : dépendant autrefois d’un marabout, un ex-footballeur devenu chrétien relate les faits

COMMENT CONCILIER SPORT ET PIÉTÉ DANS LA VIE CHRÉTIENNE

Le but de l’Apôtre Paul était d’attirer l’attention de Timothée sur l’essentiel, qui était de s’occuper de l’être intérieur. Tandis que le but de l’activité physique est de développer le volet extérieur de l’homme notamment le corps, Paul montre la nécessité de prendre soin de l’être intérieur.

En témoignent les passages suivants :

Romains 7 :22 :« Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l’homme intérieur » ;

2 Corinthiens 4 :16 « C’est pourquoi nous ne perdons pas courage. Et lors même que notre homme extérieur se détruit, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour ».

Selon la médecine, l’activité physique a pour but de maintenir le corps en bonne santé. Néanmoins, l’Apôtre Paul montre que le corps est soumis à la vieillesse, donc à la destruction. Par contre, l’être intérieur va rajeunissant par la parole de Dieu et le Saint-Esprit.

Toujours est-il que Paul veut faire comprendre que les vraies valeurs chrétiennes sont spirituelles et non physiques. Paul n’est pas contre le sport, évidemment, mais il montre que rechercher la piété est primordial. Car, de même que le sportif le plus amateur a parfaitement conscience de la nécessité de régulier, l’Apôtre Paul met l’accent sur la piété, qui est l’attachement, la consécration à Dieu, qui est la marque du chrétien. Pour lui, c’est ce qui est à travailler en permanence dans la vie du chrétien.

LE SPORT, UN DÉFI POUR LA FOI CHRÉTIENNE

Néanmoins il se sert fréquemment d’illustrations du monde sportif pour aider à comprendre la foi chrétienne. Voici quelques illustrations athlétiques par lesquelles il exhorte les croyants :

Romains 9 : 16 « Ainsi donc, cela ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde ».

Colossiens 2 :18 « Qu’aucun homme, sous une apparence d’humilité et par un culte des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis qu’il s’abandonne à ses visions et qu’il est enflé d’un vain orgueil par ses pensées charnelles », 

Galates 5 :7 « Vous couriez bien : qui vous a arrêtés, pour vous empêcher d’obéir à la vérité ? »

2 Timothée 2 :5 « et l’athlète n’est pas couronné, s’il n’a combattu suivant les règles ».

Hébreux 12 :1 « Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau, et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance dans la carrière qui nous est ouverte »,

1 Corinthiens 9 : 26-27 « Moi donc, je cours, non pas comme à l’aventure ; je frappe, non pas comme battant l’air. Mais je traite durement mon corps et je le tiens assujetti, de peur d’être moi-même rejeté, après avoir prêché aux autres ».

On peut retenir que le chrétien n’est nullement obligé de pratiquer une activité physique, mais qu’il en a le droit si cela lui plaît et que cela ne l’oblige pas à faire des compromis avec la bible. Cependant l’activité physique n’est pas une valeur chrétienne en soi.

A lire aussi: Côte d’Ivoire : La primature initie des prières œcuméniques pour la bonne organisation de la CAN et la consolidation de la paix.

SPORT: DEPENDANT AUTREFOIS D’UN MARABOUT, UN EX-FOOTBALLEUR DEVENU CHRETIEN RELATE LES FAITS

Gilles Yapi Yapo, 41 ans, ex-footballeur professionnel ivoirien devenu entraîneur de foot en Suisse, a accepté de raconter ses deux années de relation de « prestation de services » avec un marabout à Paris.  Ce dernier lui a soutiré 200.000 euros.

Tout commence quand le footballeur a 23 ans et joue au FC Nantes (ouest de la France). 

Alors qu’il « traverse une période difficile au niveau sportif », il décide de consulter ce marabout à Paris, recommandé par son oncle. « Le marabout consultait la nuit dans son appartement, je faisais souvent le trajet Nantes-Paris… » 

« Je ne suis pas attiré par l’occultisme », souhaite souligner M. Yapi Yapo, « mais j’ai grandi en Côte d’Ivoire avec l’idée qu’aller voir un marabout est courant et pas quelque chose de mauvais du moment qu’on ne cherche pas à faire du mal à autrui ».

Le « diagnostic » du marabout pointe une « malédiction » dans sa famille qui l’empêcherait « de réussir et d’être heureux ». Solution préconisée: « faire des sacrifices pour contrecarrer ces malédictions ».

Ces sacrifices – poule, coq, chèvre ou bélier – débutent au tarif de 500 euros, jusqu’à atteindre « des sommes colossales ». 

Et puis un jour, « il y a eu comme de la magie noire », poursuit-il. « Le marabout m’a fait croire que les esprits pour lesquels il travaillait m’aimaient bien et qu’ils voulaient me rendre riche… Cela a été comme un appât. »   

200.000 euros 

Les consultations « changent de voie », à la recherche de cette richesse promise, avec « des sacrifices à 40.000, 50.000, puis 60.000 euros ».  Le footballeur « s’essouffle financièrement ».

Le marabout dit alors « que si il n’y avait plus d’argent, qu’il fallait sacrifier son fils ». « J’ai eu une force en moi qui m’a dit stop et je ne suis plus allé le voir », relate-t-il.

« En deux ans, ces dépenses que je considère aujourd’hui comme une escroquerie se sont montées à 200.000 euros », lance M. Yapi Yapo, qui confie n' »avoir eu aucun résultat positif ». 

Pourquoi avoir poursuivi cette relation tout ce temps ? « Il a su me mettre dans un engrenage où j’avais perdu toute lucidité… »

Il explique « avoir eu la chance alors de rencontrer Jésus » et « la force » de quitter cette relation toxique. Certains marabouts « menacent de représailles », témoigne-t-il, et « donc, il y a une peur de s’en détacher ».

L’aumônier des sportifs de haut niveau en France, Joël Thibault, témoigne avoir dû gérer dans ses accompagnements les « dangers » de telles emprises et « les conséquences désastreuses » sur des footballeurs et des basketteurs.  

« Je sais qu’il y a des clubs, des dirigeants qui donnent des autorisations à des joueurs de partir au Sénégal parce qu’ils sont blessés et que les médecins n’arrivent pas à les soigner; ils vont là-bas et reviennent jouer avec des ceintures de protection et des amulettes. » 

Des joueurs consultant des marabouts en France lui ont raconté que « dès qu’ils allaient moins bien, il fallait augmenter les sacrifices, payer plus cher; ça devient un engrenage ». « Je vois les dégâts… des joueurs qui ont fait une dépression, eu des pensées suicidaires. » 

Belphine Konan

Source : info chrétienne

Le chrétien face à la pratique du sport (part 2) Pasteur Anekore : « LE SPORT DE HAUT NIVEAU CONDUIT A DES COMPROMIS»

Pasteur et Professeur d’Éducation Physique et Sportive, Hermann Anékoré dévoile les risques du sport de haut niveau pour le chrétien.

Pouvez-vous nous définir le sport ?

Le sport se définit comme toutes activités humaines institutionnalisées, codifiées, avec des entraînements programmés, qui s’expriment à travers des compétitions et dans lesquelles l’activité physique est dominante. C’est donc l’expression « activité physique dominante » qui fait la différence entre le sport et les jeux. Toutefois, c’est un abus de langage qui nous amène à parler de sport quand nous voyons des personnes en mouvement. Aussi des activités telles que jouer au ballon dans les quartiers ne sont pas du sport mais plutôt des activités Physiques tout simplement.

Pasteur, y a-t-il compatibilité entre le sport et le christianisme ?

Je dirai plutôt qu’il y a compatibilité entre le christianisme et les activités physiques telles que la marche, le footing ou autres activités similaires qui servent à garder une bonne forme physique en vue de mettre notre corps à l’abri de certaines maladies. Mais quant au sport tel que défini ci-dessus, cette association ‘’ Sport et Christianisme’’ me parait difficile dans la mesure où pratiquer un sport c’est se conformer aux règlements ( code) qui le régissent tels que se mettre en maillots de bain pour la natation ou porter une combinaison (collants) qui dessine totalement toute l’intimité de l’athlète et expose sa nudité. Or, nous n’ignorons pas que le corps du chrétien est sacré surtout celui de la femme et il a besoin d’être couvert (Corinthiens  6:19-20 ).

Le  chrétien ne peut donc pas embrasser une carrière de sportif?

La concordance Christianisme et Sport de haut niveau apparait très clairement impossible. Sauf si l’on fait un compromis avec la parole du Seigneur dans le but de satisfaire ses passions sportives ou pour de l’argent.  Aussi, il convient pour ma part de parler d’un fait généralement inconnu du grand public. Certaines sportives de haut niveau prennent des grossesses et se font avorter à un ou deux mois avant des compétitions. Alors toutes les substances énergétiques emmagasinées par l’organisme pour la nutrition de l’embryon (la grossesse)  sont transférées au niveau des muscles pour donner de bonnes performances aux athlètes. Cette pratique est une forme de dopage subtile que plusieurs ignorent et aussi c’est un meurtre, donc  un péché. Je conseille donc à mes frères de ne pas opter pour une carrière sportive vu les vices, les tentations, les contraintes et les malversations que cela renferme.

Vous en tant qu’enseignant d’EPS et Pasteur, que dites-vous des activités physiques et sportives (EPS), dans les lycées et collèges qui contraignent les croyants à exposer leurs corps ?

Effectivement, c’est une situation complexe à laquelle ils sont confrontés dans les écoles. Ils sont souvent obligés d’avoir des contacts avec des personnes de sexes opposés selon l’objectif de l’activité sportive proposée par l’enseignant. Concernant l’enseignant de l’EPS, il n’est pas directement en contact avec les élèves, donc sa conscience professionnelle mêlée à sa crainte du Seigneur s’il est chrétien, le mettent à l’abri des tentations. Dans le deuxième cas, quand  l’âge de l’enfant et sa corpulence s’apparente à  celui d’un adolescent, une pratique de l’EPS ne devrait pas poser de problème à mon avis. Mais à cause de certaines prédispositions en EPS et en vue d’un meilleur résultat scolaire certains frères et sœurs pratiquent l’EPS avec toutes les contraintes connues.

N’y a -t-il pas de solution à cela ?

Je crois qu’il serait plus indiqué que des enseignantes aient la charge des filles et les enseignants la charge des garçons et cela dans des endroits isolés comme des salles ou des terrains reculés. Mais comme les objectifs des gouvernants sont la pratique de l’EPS  dans le but d’agir  sur la motricité de l’apprenant et d’inciter à la ‘’mixité’’ c’est-à-dire faciliter le rapprochement homme-femme, cette option est à exclure. Aux frères et sœurs élèves chrétiens, des options s’offrent à eux. Pour éviter des occasions de chute ou d’exposer leur nudité, ils peuvent prendre des dispenses médicales en EPS et pratiquer des activités physiques personnelles loin des regards indiscrets, en vue de garder la forme.

Le chrétien face à la pratique du sport (part 1): CE QUE DIT LA BIBLE

A la faveur de la CAN 2019, à laquelle la Côte d’Ivoire participe, l’occasion est donnée de parler de la place que peut occuper le sport dans la vie du chrétien. Que disent les écritures sur la pratique du sport ?

Les premiers chrétiens face au sport

Dans toute la bible, le mot ‘’sport’’, ne figure nullement. Cependant,  la question du sport est abordée pour la première fois par Paul, et traduite par l’expression  « exercice corporel » en 1 Timothée 4 :7-8 :« Repousse les contes profanes et absurdes. Exerce-toi à la piété ;  car l’exercice corporel est utile à peu de chose, tandis que la piété est utile à tout, ayant la promesse de la vie présente et de celle qui est à venir ».

Il faut souligner que Timothée était fils dans la foi de Paul et  réside à Lystre, en Lycaonie (Asie Mineure) dans les années 50. Il est le fils d’un père grec et d’une mère juive, Eunice. Il  était jeune (1 Timothée 4 :12) en âge, et aussi engagé dans la pratique régulière du sport qui avait déjà court en Grèce. En effet, selon le dictionnaire  Wikipédia, « La pratique du sport est l’une des caractéristiques de la civilisation grecque antique. Les jeux sportifs occupaient une place importante pour les Grecs. ».

Le but de l’Apôtre Paul était d’attirer l’attention de Timothée sur l’essentiel, notamment s’occuper de l’être intérieure. Tandis que le but de l’activité physique est de développer le volet extérieur de l’homme, le corps, Paul montre la nécessité de prendre soin de l’être intérieure. En témoigne les passages suivants :

Romains 7:22  « Car je prends plaisir à la loi de Dieu, selon l’homme intérieur » ;

2 Corinthiens 4:16  « C’est pourquoi nous ne perdons pas courage. Et lors même que notre homme extérieur se détruit, notre homme intérieur se renouvelle de jour en jour ». Selon la médecine, l’activité physique a pour but de maintenir le corps en bonne santé. Néanmoins, l’Apôtre Paul montre que le corps est soumis à la vieillesse, donc à la destruction. Par contre l’être intérieur va se rajeunissant par la parole de Dieu et le Saint-Esprit. Toujours en est-il que Paul veut faire comprendre que les vraies valeurs chrétiennes sont spirituelles et non physiques.

Paul n’est pas contre le sport, évidemment, mais il montre que rechercher la piété est primordial. Car, de même que le sportif le plus amateur, a parfaitement conscience de la nécessité de l’entraînement régulier, l’Apôtre Paul met l’accent sur la piété, qui est l’attachement, la  consécration à Dieu, signes distinctifs de la vie chrétienne. Néanmoins, il se sert fréquemment d’illustrations du monde sportif, pour aider à comprendre la foi chrétienne.

Voici quelques illustrations athlétiques par lesquels Paul exhorte les croyants :

  • « Ainsi donc, cela ne dépend ni de celui qui veut, ni de celui qui court, mais de Dieu qui fait miséricorde » (Romains 9:16).
  • « Qu’aucun homme, sous une apparence d’humilité et par un culte des anges, ne vous ravisse à son gré le prix de la course, tandis qu’il s’abandonne à ses visions et qu’il est enflé d’un vain orgueil par ses pensées charnelles » Colossiens 2 :18
  • « Vous couriez bien : qui vous a arrêtés, en vous empêchant d’obéir à la vérité ? » (Galates 5:7).
  • « …et l’athlète n’est pas couronné, s’il n’a combattu suivant les règles » (2 Timothée 2:5).
  • « Nous donc aussi, puisque nous sommes environnés d’une si grande nuée de témoins, rejetons tout fardeau et le péché qui nous enveloppe si facilement, et courons avec persévérance l’épreuve qui nous est proposée » (Hébreux 12:1).
  • «  Moi donc, je cours, non pas comme à l’aventure ; je frappe, non pas comme battant l’air. Mais je traite durement mon corps et je le tiens assujetti, de peur d’être moi-même rejeté, après avoir prêché aux autres » (1 Corinthiens 9:26-27).

On peut retenir que le chrétien n’est nullement obligé de pratiquer une activité physique, mais qu’il en a le droit si cela lui plaît et que cela ne l’oblige pas à faire des compromis avec la Bible. Cependant, l’activité physiquement n’est pas une valeur chrétienne en soi.

La suite à lire: Le chrétien face à la pratique du sport (part 2) Pasteur Anekore : « LE SPORT DE HAUT NIVEAU CONDUIT A DES COMPROMIS»

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