Nés avec la drépanocytose comme moi, ma petite sœur et mon grand frère n’ont pas survécu à cette maladie. Je rends ce témoignage pour montrer la grâce de Dieu dans ma vie.
Je suis issu d’une
famille de sept enfants, dont trois sont nés avec la drépanocytose, une maladie
héréditaire et génétique. Il s’agissait de ma petite sœur, mon grand frère et
moi.
Une
enfance volée par la drépanocytose
Ladite maladie nous a
énormément fait souffrir durant notre enfance. Nous piquions régulièrement des
crises qui nous rendaient méconnaissables. Nous n’arrivions même plus à
marcher, à nous déplacer à cause des douleurs. Ce mal nous empêchait de nous
divertir comme les autres enfants. Particulièrement, je ne pouvais pas sortir
sous la pluie, ni jouer au football. Quand je m’entêtais à le faire, je
revenais toujours à la maison avec des douleurs aux articulations, je perdais
même l’usage de mes pieds.
Et dans cette situation
les parents étaient obligés de nous faire un massage corporel avec des pommades
pharmaceutiques prescrites par notre médecin particulier. Ce dernier était
chargé de suivre notre état de santé et de nous prescrire les médicaments
appropriés pour traiter cette maladie. Pendant tout ce temps, je priais avec
mes parents. Malheureusement, en 1995, ma petite sœur a été emportée par cette
maladie. Cela été un choc pour la famille. L’année suivante, ce fut le tour de
mon frère ainée. Il ne restait plus que moi sur la liste. N’étant pas conscient
car étant encore enfant, je ne prenais pas correctement mes médicaments. Malgré
cela, le Seigneur a veillé sur moi.
Le
songe de ma délivrance
En 2000, il faut rappeler que Dieu dans sa grâce m’a fait voir un songe une nuit. Dans ce songe, j’ai vu une femme très âgée que je ne connaissais pas ; celle m’avait pris dans ses bras. Elle était assise et j’avais mis ma tête sur sa poitrine. Elle me faisait un massage aux pieds et aux bras, choses que mes parents faisaient lorsque je piquais mes crises. A mon réveil, j’ai demandé à mon père de me donner l’explication. Mais ne le pouvant, il m’a recommandé un homme de Dieu. Toutefois, je n’ai pas consulté ce dernier, de peur de recevoir une interprétation qui n’allait pas me satisfaire. J’ai donc préféré garder ce songe pour moi. Depuis ce moment, les crises ont commencé à diminuer.
Ma
guérison suite à la conversion à Christ
Des années plus tard, j’ai
connu le Message du temps de la fin. On m’a annoncé le vrai évangile selon
lequel Jésus-Christ est Dieu manifesté en chair. J’ai pris mon baptême le 05
Juin 2011 dans le nom du Seigneur Jésus-Christ. Persévérant dans l’Eglise du
Seigneur au Plateau-Dokui, Dieu m’a fait grâce d’avoir l’explication du songe
que j’avais fait dans mon enfance.
En effet, cette vieille
femme qui m’avait recueilli dans mes moments de souffrance, était cette Eglise
à laquelle j’appartenais dorénavant ; semblable à celle du commencement à
la Pentecôte. Les soins que m’administrait cette femme étaient le symbole de ma
guérison en Jésus-Christ. Et depuis que j’ai intégré cette Eglise, je n’ai plus
eu de crise due à la drépanocytose. Le Seigneur Jésus m’a totalement guéri. Je Lui
rends la gloire car Il m’a préservé. Que son nom soit glorifié aux siècles des
siècles.
« Ecris à l’ange de l’Eglise d’Ephèse: Voici
ce que dit celui qui tient les sept étoiles dans sa main droite, celui qui
marche au milieu des sept chandeliers d’or: …” (Apocalypse. 2.1-7).
Messager-étoile : l’apôtre Paul
Message : Garde
ton premier amour !
Signification du Nom : Le mot Ephèse
signifie: laisser échapper, se relâcher
Le
Seigneur reproche à ce premier âge de l’Eglise d’avoir abandonné son premier
amour. Les croyants commençaient à abandonner l’expérience originale de la
Pentecôte, permettant à l’esprit Nicolaïte de se glisser furtivement dans
l’Eglise. Les hommes commençaient à créer un clergé, lequel s’attribuait
l’autorité sur les laïcs. Le Seigneur louait les élus de cet âge, parce qu’ils
haïssaient les œuvres des Nicolaïtes qui aspiraient à avoir un rang dans
l’Eglise et à gouverner. Les croyants qui demeuraient fermes dans
l’enseignement original pouvaient aisément détecter les faux apôtres, car leur
enseignement ne coïncidait pas avec la doctrine fondamentale de la Bible.
Ceci s’applique encore aujourd’hui. Toute doctrine qui ne s’accorde pas parfaitement avec l’enseignement des apôtres et des prophètes est fausse. Paul était si sûr de l’infaillibilité de son enseignement qu’il fut inspiré à prononcer une malédiction sur quiconque aurait l’audace de prêcher un autre évangile (Gal. 1). La Parole de Dieu qui a été prononcée à l’origine est la Vérité, et toute interprétation de Celle-ci est une erreur et un mensonge du diable. Au commencement était la Parole, la Semence originale. Mais alors, cependant, l’ennemi vint dans le jardin d’Eden questionner subtilement Eve, et il commença à tordre le sens de la Sainte Parole de Dieu et à l’interpréter à sa manière. Et ces Nicolaïtes tombèrent dans le même piège qu’Eve.
Il y a une grande différence entre
prêcher la Parole-Semence originale, et l’interpréter. L’une apporte la Vie
spirituelle, l’autre apporte la mort spirituelle. L’ennemi ne nie pas toujours
la Parole de Dieu; il vint même au Seigneur Jésus avec la Parole. Satan fait un
mauvais usage de la Sainte Parole de Dieu; il L’interprète faussement et La
place mal à propos.
Les vainqueurs font comme Jésus, ils demeurent avec laParole originale, et c’est par la parole de leur témoignage qu’ils sont victorieux de l’adversaire. La promesse, faite dans le premier âge aux vainqueurs, était qu’ils auraient part à l’Arbre de Vie, Lequel Se trouve au milieu du paradis de Dieu. C’est parce qu’Eve avait écouté l’interprétation du serpent qu’elle et Adam furent chassés du paradis, et qu’ils furent séparés de l’Arbre de Vie. Mais, par Christ, les vainqueurs sont ramenés à l’Arbre de Vie, et dans le paradis de Dieu.
EGLISE DE SMYRNE (de l’an 170 à 312)
“Voici ce que dit le premier et le
dernier, celui qui était mort, et qui est revenu à la vie…”.
Messager-étoile : Irénée
Message : Sois
fidèle jusqu’à la mort
Signification du Nom : La
signification du mot Smyrne donne l’idée de l’amertume. Ce mot
est dérivé de myrrhe, laquelle est un baume associé à la mort.
La signification du mot Smyrne donne
l’idée de l’amertume. Ce mot est dérivé de myrrhe, laquelle est
un baume associé à la mort. Ceux qui ont cru les interprétations venant de
l’ennemi, lesquelles sont connues comme étant les œuvres des Nicolaïtes,
meurent spirituellement. Dans le temps de cette Eglise, ils établirent une
sacrificature, laquelle gouvernait les laïques; celle-ci fut établie sans tenir
compte du fait qu’il est dit à l’égard de toute l’Eglise du Nouveau Testament
qu’Elle est une Sainte Sacrificature. Toutes les dénominations ont été faites
sur le modèle de la première organisation religieuse, et elles sont toutes animées
du même esprit. L’apparence des formes extérieures ne peut changer ce fait. La
première organisation est, selon la Parole de Dieu, la mère, et toutes celles
qui ont suivi sont ses filles (Apoc. 17).
Les véritables croyants de cet âge souffrirent de
dures tribulations; du point de vue humain ils étaient pauvres et ils furent
outragés, et cela de la part de ceux qui prétendaient être de vrais Juifs,
c’est-à-dire de véritables croyants, mais qui en fait étaient “une synagogue de
Satan”. Le Seigneur encourage les Siens par cette parole: “Ne crains en
aucune manière les choses que tu vas souffrir”. La persécution vient
toujours de ceux qui pensent être les seuls dans le vrai, mais qui en fait n’y
sont pas du tout. Les vrais enfants de Dieu ne persécutent pas les autres, mais
ce sont eux qui sont persécutés (Gal. 4.28,29).
L’adversaire veillait à ce qu’ils soient jetés en
prison et doivent passer par une grande tribulation. Ce que cette parole
prophétique appelle “une tribulation de dix jours” recouvre, dans l’histoire de
la persécution des chrétiens, les dix plus mauvaises années de persécutions
sous Dioclétien, de l’an 300 à 310 apr. J.-C. Celui qui durant toutes ces
circonstances persévérait et demeurait fidèle jusqu’à la mort devait recevoir
la couronne de la vie. La promesse faite est celle-ci: “Celui qui vaincra
n’aura point à souffrir de la seconde mort” (v. 11). La première mort
arrive lorsque l’âme quitte le corps, mais la deuxième mort arrive après le
jugement dernier, lorsque l’esprit quitte l’âme.
Les élus de Dieu ne s’inclinèrent pas
devant les fausses doctrines et, par conséquent, ils eurent à endurer de
terribles persécutions. L’exhortation qui leur fut faite était qu’ils demeurent
fidèles jusqu’à la mort; alors, ils recevraient la couronne de vie, et la
seconde mort n’aurait aucun pouvoir sur eux.
Cet âge de l’Eglise dura jusqu’en l’an 312. Beaucoup d’hommes exercèrent leur ministère durant cette période, mais, selon la révélation divine, Irénée fut celui que Dieu avait choisi pour être le messager-étoile dans la main droite du Seigneur. Il demeura fermement fondé sur la doctrine des apôtres, et il prêcha le Plein Evangile. Son ministère fut confirmé par le Dieu Tout-Puissant au moyen des signes qui l’accompagnaient.
EGLISE DE PERGAME (de l’an 312 à 606)
“Voici ce que dit celui qui a l’épée
aiguë, à deux tranchants…” (Apoc. 2.12-17).
Messager-étoile : Saint-Martin
Message : Avertissement
au sujet du Balaamisme et du Nicolaïsme
Signification du Nom : le nom Pergame signifie “hauteur ou élévation”
Durant cet âge, le groupe Nicolaïte
devint une église établie, et celle-ci s’unit à l’état. C’est là que la
doctrine de Balaam s’introduisit. Balaam avait invité les enfants d’Israël à
célébrer une grande fête avec les Moabites, et c’est ce qui causa la chute
d’Israël. De la même manière, Constantin arrangea un concile à Nicée, et il y
invita les deux groupes. Israël était tombé ans le piège préparé par Balaam,
bien que ce peuple eut été témoin du ministère confirmé par Dieu du prophète
Moïse. Ce péché ne lui fut jamais pardonné.
En ce temps Satan avait déjà établi son siège
principal au milieu de la chrétienté dans l’apostasie. En 325 après Christ
avait eu lieu le concile de Nicée, auquel avaient pris part environ 1 500
délégués. C’est là que l’on avait mis l’accent de manière toute particulière à
propos de la prééminence du clergé sur les soi-disant laïcs. Les deux orateurs
principaux étaient Athanase et Arius.
Durant cet âge de l’Eglise, l’église
apostate s’unit à l’état, le paganisme s’unit au christianisme. Le programme
entier était arrangé de manière tellement subtile, que les chrétiens charnels
s’y laissèrent prendre.
Même pendant ce temps, il y eut de
vaillants hommes de Dieu, qui tinrent fermement à la Vérité. Ils fortifièrent
les élus, lesquels ne firent de compromis ni avec l’état, ni avec l’église
apostate.
La promesse pour les vainqueurs était
qu’ils recevraient la manne cachée et une pierre blanche, sur laquelle était
écrit un nom nouveau, que seul pourrait connaître celui qui la recevrait.
Cet âge de l’église dura jusqu’en l’an 606. Selon la révélation divine, Saint-Martin fut le messager-étoile dans la main droite du Seigneur. De tous les grands hommes qui proclamèrent l’Evangile en ce temps-là, il était celui qui se tenait le plus près de l’enseignement apostolique. Son puissant ministère était accompagné par les signes scripturaires.
EGLISE DE THYATIRE (de l’an 606 à 1520)
“Voici ce que dit le Fils de Dieu, celui qui a les
yeux comme une flamme de feu, et dont les pieds sont semblables à de l’airain
ardent…” (Apoc.
2.18-29).
Messager-étoile : Colomban
Message : Mise
en garde contre la séduction par fausse inspiration
Signification du Nom : Le nom Thyatire (odeur
d’affliction) est un dérivé du verbe Thuo qui signifie sacrifié.
Ce qui avait commencé
dans le début de l’Eglise d’Ephèse, et qui était connu comme étant les œuvres
des Nicolaïtes, est devenu dans cet âge l’église papale, laquelle dominait dans
cette période. L’Eglise fut alors poussée avec violence dans l’âge des
ténèbres. Il semblait qu’il n’y avait presque plus de trace de christianisme
authentique en elle, ni d’enseignement réellement biblique, mais Dieu avait un
reste qui était conduit par le Saint-Esprit, selon Sa Parole.
Ce faux système est comparé par le
Seigneur à celui de Jézabel, qui avait introduit l’idolâtrie en Israël.
Partout où une femme passe par-dessus les frontières
fixées par la Parole, et commence à enseigner les autres sur des thèmes
bibliques, elle commence aussi à s’élever au-dessus des Saintes Ecritures et de
son mari. C’est un signe que l’on ne peut méconnaître, elle est dominée de la
manière la plus pieuse par des puissances de l’ennemi. C’est la raison pour
laquelle l’apôtre dit: “Que vos femmes se taisent dans les assemblées, car
il ne leur est pas permis de parler; mais qu’elles soient soumises, comme le
dit aussi la loi. Et si elles veulent apprendre quelque chose (non pas si
elles désirent enseigner), qu’elles interrogent leurs propres maris chez
elles…” (1 Cor. 14.34,35). Du fait que nous avons affaire à l’Evangile
éternellement valable de Jésus-Christ, les lignes de conduite fixées dès le
commencement sont valables jusqu’à la fin. C’est sur l’ordre de Dieu que
l’apôtre se réfère à ce qui s’est passé dans le jardin d’Eden et indique aux
femmes la place qui est la leur.
Comme Eve autrefois qui, lors de la conversation avec
le serpent, écouta et entraîna Adam avec elle dans la chute, ainsi ces
serviteurs tombèrent avec la femme Jésabel, “… en les entraînant à commettre
la fornication et à manger des choses sacrifiées aux idoles” (Apoc. 2.20),
Il ressort clairement du contexte qu’il ne s’agit pas de prostitution
charnelle, mais bien de fornication spirituelle. Des femmes qui se présentent
comme prophétesses se garderont bien de commettre elles-mêmes la fornication
charnelle avec les serviteurs de Dieu, car elles perdraient tout de suite leur
autorité spirituelle et leur influence sur eux. Cette “Jésabel” qui agit en
même temps comme prophétesse et comme doctoresse, fut invitée à se repentir,
comme également ceux qui étaient entrés en relation avec elle. Les enfants
spirituels nés de ce mélange ont eu à souffrir la mort spirituelle.
La promesse faite aux vainqueurs était qu’ils
recevraient autorité sur les nations, et qu’ils les paîtraient avec une verge
de fer. “… Et je lui donnerai l’étoile du matin”.
Cet âge dura jusqu’en l’an 1520. Selon la révélation divine, Colomban fut le messager-étoile dans la main droite du Seigneur. Son ministère était fondé sur la Parole originale de Dieu, et confirmé par le Tout-Puissant.
EGLISE DE SARDES (de l’an 1520 à 1750)
“Voici ce que dit celui qui a les sept esprits de Dieu
et les sept étoiles…” (Apoc. 3.1-6).
Messager-étoile : Martin Luther
Message : Le juste vivra par la foi(L’AGE DE LA REFORMATION)
Signification du Nom : Le mot Sardes
signifie: ceux qui échappent
Cet âge nous amène au temps de la
réformation, au cours de laquelle un rayon de lumière jaillit après la longue
période de l’âge des ténèbres. Dieu, dans Sa grâce infinie, commença quelque
chose de nouveau en ramenant Sa Parole vivante où régnait la torpeur spirituelle.
Une Eglise
peut avoir la réputation d’être vivante et cependant être spirituellement
morte. La possibilité existe de posséder apparemment la vie spirituelle, et
même d’exercer les dons de l’Esprit, toutefois seul l’Esprit de Dieu est
capable de manifester la Vie divine. La lumière allumée dans cet âge augmenta graduellement
jusqu’à ce que la pleine révélation de Jésus-Christ soit apportée aux croyants
dans ces derniers jours.
Le Seigneur dit: “Je connais tes
œuvres. Je sais que tu passes pour être vivant, et tu es mort”. Cette
église employait les titres de la même manière que le faisait l’église Romaine.
Elle n’avait pas reconnu que le Nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit était
celui de Seigneur Jésus-Christ.
Ceux qui crurent le message envoyé par
Dieu pour ce temps-là ne souillèrent point leurs vêtements. La promesse que
reçurent les élus de cet âge, fut: “Celui qui vaincra sera revêtu ainsi de
vêtements blancs; je n’effacerai point son nom du livre de vie…”.
“Que celui qui a des oreilles entende ce
que l’Esprit dit aux Eglises!”.
Cet âge de l’Eglise dura jusqu’en l’an 1750. Durant ce temps, il y eut plusieurs vaillants hommes, lesquels eurent part à l’œuvre de réformation, mais, selon la révélation divine, Martin Luther fut le messager-étoile dans la main droite du Seigneur. Il parut en proclamant ce message: “Le juste vivra par la foi”.
EGLISE DE PHILADELPHIE (de l’an 1750 à 1906)
“Voici
ce que dit le Saint, le véritable, celui qui a la clef de David…” (Apoc. 3.7-13).
Messager-étoile : John Wesley
Message : Le temps de l’amour fraternel
Signification du Nom : Le mot Philadelphie vient du grec ancien Philadelphia qui signifie
amour d’un frère ou d’une sœur ; en résumé amour fraternel
Cette Eglise ne reçut aucune parole de
répréhension de la part du Seigneur. Ce fut le grand âge missionnaire. Les
croyants qui étaient saisis par l’inspiration de la Parole et de l’Esprit de
Dieu s’en allèrent dans le monde entier. Les gens ne discutaient pas la Parole,
ils La vivaient. Une puissante conviction tombait sur ceux qui écoutaient la
prédication de la Parole de Dieu. Ce fut un temps glorieux dans l’histoire de
l’Eglise. L’impact de la prédication était si puissant que même ceux qui
faisaient partie de la synagogue de Satan devaient le reconnaître, et ils
s’inclinaient devant la Parole.
Les croyants reçurent la promesse d’être gardés à l’heure de la tentation qui devait venir sur le monde entier dans le dernier âge de l’Eglise, dans lequel le vrai et le faux sont si étroitement associés. Par la grâce de Dieu, seuls les élus seront capables de distinguer le vrai de l’imitation.
Cet âge qui suivit la réformation est en même temps la
période de la porte ouverte et de l’amour fraternel. La prison babylonienne
avait été forcée et les portes pour la publication de l’Evangile s’ouvraient
désormais sur le monde entier. Bien qu’au commencement leurs forces aient été
faibles, les croyants tinrent fermement à la Parole et ne renièrent pas le Nom
du Seigneur. Ce dernier fit en sorte que des gens de la “synagogue de Satan” en
sortirent et que, dans l’Eglise, par la puissante publication de l’Evangile,
ils se prosternèrent devant le Seigneur.
Les vainqueurs de cet âge de l’Eglise
reçurent la promesse de devenir une colonne dans le temple de Dieu.
Ce glorieux âge de l’Eglise dura jusqu’en 1906. Selon la révélation divine, le messager-étoile dans la main droite du Seigneur était John Wesley, lequel continua à porter le flambeau de la Parole en proclamant la glorieuse révélation de la sanctification.
EGLISE DE LAODICEE
(de l’an 1906 etdurera jusqu’à l’enlèvement de l’Eglise-épouse de Christ)
“Voici ce que dit l’Amen, le témoin
fidèle et véritable, le commencement de la création de Dieu” (Apoc. 3.14-22).
Message : Avertissement
à cause de la tiédeur et de la nonchalance
Signification du Nom : le nom Laodicée (grec : Laodikéia) provient de la forme contractée
de deux mots ‘’Laos ‘’ (peuple) et ‘’dikéia’’ (justice ou droit) qui
signifie le droit des peuple. La démocratie.
Les conditions de cet âge de l’Eglise
sont des plus pathétiques, et le Seigneur n’a pas un mot de louange pour lui.
La caractéristique de cet âge, c’est que l’Eglise se séduit elle-même: “Je
suis riche, je me suis enrichie, je n’ai besoin de rien…”. Elle est
extérieurement bien dotée des richesses du monde, mais elle est inconsciente du
fait qu’elle est malheureuse, misérable, pauvre, aveugle et nue. Celui qui a
des yeux comme une flamme de feu regarde et voit la condition véritable de
Laodicée.
Certainement que dans cette église, on
parle encore de Lui et on chante Ses louanges, et que les membres de cette
église sont engagés dans une forme d’adoration, mais les activités mondaines
ont la prééminence en son milieu. Au lieu de prendre du temps pour la prière
avant et après le service divin, les gens se réjouissent d’avance des jeux et
des divertissements qui suivront la réunion. Ils ne réalisent même pas qu’ils
L’ont évincé. Il n’est plus au milieu d’eux. “Voici, je me tiens à la porte
et je frappe…”. Généralement, l’église pense que cette déclaration est
faite au pécheur, mais Dieu l’applique à l’église. Le Seigneur Se tient au
dehors, frappant, et nous demandant de Lui ouvrir la porte.
Sous de faux-semblants, l’église de cet
âge donne l’impression que le Seigneur est avec elle. Les gens ferment
intentionnellement les yeux sur la situation réelle décrite par le Seigneur
Jésus Lui-même dans la Parole de Dieu. C’est le temps le plus trompeur de tous
les âges, parce que les gens essaient toujours de recréer une atmosphère de
réveil, ne voulant pas admettre leur condition réelle. Mais, parce qu’ils ne
croient pas la Vérité, “Dieu leur envoie une puissance d’égarement pour
qu’ils croient au mensonge” (2 Thess. 2.11). Qui que nous soyons, si nous
rejetons la Vérité, nous nous ouvrons automatiquement à l’erreur.
De la manière la plus astucieuse,
l’ennemi place un piège aussi bien devant chaque église et dénomination que
devant chaque évangéliste et prédicateur. Il leur accordera même du succès,
aussi longtemps qu’ils ne reconnaissent pas le messager et le message que Dieu
a envoyés pour ce temps. Certains d’entre eux proclament même ne jamais vouloir
entrer dans le Conseil mondial des Eglises, et cependant, ce même esprit est
sur eux, et c’est inconsciemment qu’ils participent à ce même système. Chaque
organisation chrétienne est animée par le même esprit qui créa la première
église organisée. Quiconque rejette le message de Dieu révélé par le
Saint-Esprit recevra immanquablement la marque de la bête.
Toutes sortes de choses sont déclarées
être un mouvement de l’Esprit. Le juste et le faux sont associés si étroitement
que seuls les élus, ceux qui sont fondés dans la Parole, pourront discerner la
différence.
Il y a le mouvement charismatique qui essaie
d’apporter la vie spirituelle, même dans le Conseil mondial des Eglises, lequel
est, selon la prophétie, l’image de la bête. Mais l’Esprit de Dieu appelle: “Sortez
du milieu d’eux, et séparez-vous, dit le Seigneur; ne touchez pas à ce qui est
impur, et je vous accueillerai”(2 Cor. 6.17). De même que Christ est hors
du camp dans cet âge de Laodicée, de même, tous les élus qui ont entendu Sa
voix sortent de chaque camp religieux, et chacun prend sa place avec Lui, la
Parole, et porte Son opprobre; mais ils ont, aussi, la promesse de partager Sa
gloire.
La promesse est: “Celui qui vaincra,
je le ferai asseoir avec moi sur mon trône…”.
Sans l’ombre d’un doute, il y a beaucoup
d’hommes remarquables dans les différentes dénominations, mais quel était le
messager-étoile choisi pour notre génération? Le critère doit toujours demeurer
scripturaire, et nous ne pouvons pas considérer le succès, la personnalité, ou
autres impressions. Nous devons discerner le choix de Dieu.
Devant le Dieu Tout-Puissant, nous déclarons sans l’ombre d’une hésitation que frère Branham est identifié par l’Ecriture, et qu’il a été confirmé par Dieu comme étant l’ange-messager de cet âge de l’Eglise. Que tous ceux qui ont des oreilles puissent entendre ce que l’Esprit dit aux églises, et qu’ils ne soient pas retenus plus longtemps par les traditions, mais qu’ils en sortent plutôt, et se séparent de toute incrédulité.
sources: Les sept ages de l’Église par William Branham
Voir des femmes porter des pantalons de nos jours n’émeut pratiquement plus, contrairement aux années antérieures. Est-ce normal ? Qu’en disent les écritures ?
Origine du port du
pantalon par la femme
Pendant longtemps, les femmes ne portent pas de pantalon,
suivant l’assertion populaire selon laquelle une fille qui porte des pantalons
est une fille qui se conduit mal car une femme honnête a les genoux sales.
« C’est en Perse qu’on rencontre les premiers pantalons
féminins. En Europe, le pantalon pour femme ne devient courant qu’au cours du
XXe siècle. Auparavant, à cause des interdits religieux et des valeurs
attachées traditionnellement à chaque genre (courage pour l’homme, pudeur pour
la femme) s’imposait la différence sexuée dans l’habillement, et le port du
pantalon par la femme était interdit et condamné.
Quelques femmes au cours du XIXe siècle porteront le
pantalon, des artistes comme Rosa Bonheur ou George Sand, bénéficiant d’une
relative complaisance des autorités. Mais, deux circulaires préfectorales (1892
et 1909) atténuent l’interdiction, autorisant le port du pantalon féminin si la
femme tient par la main un guidon de bicyclette ou les rênes d’un cheval.
Comment le sport a
favorisé le port de pantalon
Mais c’est la pratique du sport, comme l’alpinisme ou le
cyclisme qui ont élargi la pratique du port du pantalon. Toutefois, des
résistances persistent : en 1930, la championne olympique Violette Morris est
déboutée de sa plainte contre la Fédération féminine sportive de France qui l’a
radiée à cause de son comportement et son habillement masculin, jugeant «
déplorable » l’exemple qu’elle donne à la jeunesse.
Le travail, motif du port
de pantalon
Le pantalon n’était toléré que pour les femmes faisant un
métier d’homme. Ainsi, en Angleterre, les femmes travaillant dans les mines de
charbon de Wigan furent parmi les premières à porter des pantalons pour
accomplir leur travail dangereux. Elles portaient une jupe au-dessus du
pantalon, mais cette jupe était enroulée jusqu’à la taille pour ne pas gêner
leurs mouvements. Leur tenue choqua la société victorienne de l’époque. Dans
l’Ouest américain, au XIXe siècle, les femmes travaillant dans les ranchs
portaient le pantalon pour chevaucher.
Au début du XXe siècle, des aviatrices et des femmes actives
se sont mises à le porter.
Durant la Première Guerre mondiale et la Seconde Guerre
mondiale, les femmes travaillant dans les usines ou exécutant d’autres «
travaux pour hommes » commencent à porter les vêtements civils de leurs maris
mobilisés, y compris leurs pantalons. Dans l’après-guerre, le pantalon est
devenu une tenue de détente acceptable pour le jardinage, la plage, et d’autres
activités de loisirs.
Les hôtesses d’Air France ont quant à elles dû attendre 2005
pour avoir droit au pantalon.
L’effet de mode
Par ailleurs, trois actrices célèbres, Marlène Dietrich,
Greta Garbo et Katharine Hepburn, portaient volontiers le pantalon, voire le
smoking, à Hollywood dans les années 1930, ce qui choquait beaucoup dans
l’Amérique puritaine et en crise.
Plus tard, dans les années 1960, André Courrèges, puis Yves
Saint Laurent, a présenté le pantalon pour femmes comme vêtement de mode,
menant à l’ère des jeans chics et des pantalons de tailleur. Par la suite,
l’interdit social pour les femmes de porter un pantalon dans les écoles, sur le
lieu de travail et dans les restaurants chics, a peu à peu disparu.
Au Soudan, la loi interdisant le port de tenue indécente est
interprétée par les autorités soudanaises comme une interdiction du port du
pantalon par les femmes, ce délit étant puni de quarante coups de fouet.
Sources : / Wikipedia
QU’EN DISENT LES
ECRITURES ?
Dieu fait une
distinction entre l’homme et la femme
Certes, ce monde prône l’égalité entre l’homme et la femme. Mais
le Seigneur ayant horreur de la confusion, met toujours la différence entre
l’homme et la femme. Déjà sur l’apparence, nous voyons que l’homme et la femme
sont conçus différemment au plan physiologique. Même sur la chevelure, il y a
une distinction faite au niveau de la longueur : « La nature elle-même ne vous enseigne-t-elle pas que c’est une honte
pour l’homme de porter de longs cheveux, mais que c’est une gloire pour la
femme d’en porter, parce que la chevelure lui a été donnée comme voile ? »
1 Corinthiens 11 : 14-15.
Le pantalon, un vêtement exclusivement masculin. Quand on en
vient sur le vêtement, une mise en garde sévère est donnée par le Seigneur : « Une
femme ne portera point un habillement d’homme, et un homme ne mettra point des
vêtements de femme ; car quiconque fait ces choses est en abomination à
l’Eternel, ton Dieu » Deutéronome 22 :5. Ici, le Seigneur ne s’adresse
pas seulement à la femme, mais il parle aussi à l’homme. Mais en faisant le
constat sur le respect de ce commandement, on voit que c’est la femme qui a
quitté position.
Le premier vêtement
Dans les Saintes écritures, l’habillement de l’être humain
est intervenu dans un contexte lié au péché dans le jardin d’Éden. Lorsque que
nous lisons Genèse 2 :25, il est mentionné que « L’homme et sa femme étaient tous deux nus, et ils n’en avaient point
honte ». Il ressort de ce passage qu’à l’origine l’homme n’avait pas été
formé pour s’habiller, au même titre que tous les animaux. Poursuivons en
lisant Genèse 3 : 6-7 « … Les yeux de
l’un et de l’autre s’ouvrirent, ils connurent qu’ils étaient nus, et ayant
cousu des feuilles de figuier, ils s’en
firent des ceintures ». Le premier ‘’ vêtement ‘’ que l’homme s’est
fabriqué après le péché commis, fut un cache-sexe fait en feuille de figuier.
Plus tard, en lieu et place de feuilles de figuier, « L’Eternel
Dieu fit à Adam et à sa femme des habits de peau, et il les en revêtit »
Genèse 2 :21. Dès lors, il n‘était plus possible à l‘homme et à la femme de
rester nus comme le sont encore les animaux.
Quand la femme quitte
sa position
Aujourd’hui, en dehors des travestis, de certains artistes
comédiens, il est quasiment impossible de voir un homme avec tous ses sens,
s’habiller en vêtements de femme. Par contre, en parcourant les rues, les
bureaux et les églises, on aperçoit les femmes en pantalon. Comme au
commencement dans le jardin d’Éden, on remarque que la femme a encore quitté sa
position. Ce n’est pas à tort que l’apôtre Paul rempli du Saint-Esprit exhorte
les femmes à s’habiller décemment : « Je veux aussi que les femmes, vêtues
d’une manière décente, avec pudeur et modestie » 1 Timothée 2 :9.
L’émancipation
Le vent de l’émancipation soufflant sur plusieurs pays, de
nombreuses femmes trouvent en cela une occasion pour s’habiller en vêtement
d’homme. Le pantalon, nul ne peut le contester, est un vêtement d’homme. Même
si on entend l’expression ‘’pantalon de femme’’, on n’entendra pas l’expression
‘’jupe d’homme’’. Ce mépris des Saintes Écritures a été aussi favorisé par
nombreux stylistes et femmes populaires qui en ont fait l’écho et la promotion.
La mode, est devenue le modèle, à tel point qu’on entend des expressions «c’est
la mode». Oui, le temps évolue,
l’émancipation gagne du terrain, les femmes négocient les mêmes droit avec les
hommes.
La responsabilité des
hommes de Dieu
Voir des femmes en pantalon, dans des Assemblées dites
chrétiennes et même en train de diriger des cantiques doit-nous ouvrir les yeux.
N’ont-ils jamais lu le verset de Deutéronome 22 :5 qui interdit à la femme de
s’habiller en vêtement d’homme ? Évidemment, ils l’ont lu. On entend certains
dire « Dieu regarde au cœur, c’est
l’essentiel », pour justifier le fait qu’une femme peut porter le pantalon.
Pour d’autres, « les temps ont
changé » et ce passage de Deutéronome 22 :5 est révolu. Mais tout cela
n’annule aucun verset biblique : « Le
ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point » Matthieu
24:35.
L’homme doit-il vivre selon la mode ou selon la parole de
Dieu ? Les guides religieux et conducteurs d’églises sont également coupables
de cet affront à Dieu. Plusieurs prédicateurs ont jeté l’éponge et n’ont pas le
courage de dit haut et fort ce que dit la Bible. Les véritables adorateurs
n’ont pas de force pour résister contre la volonté de Dieu. Une fille de Dieu remplie du Saint-Esprit
ne se mettra pas en pantalon, car son souci, c’est de plaire à Dieu, et non au
monde.