Donc les « Lélés » sont devenues des modèles maintenant ?

« Le monde n’a plus de frein hein ; comme on le dirait dans notre jargon. » Avec toutes ces personnes inspirantes qui existent dans ce pays, on trouve quand même le prétexte d’inviter sur un plateau télé deux filles ayant une relation contre nature. Des lesbiennes qui parlent sans tabou de leur orientation sexuelle. Elles vont plus loin en expliquant en détail comment elles se procurent du plaisir. « En fait on utilise nos doigts, on utilise nos pieds, des sex-toys… bref, je préfère m’arrêter là. »  En quoi est-ce que cela est édifiant ? n’est ce pas une manière d’encourager la jeunesse à s’adonner à ces pratiques abominables ?

Notre pays regorge de la matière grise. Il existe des hommes, des femmes et même des jeunes qui impactent positivement la société. Ces derniers sont mis de côté et l’on se focalise sur les vices, l’abomination et la médiocrité. Hier on faisait l’apologie du viol en plein plateau télé, aujourd’hui c’est le lesbianisme qui est à « l’honneur ». Demain à quoi nous devons nous attendre ? Je m’interroge. Franchement, ce sont des choses à revoir. Il faut prôner l’excellence , les bonnes mœurs et les bonnes valeurs.

Alire aussi:Homosexualité : l’abomination à nos portes !

Flora TEHE

Nigéria : une indignation après le viol et le meurtre d’une étudiante dans une église.

Agée de 22 ans, une étudiante nommée Uwavera Omozuwa a été violée le samedi 30 mai dans une église de Benin city et est morte après avoir passé trois jours dans un hôpital. Sa mort a provoqué une vague d’indignation au Nigéria, où des manifestations sont en cours. Sur les réseaux sociaux, ils appellent à l’arrêt des violences faites aux femmes sous le JusticeForUwa.

Judith Omozuwa explique à la BBC que sa sœur se rendait à l’église pour étudier. Elle avait commencé des études de microbiologie à l’Université de Benin City.

Si Judith affirme qu’Uwavera a été violée, un porte-parole de la police du sud de l’État d’Edo ne parle lui que de meurtre. Les médias locaux parlent eux d’un viol commis par des « voyous introduits de force dans l’église ». Le pasteur Enoch Adeboye a « condamné fermement cet acte ». Il a appelé au calme et à la prière.

SYRIE : SUZAN DER KARKOUR, UNE CHRETIENNE DE 60 ANS TORTURÉE, VIOLÉE ET ASSASSINÉE

L’autopsie a révélé que Suzanne a subi la torture de viols répétés en continu par des terroristes depuis l’après-midi du lundi 15 jusque tôt dans la matinée du mardi 16 juillet à Idlib, soit quelques heures seulement avant la découverte de son cadavre

Suzan Der Karkour était une enseignante à la retraite. Bénévole, elle aidait les jeunes à obtenir leurs examens dans l’église de Yaqubiye. Dans ce village chrétien, il ne restait plus que 18 femmes. Les autres avaient fui les violences des terroristes. Mais, Suzan avait fait le choix d’y rester et de poursuivre son engagement. SOS Chrétiens d’Orient a annoncé qu’elle a été torturée, violée et assassinée. C’est le prêtre de la ville qui, inquiet de ne pas la voir, est allé à sa recherche. Il a retrouvé son corps dans son champ.

L’Observatoire Syrien des Droits de l’Homme confirme : « Son corps a été retrouvé avec des marques de torture. Et, selon des informations médico-légales, la femme aurait été torturée environ 9 heures avant d’être lapidée par des inconnus. »

Claire Evans, directrice de International Christian Concern a évoqué celle qui était « un pilier de la communauté » :

« Suzan était un pilier de sa communauté. Sa mort prématurée et la manière dont elle a été assassinée sont horribles. Il approfondit d’avantage l’ombre qui a frappé les chrétiens qui sont restés en Syrie pendant près d’une décennie de conflits violents. L’état de droit, la justice et la responsabilité doivent être rétablis en Syrie. Sinon, nous sommes témoins de l’extermination lente mais féroce du christianisme dans un pays où il existe depuis plus de 2 000 ans. »

Verified by ExactMetrics