Otages du Hamas : 30 poussettes vides devant la tour Eiffel pour réclamer la libération des enfants.

30 poussettes vides ont été installées à quelques mètres de la tour Eiffel à Paris Ce jeudi 26 octobre 2023 pour réclamer la libération des enfants pris depuis près de vingt jours en otage par le Hamas.

Chaque affichette, accrochée sur une poussette, porte la photo du visage en gros plan du jeune otage, surmontée de « kidnappé(e) le 7 octobre » sur fond rouge. Sous le visage, le nom et l’âge de la personne et #BringThemBack (Ramenez-les).

« Nous voulons que cela touche le cœur et la conscience de chacun », a déclaré à l’AFP Yonathan Arfi, président du Conseil représentatif des institutions juives de France (Crif), à l’initiative de cette action, qui vise à « la libération de ces enfants ». Une opération semblable s’est également déroulée à Nice et Marseille, dans le sud-est de la France, a-t-il ajouté.

« La France a différents moyens d’intervention, mais elle a notamment des relations privilégiées avec le Qatar, avec l’Egypte, avec la Turquie aussi, qui peuvent avoir un levier sur le Hamas », a souligné Yonathan Arfi, qui en appelle à l’activation « rapidement » et « avec force » du « levier diplomatique français ».

Plusieurs actions ont eu lieu ces derniers jours à travers Paris, pour alerter l’opinion publique, selon des responsables de la communauté juive en France. L’Union des étudiants juifs de France (UEJF) organise par exemple le collage sur les murs de la capitale de photos des otages, français ou autres, enfants et adultes. Jeudi soir, devraient être projetées des photos d’otages sur les murs de mairies d’arrondissements.

Plus de 1 400 personnes ont été tuées sur le territoire israélien par les hommes du Hamas, en majorité des civils fauchés par des balles, brûlés vifs ou morts de mutilations au premier jour de l’attaque menée à partir de Gaza, selon les autorités israéliennes. Le Hamas a également enlevé quelque 220 personnes, Israéliens, étrangers ou binationaux, selon Israël.

Source : I24NEWS

Krismel Bamba

France : Marche pour Jésus dans les rues de paris.

Marche pour jésus un évènement qui se tiendra le 3 juin dans les rues de paris. Une rencontre qui réunira plus de 10 000 chrétiens de toute la France.

« Il y aura  plusieurs temps forts pour cette journée mémorable. Tout d’abord, il y aura neuf camions de louange qui accompagneront la marche, créant une atmosphère de joie et d’adoration. Les participants pourront se joindre à ces moments de louange et proclamer que Jésus est le Sauveur et le Roi des Rois. Ensuite, nous aurons des moments de prière et de proclamation pour ouvrir la voie au règne de Dieu et résister aux puissances des ténèbres. La Marche pour Jésus est également une occasion pour le peuple de Dieu de se mobiliser dans l’évangélisation, en témoignant de l’amour de Jésus à ceux qui ne le connaissent pas encore ». A déclaré Gilbert Lèonian président de la marche pour Jésus dans son interview.

La Marche pour Jésus trouve ses origines en Angleterre dans les années 70, mais elle s’est rapidement propagée dans d’autres pays, y compris en France. À Paris, une petite équipe s’est mobilisée dans les années 80-90 pour vivre cette expérience unique.

Krismel Bamba

Israël: Décès de l’ancien ministre et avocat Georges Kiejman à 90ans.

L’ancien ministre et avocat Georges Kiejman est décédé ce mardi 09 Mai 2023, à Paris à l’âge de 90ans.

Georges Kiejman souffrait de problèmes cardiaques depuis 2019 et ne se rendait plus à son cabinet d’avocat parisien. Il a plaidé dans des affaires retentissantes comme celles des caricatures de Charlie Hebdo, l’acquittement de Pierre Goldman ou encore le meurtre de Malik Oussékine.

Il s’était spécialisé dans la défense des écrivains, éditeurs ou cinéastes. Il a également été ministre sous la présidence de François Mitterrand, dans les gouvernements de Michel Rocard, Édith Cresson et Pierre Bérégovoy.

Source: I24.News

Krismel Bamba

COVID-19/ A PARIS, DES DEPUTES DEBATTENT SUR LA REOUVERTURE DES LIEUX DE CULTE EN PLEIN CONFINEMENT

Les députes, réunis au Palais-Bourbon ont échangé le mercredi 04 novembre dernier au sujet de la réouverture des lieux de culte pendant le confinement lors du débat sur la prolongation de l’état d’urgence sanitaire jusqu’au 16 février 2021.

De nombreux croyants se sont déjà exprimés contre la fermeture des églises, c’est le cas du président de la Conférence des évêques de France qui a notamment déposé un référé liberté devant le conseil d’Etat. Les Républicains ont également adressé une lettre à Emmanuel Macron le 30 octobre dernier, pour demander l’autorisation des cultes malgré le confinement.

Julien Aubert, député de la 5e circonscription du Vaucluse s’est notamment positionné mercredi en faveur de la tenue des cultes pendant la période du confinement. Le député a argumenté qu’il était difficile de donner une valeur « essentielle » ou non au fait d’aller prier pour les croyants. Il a également ajouté que la présence même des députés dans l’hémicycle représentait une incohérence à l’interdiction des cultes :

« Pourquoi les députés pourraient être rassemblés à plus de deux cent dans une salle pendant plusieurs heures avec un siège de différence, et pourquoi ils ne pourraient pas être à cinquante à un siège de différence sur des bancs d’église pendant une heure ou dans une synagogue ? »

L’INSCRIPTION “MERE ET MERE” SUR L’ACTE DE NAISSANCE EST UNE ABOMINATION

Le dimanche 6 octobre, Ludovine de la Rochère, présidente de la Manif pour Tous, a tenu un discours a Paris suite à la manifestation contre la PMA ( procréation médicalement assistée). À cet effet, elle a encouragée les militants et a affirmé que L’amendement consacrant l’homoparentalité dans les formulaires scolaires proposant l’inscription « parent 1 » et « parent 2 » sur les formulaires scolaires n’est rien d’autre qu’un « mensonge d’État ».Pour elle, l’enfant issu d’un couple de femmes a une « mère » et une « belle-mère », « la conjointe de sa mère ».Dans le cadre de la PMA pour toutes, il est question d’inscrire « mère et mère » sur l’acte de naissance des enfants de couples de femmes ayant eu recours à la PMA.

Madame Bullohet a précisé aussi, qu’il y’ aura donc deux mère sur l’acte de naissance. Car dit-elle « n’importe quel dictionnaire, indique qu’une mère est ‘une femme qui a mis au monde un ou plusieurs enfants’ ». Un enfant élevé par deux femmes éventuellement, a une mère et une belle-mère, c’est-à-dire, la conjointe de sa mère. Il n’y a bien qu’une seule des deux femmes qui a été enceinte, qui a vécu la maternité. »

Donc inscrire la conjointe de la mère elle aussi, ce serait faire comme si les deux femmes avaient conçu ensemble, attendu et mis au monde l’enfant. Ce serait faire comme si deux femmes avaient la maternité et l’accouchement qui sont des évènements immenses dans la vie d’une femme, ce qui est évidemment en l’occurrence faux. « C’est un mensonge d’Etat »

 « En droit, on dit que ‘mater semper certa est’, c’est-à-dire, ‘’la mère est toujours certaine, puisque la mère est celle qui attend l’enfant et qui accouche’’. Donc on ne peut pas dire d’une femme qui n’a pas vécu la maternité, qui n’a pas porté l’enfant et qui n’a pas accouché est la mère de la même manière. L’enfant a été porté par une seule des deux femmes. C’est tout simplement aberrant de mettre ‘mère’ et ‘mère’. En utilisant la technique comme si un enfant pouvait avoir deux mères, encore une fois, et donc toutes les solutions proposées sont aberrantes.

Paris : L’inauguration de la ‘’place Jérusalem’’ suscite des oppositions

Situé dans le 17e arrondissement de Paris, la  « place de Jérusalem » a été  inaugurée, le dimanche 30 juin en présence d’Anne Hidalgo, maire de Paris, de Geoffray Boulard, maire de l’arrondissement et de Moshe Leon, maire de Jérusalem. Cette décision a entrainé une polémique, opposant la maire de Paris à ses alliés écologistes et communistes, ainsi qu’aux associations propalestiniennes.

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Anne Hidalgo, maire de Paris a justifié cette décision par la nécessité, « en cette période de recrudescence des actes à caractère raciste et antisémite », de rappeler les liens entre Paris et « la communauté » juive, et de « commémorer l’amitié qui unit la Ville de Paris et l’État d’Israël ».

Ce n’est pourtant pas la première fois que Jérusalem donne son nom à un endroit de la capitale puisqu’une rue de Jérusalem a existé. Nommée ainsi depuis le Moyen-Âge, l’artère parisienne qui longeait Notre-Dame avait cependant été détruite en 1883 lors des travaux d’agrandissement du palais de justice.

Selon Catherine Vieu-Charier, la réattribution du nom de Jérusalem à une rue de Paris faisait l’objet de plusieurs demandes et était depuis longtemps parmi les projets de la municipalité. « Certains avancent que la demande à l’origine de la décision actuelle viendrait de Joël Mergui [président du Consistoire central israélite de France, NDLR], mais s’il a fait la demande, il l’a faite comme n’importe qui aurait pu la faire. »

Pourtant, présentée le 15 avril en commission de dénomination, la proposition n’avait initialement pas posé problème. « Aucune remarque, aucun débat contradictoire », se rappelle Catherine Vieu-Charier, adjointe à la maire de Paris en charge du dossier.

Ce n’est que plus tard, lors de la délibération élaborée en Conseil de Paris, que l’élue communiste, également présidente de la commission d’attribution des noms de rues, de places, d’espaces verts et d’établissements municipaux, a vu naître certaines réticences, principalement en provenance des groupes communiste et écologiste. Frileux à l’idée de baptiser une place de ce nom sans insister davantage sur les conflits qui traversent la ville de Jérusalem – ce que Catherine Vieu-Charier a refusé –, les deux groupes, qui ont depuis demandé à la maire de Paris de renoncer à sa décision, avaient fait le choix de l’abstention.

Fermement opposée à cette attribution, Danielle Simonnet, élue La France insoumise du 20e arrondissement, avait quant à elle proposé que soit ajoutée, sous les mots « Place de Jérusalem », une précision : « Avec le vœu qu’elle devienne la future capitale de deux États ». Amendement rejeté. Danielle Simonnet décide donc de voter contre le texte général. « À partir de ce moment, la polémique a commencé », se désole Catherine Vieu-Charier.

Source France 24.

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