Témoignage : le Seigneur m’a miraculeusement épargné d’un cancer de la tyroïde.

Les promesses de guérisons du Seigneur sont toujours d’actualité. Tel fut le cas du frère Tra BI BAH Patrice du temple de la restauration promise des 220 logements d’Adjamé qui a  été miraculeusement épargné d’un cancer de la tyroïde.

En effet, au mois de décembre 2015, mon épouse a remarqué qu’une épouse a remarqué qu’une petite boule se formait au bas de ma gorge lorsque je me mettais à parler. Elle m’a conseillé de faire une radio.

Ce que j’ai fait immédiatement. Et les résultats montraient que la boule était grosse et qu’elle a commencé il y a peut-être très longtemps.

Mais moi, je n’avais jamais su cela. Puisque je ne ressentais aucune douleur. Cependant, on ignorait ce que c’était exactement. Il fallait donc consulter un spécialiste. C’est ainsi que j’ai été orienté vers un chirurgien digestif. Celui –ci m’a demandé de faire une échographie et une biopsie au Chu de Cocody. A la suite de ces examens, il a été découvert que cette grosse masse se développait dans ma poitrine.

L’hypothèse de la tyroïde a été écartée par les médecins, car celle-ci se forme uniquement dans le cou et non ailleurs. S’agissait-il d’un cancer ou d’autres choses ? Des analyses poussées se sont imposées pour en avoir le cœur net. J’ai expliqué tout cela à mon pasteur et nous avons prié ensemble. Il m’a rassure que les résultats seraient négatifs ; ou alors les médecins diraient que c’est une  chose bénigne.

Les résultats des analyses :

Effectivement, comme l’homme de Dieu l’avait prédit, les spécialistes ont affirmés que ce n’était ni un cancer, ni une hyper thyroïde encore moins une hypo thyroïde. Jetais si soulagé de le savoir. Néanmoins, une opération chirurgicale était nécessaire pour me débarrasser de ce corps étranger. Apres le bilan préopératoire à la suite duquel j’ai été déclaré apte, les médecins m’ont demandé de proposer une date pour mon opération. Je leur dit que je voulais l’approbation de mon berger. Et quand je suis allé rapporter les faits au serviteur de Dieu, il était peu peiné. Selon les médecins, c’est une opération très délicate car il n’y a deux cas de réussite sur dix. Ce n’est vraiment pas évident qu’on en sorte sain et sauf. Nous avons prié a nouveau et le ministre de Dieu m’a encouragé à y aller. Il ajouté que si malgré la prière le Seigneur a voulu que je passe par cette situation, c’est que c’est sa volonté.

Le succès de l’opération :

Avant cela, j’ai prié pour le sujet ; mais je ne voyais pas de bonnes choses. Ce n’était pas sûr que je reste en vie. Mais comme le serviteur de Dieu a confié la requête au Seigneur, alors jetais confiant. Je me suis renseigné, et le chirurgien m’a dit que l’opération durerait maximum une heure et demie. Je suis entré au bloc à neuf heures pour en ressortir vers quatorze heures. Et pendant l’opération, il y a deux coupures d’électricité. Pour montrer combien de fois c’était difficile. A mon réveil, le médecin et l’anesthésiste ont témoigné de la grâce de Dieu à mon égard, car ils ne s’attendaient pas à passer un long moment au bloc. Le chirurgien m’a en outre révélé que le thyroïde c’était développé quatre à cinq fois plus. Et de façon scientifique, lorsqu’une chose n’obéit pas à sa régénérescence ou à sa transformation, cela signifie que c’est un cancer.

Et ils ont affirmé que la chirurgie relève de Dieu, passe d’un individu. Ils le réalisent à nouveau avec mon cas. La masse qui a été enlevée de ma poitrine fut envoyée à la faculté de médecine, au laboratoire d’Anapath, pour une étude. Et par la grâce de Dieu, ils ont conclu que ce n’était pas un cancer. Jésus- Christ m’a encore démontré sa fidélité. Il a dit par ses meurtrissures nous sommes guéris. Donc la guérison est en nous. Ce sont des promesses qui sont là pour nous.

Source: PPTV

Que Dieu vous bénisse !

Krismel Bamba

Argentine : Conversion  de plus de 20 000 personnes lors d’une campagne d’Evangélisation.

Le week-end end dernier, lors d’une campagne d’évangélisation plus de 20 000 personnes ont accepté Jésus en Argentine. La croisade de l’évangéliste Andrew Palau a atteint des milliers d’autres Argentins par le biais de la radio, de la télévision et des réseaux sociaux.

Promu par l’Association Luis Palau, la dernière nuit de l’événement a rassemblé une foule pour entendre un message d’espoir samedi (19), dans un parc, dans la capitale Buenos Aires.
L’évangéliste Andrew Palau a prêché sur la vie abondante que l’on ne trouve qu’en Christ et a appelé le public à vivre dans une relation personnelle avec Dieu.

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La croisade faisait partie d’une plus grande campagne d’évangélisation de deux jours à Buenos Aires, organisée avec le bratien de plus de 1 000 églises locales.

Au total, plus de 20 000 Argentins sont payés à Jésus et aux millions d’autres à la radio, à la télévision et sur les réseaux sociaux.


La croisade de l’évangéliste Andrew Palau a atteint des milliers d’autres Argentins.
La campagne a également autorisé l’évangélisation avec les prisonniers, la formation des dirigeants locaux, les soins de santé pour les sans-abri et des réunions pour les femmes et les enfants.
L’événement a réuni des artistes latins d’Argentine, de Puerto Rico, de la République dominicaine, d’Espagne, du Mexique, de Colombie et des États-Unis.
Fils du célèbre évangéliste Luis Palau, Andrew a déclaré que le travail en Argentine commencé par son père porte ses fruits.
« Ce fut un privilège d’être de retour en Argentine, où Dieu a utilisé papa, maman et notre équipe si puissamment pendant tant d’années », a-t-il déclaré.
« De nombreux fidèles ont donné leur vie pour cette région. Ils ont été fidèles à l’appel du Seigneur et ont planté de nombreuses graines de l’Évangile. Et maintenant, voir le fruit de leur travail acharné et pouvoir participer à la grande moisson est une leçon d’humilité et d’émotion.
Dans les mois à venir, l’Association Luis Palau fera la promotion de croisades dans d’autres pays, dont le Costa Rica, l’Angleterre et l’Égypte.

Source : Ichretiens.com

Krismel Bamba

Témoignage : Pour une pièce de 200 Fcfa, j’ai causé du tort à une innocente.

Rendre le mal par le mal sous prétexte qu’on est une victime, entraine des conséquences regrettables. Lisons les paroles de remords de cet étudiant vivant à Abidjan.

Résidant dans la commune de Koumassi, le bus en commun est mon moyen de transport privilégié à cause du coût de revient rentable. En effet, avec 200F je peux me rendre au Plateau ou Adjamé. Un jour, étant au terminus de bus, après une trentaine de minutes d’attente, notre véhicule pointe enfin son nez.

Dans le respect du rang, nous embarquons au fur et à mesure. Chaque passager présente sa carte de bus ou paye directement le ticket avec le conducteur. Mon tour étant venu, je lui remets une pièce de 200fr. « Ouf, l’occasion m’a été donnée de me débarrasser de cette pièce ‘’lisse’ que j’ai reçu dans un autre bus la veille », me suis-je dit intérieurement. Le conducteur me remet le ticket sans faire attention à l’état de la pièce de 200fr. Heureux, je m’installe confortablement. Alors que les passagers montent progressivement, une clameur attire notre attention. Le conducteur a des altercations avec une passagère du fait, qu’il s’est vu refuser une pièce de 200f par un passager à qui il venait de rendre la monnaie. Automatiquement, il cherche la personne qui lui a remis cette pièce lisse.

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C’est ainsi qu’il a indexé cette dame, qui à son tour, a protesté face à cette accusation. Les échanges devenant très houleux, la dame lance un juron a l’égard du conducteur.  Furieux, ce dernier tente de lui porter main, cependant il est empêché in extremis par d’autres passagers. J’ai alors réalisé les dégâts causés par ma volonté de vouloir coûte que coûte donner une pièce lisse à un conducteur de bus. Mais, je n’ai pas eu le courage d’avouer que la pièce m’appartenait, vu la situation qui s’est envenimée.

Et je craignais aussi la réaction des passagers déjà surexcités. La dame a dû descendre du bus afin que le conducteur démarre. Et moi, le vrai coupable, je suis resté dans le bus. Conscient de l’altercation que j’ai occasionnée, je suis resté confus et triste jusqu’à destination.

Pourtant, j’avais d’autres pièces en bon état dans ma poche. En voulant me débarrasser de cette pièce pour rendre le coup, j’ai provoqué la discorde. Le verset selon lequel le Seigneur nous dit de ne pas rendre le mal par le mal, a eu raison de mon attitude.

Depuis cette période, plus question pour moi de donner une pièce lisse à qui que ce soit. Lorsque je reçois une pièce lisse par inattention, je la jette tout simplement. Car cette expérience est restée un souvenir amer que je ne veux plus revivre.

Que Dieu vous bénisse !

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Krismel Bamba

Exhortation : Pasteur Alla Kouadio ‘’le désert est un test pour tout chrétien’’.

« Tout bon fils de Dieu a un désert devant lui » s’est exprimé le pasteur Alla Kouadio du tabernacle de l’ancienne religion sise à Yopougon cité verte.

L’homme de Dieu a utilisé les livres de deutéronome 8 :1 à 4 et Apocalypse18 :4 comme testes de base en vue de véhiculer son message. Selon lui, le désert est un bon test, il est utile car cela permet à Dieu de faire le tri entre les vrais et les soi-disant chrétiens. Le prédicateur a ajouté que le Seigneur Jésus met au devant de chaque chrétien un désert, c’est dans le but d’éprouver sa foi et voir la manifestation de la semence qui est en lui. « C’est pour cette raison qu’il a fait errer les enfants d’Israël pendant 40 ans dans le désert ; alors que 11 jours suffisaient pour rentrer à Canaan » a-t-il précisé. Dans le développement de son sermon, il a déploré le cas des 10 espions envoyés par Moise dans le pays de la promesse. Ces derniers ont rendu un faux témoignage et apeuré le peuple par leur incrédulité.

Il les a assimilés aux hommes de Dieu non appelés. Le pasteur a de ce fait encouragé l’auditoire à imiter Josué et Caleb. En effet, bien qu’il y ait eu des géants à Canaan ils ont cru qu’ils obtiendront la victoire car c’est un Ainsi dit le Seigneur. « Josué et Caleb représentent respectivement le Saint esprit et le bon croyant » a insisté le ministre de Dieu. Et d’avertir  que satan se dresse sur le chemin des chrétiens pour empêcher d’aller au ciel.

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Que Dieu vous benisse !

Krismel Bamba

Payement de la dîme : Ma négligence a failli me couter la vie.

La dîme est une ordonnance pour tout chrétien. La désobéissance à cette pratique conduit à des châtiments venant du Seigneur Jésus. Tel fut le cas de ce jeune  chrétien vivant à Abobo.

Je me nomme Y.I étudiant en Gestion Commerciale et membre d’une assemblée du message. De façon récurrente, je négligeais le payement de la dîme. Lorsque j’ai une petite entrée d’argent, je privilégie mes besoins personnels et je me dis qu’en ce qui concerne la dîme cela peut attendre. Mais, cette mauvaise habitude a failli un jour me coûter la vie.

 En effet, un dimanche après le culte, j’ai reçu une importante somme d’argent de la part d’un parent. Au lieu de m’acquitter de ma dîme, j’ai jugé bon d’en différer le payement et m’offrir un nouveau téléphone portable, en remplacement de celui qui était défectueux. Ainsi, le lendemain vers 20 h, après avoir effectué toutes mes courses, je rentrais tout joyeux à la maison. Chemin faisant, j’ai ressenti le besoin d’uriner.

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J’ai privilégié le téléphone à la dîme

 Alors, j’ai marqué un arrêt près d’un grand caniveau pour me soulager. Au même  moment, j’ai aperçu cinq jeunes hommes venant dans ma direction. Arrivé à mon niveau, l’un d’entre eux s’est approché de moi feignant  d’avoir un besoin pressant. Pendant que ses compagnons patientaient à quelques mètres de là. Il sort plutôt un couteau automatique qu’il avait enfoui dans son pantalon. Lorsque j’ai discerné que j’avais affaire à des braqueurs, j’ai essayé de m’échapper. Malheureusement, j’ai glissé et je suis tombé dans un caniveau.

Puisque j’avais perdu l’équilibre, j’ai préféré garder mon calme pour éviter d’aggraver mon sort. Ils m’ont tous rejoint dans le canal d’évacuation et ont pointé leurs couteaux sur ma gorge et mon bas ventre. Quand ces brigands m’ont saisi par les cols, pris par l’étau, sans même qu’ils me demandent quoi que ce soit, je leur ai remis tout ce que j’avais en ma possession. C’est-à-dire mon téléphone portable nouvellement acquis et deux autres. J’étais vraiment triste sur le champ mais plus tard après réflexion, j’ai compris que cette agression est survenue parce que je n’ai pas voulu payer ma dîme. J’exhorte donc les frères et sœurs à toujours payer leur dîme. Pour ma part, j’ai été délivré de ce mauvais comportement.

Que Dieu vous bénisse !

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Krismel Bamba

Témoignage : J’ai fait un procès à Dieu et il m’a confondu.

Lorsqu’on se trouve dans la détresse et qu’on pense que Dieu nous a abandonné, il démontre toujours sa fidélité. Tel fut le cas de ce jeune chrétien vivant à Abidjan.

Dans la matinée du samedi 20 juin 2015, le jour de mon anniversaire, la femme de mon cousin m’a appelé pour me souhaiter un joyeux anniversaire. Elle a profité pour m’encourager à persévérer dans la foi. Après ce coup de fil, couché sur mon lit, je me suis mis à pleurer et me plaignais  à Dieu en disant «  Seigneur, à quand mon tour ?Tous mes amis ont réussi, je suis si fatigué d’attendre ». Il m’a répondu : «  Mon fils si tu savais que tout ce que tu voyais n’était que vanité et également tout ce que je fais pour toi! Ta santé et ta vie devraient te suffire ! »

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 Le lendemain, je marchais dans une rue aux environs de 23h30, lorsqu’un jeune homme a enfoncé un couteau dans mon cou. Il m’avait suivi pendant près de 20 minutes. Lorsque je me suis retourné en criant, il m’a demandé de lui donner tout ce que j’avais. Soudain, une force surnaturelle m’a traversé et d’un coup de pied, je l’ai fait tomber. Il n’a pas eu le temps de récidiver lorsqu’un passant est intervenu et il s’est enfui. Jetais grièvement blessé et me vidais de mon sang. on m’avait transféré aux urgences du CHU de Yopougon. Les médecins en service de ce jour, avaient trouvé la situation tellement délicate qu’ils hésitaient quant à la décision à prendre. C’est le jour suivant, sur insistance de mes parents, dont un député, qu’ils ont décidé de faire une opération de mon cou. Je suis resté presque lucide. Oui j’étais presque vidé de mon sang.

Le miracle du Seigneur :

 Il fallait trouver du sang A+. Là encore ce fut un calvaire. Tout ce temps, je devrais attendre. Ce n’est qu’à 15h que l’on m’a transféré au bloc opératoire. J’en suis ressorti seulement à 20h. Le médecin qui m’a opéré fut surpris de mon endurance. Il m’a dit à deux reprises « ton Dieu est très très fort » je venais d’être sauvé par Jésus et c’est en ce moment que je me suis rappelé que j’avais fait un procès à Dieu. Je me suis confessé et j’ai pardonné à mon bourreau. J’ai ainsi vu jusqu’où Dieu peut nous sauver des situations.il m’a montré sa fidélité, et aujourd’hui je travaille en tant qu’assistant d’un député. Je ne cesserai jamais de lui être reconnaissant.

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Que Dieu vous bénisse !

Krismel Bamba

Port du pantalon : Le Seigneur Jésus m’a humiliée pour mon entêtement

La désobéissance à la parole de Dieu conduit à l’humiliation et à la repentance. Tel fut le cas de cette sœur chrétienne .

Je suis la sœur Esther. Lorsque j’étais encore dans le monde, je m’habillais correctement et décemment. Mais un jour, j’ai décidé de changer mon style vestimentaire comme toutes mes camarades, en portant dorénavant  le pantalon. Je me trouvais belle devant le miroir  dans ce vêtement. Je me disais: «  je suis si belle en pantalon et je me néglige ». Et une voix intérieure m’a dit : « tu ne dois pas porter ce genre de vêtements » et moi de répondre : « arrière de moi , Satan ».

Cette tenue laissait voir toutes mes rondeurs et j’en étais fière. Et lorsque je suis sortie de la maison pour  faire des courses, tous ceux qui n’avaient jamais jeté un regard sur moi, ont commencé à m’interpeller au point de me faire la cour. Certains me demandaient : « pourquoi caches- tu ta belle courbe ? ». Les compliments fusaient de partout. Cela me faisait énormément plaisir de savoir que je ne laissais point les hommes indifférents. Pour tout dire, je me sentais femme. Parce que selon moi, une femme doit pouvoir attirer l’attention de la gente masculine quand elle s’habille. Ainsi, avec joie et fierté, je continuais mon chemin, mon fils sur le dos.

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Comment Dieu m’a obligée à me repentir.

 Une fois arrivée vers le zoo d’Abobo, je ne sais comment cela est arrivé, j’ai glissé sur le trottoir au milieu d’une foule. J’ai roulé jusqu’à me retrouver dans un caniveau rempli de boue. Mon pantalon était tout sale. Chose étrange, le trottoir n’était pas glissant et il n’était pas possible que je trébuche à cet endroit. Mon fils, par miracle n’a pas été sali. J’ai discerné que le Seigneur a voulu m’humilier.

J’ai compris que c’est lui qui m’avait interpelée dans la chambre quand je portais le pantalon. Confuse, j’ai dit : «  Seigneur, j’ai compris la leçon. Plus jamais je ne porterai une telle tenue ». Toute honteuse, j’ai cherché un autre chemin pour regagner ma maison. J’ai dû faire un grand détour pour éviter de croiser tous ceux qui m’avaient complimentée.

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Krismel Bamba

APRES UN ACCIDENT, LES OS BRISES RESTAURES

« Quand le Seigneur te fait une grâce particulière, soit reconnaissante et publie ses hauts faits », confie maman Odette, à travers ce témoignage.

Ces faits remontent en 2016, alors que je vivais à Man. Ma sœur ainée et moi avions pour activité la fabrique et la vente d’attiéké. Pour ce faire, je quittais souvent Zagoué (village situé à 5km de Man) pour la rejoindre à Man. Un après-midi de dimanche, nous étions en partance pour le moulin en vue de broyer le manioc épluché.

Je portais une cuvette d’eau sur la tête et tenais un seau à la main. Ma sœur avait déjà traversé la route et j’étais sur le point de le faire aussi. Au même instant, j’ai été projetée sur le goudron par une moto qui roulait à vive allure. Vu la violence du choc, j’ai perdu connaissance et je suis restée inconsciente durant des heures.  Une fois revenue à moi, je me suis retrouvée à l’hôpital avec la jambe fracturée et de profondes blessures à la cuisse. 

Vivante, mais en décomposition 

J’ai été libérée de l’hôpital le même jour, puis transférée à Zélé (un village voisin) pour des soins. Malgré un traitement d’un mois, ma situation s’est empirée. Ma chair au niveau de la cuisse était en décomposition. Les mouches m’envahissaient. J’ai donc été amenée dans un autre village. Les gens pensaient que j’avais ‘’sacrifié’’ mon pieds en sorcellerie. J’ai dit « non je ne peux pas me maltraiter de la sorte ». Dans mon for intérieur, je ne faisais que prier le Seigneur. Le tradipraticien m’a consultée et a demandé qu’on m’envoie un médecin car il ne pouvait que souder mes os fracturés.

Une fois ce médecin arrivé, il m’a examinée et conclu l’amputation de ma jambe à l’hôpital de Man. ‘J’ai pleuré, crié au Seigneur’’. C’est ainsi que ma sœur qui résidait à Biankouman devait trouver un véhicule pour me transporter à Man.

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Mon fils voyant ma souffrance m’a dit : « maman, je vais prendre des comprimés pour me suicider en sacrifice pour toi, pour que tu vives. »

De la pourriture à la renaissance

Le soir, un autre médecin m’a examinée et a affirmé qu’il pouvait stopper le processus de décomposition de ma chair. Concernant les os brisés, il a ajouté que seul le Seigneur s’en chargera. J’ai arrêté de me lamenter, et ce même jour, nous avons informé ma petite sœur à Biankouman et les autres membres de ma famille de cette bonne nouvelle.

A l’aide d’une paire de ciseaux, le médecin devait enlever toute la chair en putréfaction de ma jambe. Plus il retirait la chair morte pour laisser place à la chair fraiche, plus la douleur était atroce. Il faisait cette opération sans anesthésie. Je me suis évanouie par moments. Mais avec abnégation et amour, ce brave médecin reprenait l’ouvrage. Au terme de son opération, un gros vase était rempli de ma chair pourrie.  Ensuite, il a nettoyé le peu de chair restée sur les os de cette jambe et a appliqué un médicament. Au troisième jour, du sang a commencé à jaillir de cette chair restaurée.

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Ma foi éprouvée

La plaie a commencé à se refermer, cependant je ne pouvais pas bouger la jambe à cause des os broyés. Un orthopédiste était désormais à mes soins. Il a affirmé que certains morceaux de mes os étaient introuvables et cela compliquait la tâche.  Vu qu’une partie de mes os n’avait pas de chair, l’orthopédiste ne savait que faire pour que la chair repousse. Mon beau-frère venu de San-Pedro a fait mains et pieds auprès des médecins pour qu’on trouve une solution afin que ma chair repousse. Mon fils à Abidjan faisait les mêmes démarches pour moi. Résultat, aucun médecin ne pouvait m’aider.

Intérieurement, je croyais que le Seigneur était capable de tout. Sans désespérer, j’ai mis ma confiance au Dieu Tout Puissant. J’ai résolu en moi-même de faire mes soins avec les médicaments que j’avais en ma possession. Et j’étais convaincue que le Dieu que j’adore opérerait le miracle.  

Quand le Dieu créateur entre en scène

Ainsi, je mettais les médicaments et j’attachais ma jambe. En deux semaines de traitement le Seigneur a fait son travail dans le secret. Toute la chair est revenue. Toute ma chair et la peau décomposée avaient été restaurées, malgré les os brisés. Progressivement, je me déplaçais à quatre pattes dans la maison. On me tenait debout pour que je m’asseye. Cependant, Je ne pouvais toujours pas me tenir debout. Je priais tous les jours, je pleurais, je demandais la compassion du Seigneur Jésus afin qu’il jette un regard favorable sur moi.

Les premiers pas de victoire

Dans cette attente, quoi que ne pouvant pas marcher, j’ai donné ma vie au Seigneur en croyant au Message du temps de la fin. Je me suis fait baptiser à Man.

Un jour, avec l’aide du Seigneur, prenant appui sur la table d’une machine à coudre j’ai réussi à me tenir debout.  Lorsque mon beau m’a vue arrêtée toute seule, il a crié de joie et appelé ma fille pour qu’elle vienne contempler le miracle. Dès lors, c’était un nouveau départ. Je pouvais désormais me déplacer en m’appuyant sur un bâton.

 Je reviens de loin, j’ai passé ainsi deux années sans pouvoir marcher, ni bouger ma jambe.  Je suis restée allongée tout ce temps. Je dis infiniment merci au Seigneur Jésus-Christ pour ce qu’il a entendu mes cris. Je persévère toujours   dans la prière afin qu’il me permette de marcher sans béquille. Que le Seigneur bénisse les médecins ainsi que tous ceux qui m’ont soutenue spirituellement et financièrement.

Cissé Krismel.

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