Voici comment obtenir définitivement la guérison divine

Comment se manifeste la maladie, et surtout comment la vaincre. Sida, Ebola, Cancer, Diabète, Insuffisance rénale…Jésus-Christ guérit toujours.

Pour ce sujet sur la guérison divine, nous l’introduisons par ces paroles d’Esaïe 53 verset 17 « Mais il était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris ». Mieux, Jean 3 verset 14 nous fait passer de la guérison à la vie éternelle que nous lisons : « Et comme Moïse a élevé le serpent dans le désert, il faut de même que le Fils de l’Homme soit élevé afin que quiconque croit en lui ait la vie éternelle ».

  1. l’origine de la maladie

La chute

Depuis le jour où, sur l’influence mensongère du serpent, les premiers êtres humains ont mangé l’arbre de la connaissance du bien et du mal, que le créateur leur avait pourtant défendu de manger, les germes de la mort se sont implantés en eux. En effet, Dieu avait averti Adam en lui disant : « tu pourras manger de tous les arbres du jardin ; mais tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras. » (Genèse 2 : 16-17). Après la désobéissance, Dieu avait la latitude du choix du canal de la mort : la maladie entre autre.

La Malédiction

Désormais, l’homme et la femme qui avaient été créés parfaits, dominant spirituellement, physiquement et mentalement sur toutes choses, sont devenus imparfaits suite à la malédiction du péché. Tous les attributs de la mort et du péché que sont la maladie, la vieillesse, la  souffrance, la haine, l’orgueil et la méchanceté devinrent le lot quotidien de l’homme et de la femme.

Définition de la maladie

Etymologiquement, la maladie se définit comme un ensemble d’altérations qui engendrent un mauvais fonctionnement de l’organisme. Au-delà de la définition classique de la maladie, nous pouvons ajouter qu’elle est causée par un germe qui est une minuscule cellule vivante ; la plus petite de toutes les cellules. Ce germe de vie lors de notre conception nous fait croître et devenir un germe humain. Une fois dans le corps, ces germes qui n’ont pas de formes définies s’étendent et s’attaquent aux cellules et les altèrent. Ils rongent les cellules du corps et se nourrissent du sang, entraînant ainsi un dysfonctionnement du système organique. A partir de ce moment, le corps infecté et ou affecté, commence à se plaindre de douleur ou de malaise.

  1. Pourquoi la maladie ?

La responsabilité de l’homme dans la maladie

Cette responsabilité prend sa source dans la désobéissance à l’ordre que Dieu donna à l’homme. Dieu lui avait expressément dit : « …tu ne mangeras pas de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, car le jour où tu en mangeras, tu mourras » (Genèse 2 : 16-17). Comme nous pouvons le lire, la désobéissance à cet ordre était liée à la mort et ses attributs que sont la maladie, la vieillesse (qui est la mort lente).

La responsabilité de Satan dans la maladie

Après la chute, l’homme perdit son autorité et sa domination sur la nature. Les êtres visibles et invisibles tels que les microbes, les virus et bactéries qui étaient sous son autorité se rebellèrent contre lui et devinrent des instruments entre les mains du diable et des démons pour le tourmenter. Le mot démon signifie tourmenteur, celui qui vient tourmenter une personne dans le but de la détruire. La femme courbée pendant 18 ans avait été rendue infirme par un esprit ‘’d’infirmité’’ (Luc 13 : 11-16). L’aveugle muet était tourmenté par le démon muet (Matt 12 : 22). L’enfant lunatique (Matt 17 : 15) était malade et tourmenté par un esprit sourd muet que Jésus-Christ et ses disciples appelèrent démon (Marc 9 : 38 ; Matt 17 : 14-21).

L’homme de Gerasa souffrant de folie était possédé par une légion de démons. Une fois les démons chassés par le Seigneur, le possédé retrouva la raison (Marc 5 : 15). Le serviteur du centenier romain était tourmenté par un esprit de paralysie. La belle-mère de Pierre était atteinte d’un esprit de fièvre que le Seigneur menaça et qui sortit d’elle (Luc 4 : 38-39). Les malades d’Ephèse sur lesquels on appliqua les mouchoirs qu’avait touchés Paul, l’étaient par l’influence d’esprits mauvais car la Bible affirme que les maladies les quittèrent et les esprits malins sortirent. Ils sortirent d’où ? Evidemment de leur corps (Actes 19 : 11-12).

 Certes, il arrive parfois que Dieu permet à la maladie d’atteindre l’homme afin de le châtier, l’éprouver (Deut 28 : 15, 20-22, 27-29, 35-67 ; Job 2 : 6 ; 33 : 14 ; 2 Chron 21 : 12-20), mais l’instrument utilisé pour une telle action est Satan.

La maladie en tant qu’élément de la souveraineté de Dieu

Notre créateur a permis la chute et par cela, la maladie pour que son attribut le Grand médecin soit manifesté.

  1. Les types de la guérison divine dans l’ancien testament confirmés par le sacrifice de christ sur la croix

La peau des agneaux du jardin

Lorsqu’Adam et Eve transgressèrent l’ordre du Seigneur en mangeant de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, « Les yeux de l’un et de l’autre s’ouvrirent, ils connurent qu’ils étaient nus, et ayant cousu des feuilles de figuier, ils s’en firent des ceintures. » (Genèse 3 : 7). Il est à remarquer qu’Adam et Eve cousirent les feuilles de figuier pour cacher la partie du corps par laquelle ils péchèrent. Néanmoins, malgré leur effort pour soulager leur conscience, ils durent se cacher de devant Dieu lorsqu’il leur appela (Genèse 3 : 8). Pourquoi ? Parce que les feuilles de figuier (types de religion) ne pouvait pas satisfaire aux exigences de Dieu quant au péché, ni ôter la crainte du châtiment du coupable. D’ailleurs, nous constatons qu’en dépit de leurs actions personnelles, Dieu leur châtia au même titre que le serpent. Ce n’est qu’après les avoir jugés que Dieu montra l’unique moyen d’apaiser sa colère. Ce moyen était le sang répandu. Dieu devrait prendre des vies innocentes à la place des coupables Adam et Eve. Les habits que Dieu fit à Adam et à sa femme provenaient de peaux d’agneaux immolés à cause du péché (Genèse 3 : 21).

L’offrande d’Abel

L’offrande d’Abel fut agréée par Dieu parce qu’elle était en accord avec sa pensée rédemptrice liée au sacrifice sanglant de Christ, l’agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde, ainsi que ses attributs dont la maladie.

Le serpent d’airain

Concernant le serpent d’airain, la Bible nous relate ce qui suit : « Ils partirent à la montagne de Hor par le chemin de la mer Rouge, pour contourner le pays d’Edom. Le peuple s’impatienta en route, et parla contre Dieu et contre Moïse : … Alors l’Eternel envoya contre le peuple des serpents brûlants ; ils mordirent le peuple, et il mourut beaucoup de gens d’Israël. Le peuple vint à Moïse et dit : Nous avons péché, car nous avons parlé contre l’Eternel et contre toi. Prie l’Eternel, afin qu’il éloigne de nous ces serpents. Moïse pria pour le peuple. L’Eternel dit à Moïse : Fais-toi un serpent brûlant, et place-le sur une perche ; quiconque aura été mordu, et le regardera ; conservera la vie. Moïse fit un serpent d’airain, et le plaça sur une perche ; et quiconque avait été mordu par un serpent, et regardait le serpent d’airain, conservait la vie.

Dans la Bible le serpent symbolise le péché et le mal. L’airain (bronze) symbolise lejugement. Selon la signification symbolique, le serpent de bronze représente le péché déjà jugé. Ainsi, par la foi au sacrifice de Christ à la croix typifiée par le serpent d’airain, nous avons le salut de nos âmes de même que la guérison de nos corps malades comme les enfants d’Israël dans le désert.

  1. Comment obtenir la guérison divine

Dans cette partie nous montrerons comment saisir la guérison à partir de cette œuvre pleinement accomplie à la croix.

  1. Avoir la révélation de l’œuvre accomplie pour notre guérison

La quasi–totalité des promesses de la venue du messie en tant que sauveur parlent du salut de l’âme et la guérison du corps. Examinons le plus célèbre d’entre eux : Esaïe 53 : 1-10 « Homme de douleur et habitué à la souffrance, Semblable à celui dont on détourne le visage, Nous l’avons dédaigné, nous n’avons fait de lui aucun cas. Cependant, ce sont nos souffrances qu’il a portées, C’est de nos douleurs qu’il s’est chargé ; Et nous l’avons considéré comme puni, Frappé de Dieu, et humilié. Mais il était blessé pour nos péchés, Brisé pour nos iniquités ; Le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, Et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris».

La plupart des traductions du passage d’Esaïe 53 :4 se fondent littéralement sur les textes originaux du Docteur Young , du Docteur Isaac, de Leeser, d’André Chouraqui, ainsi que la version du grand Rabbinat des mots ‘’maladies’’ (Choli en Hébreux) et ‘’douleur’’(Makob en hébreux). D’ailleurs il a été universellement reconnu que les mots choli et Makob signifient respectivement « maladie » et «douleur ». En outre, lorsque nous considérons les passages de l’Ancien Testament qui se réfèrent à la maladie tels que (Deut 7 :15 ,28 :61 ; 1 Roi 8 : 37 ,2 Roi13 :14, 2 Chronique 21 :15 18, Esaïe 38 :9) nous constatons que c’est le mot Choli qui est mentionné. Quant au mot ’’douleur’’ les passages de (1 Samuel 4 : 19 ; Job 14 : 22 ; Job 33 : 19) le traduise par Makob. Ainsi le verset 4 du Livre d’Esaïe au chapitre 53 tel que traduit par la version Louis Segond ne rend pas la pensée du prophète. La traduction conforme à cette pensée dans le texte original est celle-ci : « Certainement, ce ne sont pas nos maladies qu’il a portées, c’est de nos douleurs qu’il s’est chargées ; et nous l’avons considéré comme puni, frappé de Dieu et humilié ».

D’ailleurs, l’Evangile de Matthieu confirme cette réalité en son 8ème chapitre au verset 18 en relation avec la guérison des malades : « Le soir venu, on lui amena plusieurs démoniaques. Il chassa les esprits par sa parole et guérit tous les malades. Ainsi s’accomplit la parole du prophète Esaïe ».

  • La prière

La prière est une supplication adressée à Dieu .En Jésus Christ, celui à qui nous adressons nos supplications (Dieu) est devenu notre père. A ce titre, nous devons être convaincu que lorsque nous lui faisons appel, l’invoquons (appeler au secours) ; il est prêt à nous secourir et à nous aider comme tout bon père le ferait pour ses enfants. (Hébreux 4 :14-16).Notre Seigneur par sa grande compassion se plait à sauver et guérir tous ceux qui s’approchent de lui par la foi. En vertu de cet amour et compassion qu’il l’on conduit à la croix, Dieu a promis d’exaucer tous ceux qui avec foi lui demandent son soutien (Ps 103 :13).cala a toujours été la volonté de Dieu de sauver, guérir, secourir, soutenir, ceux qui viennent a lui dans la prière.il l’a pleinement exprimé dans sa parole qui est l’expression de sa pensée, de sa volonté. N’a-t-il pas affirmé à cet effet ?

  • « Demandez, et l’on vous donnera ; cherchez, et vous trouverez ; frappez, et l’on vous ouvrira.» (Mtt7 :7)
  • «si vous demandez quelque chose en mon nom je le ferai » (Jean14 :14)
  • « Si vous demeurez en moi, et que mes paroles demeurent en vous, demandez ce que vous voudrez, et cela vous sera accordé. » (Jean 15 : 7)
  • « Nous avons auprès de lui cette assurance, que si nous demandons quelque chose selon sa volonté, il nous écoute. » (1 Jean 5 :14) »
  • « Quoi que ce soit que nous demandions, nous le recevons de lui, parce que nous gardons ses commandements et que nous faisons ce qui lui est agréable.»    (1Jean 3 :22)
  • « Jusqu’à présent vous n’avez rien demandé en mon nom. Demandez, et vous recevrez, afin que votre joie soit parfaite.» (Jean 16 :24)
  • « Car les yeux du Seigneur sont sur les justes Et ses oreilles sont attentives à leur prière, Mais la face du Seigneur est contre ceux qui font le mal.» (1Pierre3 :12)
  • « Vous m’invoquerez, et vous partirez ; vous me prierez, et je vous exaucerai.» (Jérémie 29 :12)
  • « Invoque-moi, et je te répondrai ; Je t’annoncerai de grandes choses, des choses cachées, Que tu ne connais pas.» (Jérémie 33 :3) 
  • Croire que Dieu vous a guéri (la foi)
  • Celui qui s’approche de Dieu pour recevoir la guérison ainsi que tous les autres choses sans croire qu’il l’écoute et est prêt à l’exaucer, peut être sur qu’il ne recevra rien de lui comme le dit le frère Jacques dans son Epitre « Mais qu’il la demande avec FOI, sans douter ; car celui qui doute est semblable au flot de la mer, agité par le vent et poussé de côté et d’autre. Qu’un tel homme ne s’imagine pas qu’il recevra quelque chose du Seigneur: » (Jacques1 :6-7). La foi constitue le fondement de toute relation avec le Seigneur. Dieu est Esprit (Jean 4 :24 ; 2cor3 :17) et à ce titre, il ne peut être saisi que par la foi qui est le 6ième sens de l’homme. C’est ce sens qui permet à l’homme d’être en contact avec Dieu, comme ses cinq autres sens lui permettent d’être en contact avec la nature. Nous pouvons affirmer que la FOI constitue la clé qui ouvre la porte des réalités divines à ceux qui la possède. L’apôtre Paul nous enseigne que « Or la foi est une ferme assurance des choses qu’on espère, une démonstration de celles qu’on ne voit pas..» (Hébreux 11 :1).C’est là que les deux natures de l’homme se livrent leur plus grand combats. Comment peut-on être sûr de l’existence ou de la possession de ce qu’on ne voit pas ?Mais la foi se manifeste justement dans le domaine de l’invisible car les choses invisibles sont « éternelles et se saisissent par l’être intérieur(2cor 4 :16-18).L’homme spirituel marche et vit par la foi car c’est par elle qu’il est agréable et agrée par Dieu comme Paul nous montre .(Luc18 :1-8 ; Hébreux 11 ;1-3 ;2cor 4 :16-18 ;2cor 5 :7)
  • La foi est la conviction personnelle que ce que Dieu a promis et que nous avons demandé est a nous et que nous avons reçu (avant de le voir ou de le ressentir)

Agir sur la parole et les promesses de Dieu (prendre Dieu au mot) « C’est pourquoi je vous dis : Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. »[Marc 11 :24].lorsque nous croyons que notre prière a été entendue par Dieu et que nous avons reçu ce que nous lui avons demandé, nous agissons en conséquence :

  • Nous te remercions de nous avoir exaucés
  • Nous mettons notre foi en action (nous agissons en fonction de ce que nous croyons.)

Prenons des exemples naturels pour illustrer ce que nous affirmons.

  1. Nous agissons sur la parole de notre banquier qui nous dit qu’un ami, un frère ou notre patron a versé une certaine somme sur notre compte. Et sans même avoir vu la somme nous commençons à faire des chèques.
  2. Nous agissons sur la parole d’un employé de la poste qui nous dit que nous avons un colis qui nous attend au bureau de poste et nous allons le chercher.
  3. Nous agissons sur la parole de notre père qui nous dit que nous poursuivrons nos études l’année prochaine à l’étranger et nous en informons tous nos amis.
  4. Nous agissons sur la parole du métrologue qui nous préviens que la journée sera pluvieuse et nus sortons avec notre parapluie ou notre imperméable.
  5. Nous agissons sur la parole de notre médecin qui nos ordonne de prendre tel nombre de comprimés par jour et nous les avalons avant d’en ressentir les effets. Alors pourquoi ne ferons nous pas de même pour ce qui concerne la parle de notre Seigneur qui nous dit :
  6. « Il dit : Si tu écoutes attentivement la voix de l’Eternel, ton Dieu, si tu fais ce qui est droit à ses yeux, si tu prêtes l’oreille à ses commandements, et si tu observes toutes ses lois, je ne te frapperai d’aucune des maladies dont j’ai frappé les Egyptiens ; car je suis l’Eternel, qui te guérit.» (Exo 15 :26)
  7. « lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris.» (1 Pierre2 :24)
  8. « C’est lui qui pardonne toutes tes iniquités, Qui guérit toutes tes maladies  » (Ps 103 :3)
  9. Et l’Eternel me dit : Tu as bien vu ; car je veille sur ma parole, pour l’exécuter.» (jer1 :12)
  10. « Béni soit l’Eternel, qui a donné du repos à son peuple d’Israël, selon toutes ses promesses ! De toutes les bonnes paroles qu’il avait prononcées par Moïse, son serviteur, aucune n’est restée sans effet.» (1Roi 8 :56)
  11. « car, pour ce qui concerne toutes les promesses de Dieu, c’est en lui qu’est le oui ; c’est pourquoi encore l’Amen par lui est prononcé par nous à la gloire de Dieu.» (2cor 1 :20)
  12. « Le ciel et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront point. » (Matt 24 :35)
  13. Et ils sauront que je suis l’Eternel, Quand je les répandrai parmi les nations, Quand je les disperserai en divers pays.» (Eze 12 :15)
  14. « et ayant la pleine conviction que ce qu’il promet il peut aussi l’accomplir. » (Rom 4 :21)
  15. Car rien n’est impossible à Dieu.» (Luc 1 :37)
  16. Confesser notre guérison

Professer et confesser viennent du même mot grec qui signifie dire la même chose que seul qu’un. C’est-à-dire croire et dire ce qu’il dit à propos de :

  • Ce que Dieu dit à propos de nos péchés
  • Ce que Dieu dit à propos des maladies

En quelque sorte, la confession est une affirmation d’une vérité biblique que nous avons acceptée. C’est croire et répéter de nos lèvres les déclarations de Dieu concernant ce que nous avons en Christ. Ainsi, le Saint Esprit nous dit : « lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris. »(1Pierre 2 :24) Nous devons croire et dire la même chose. La confession est le témoignage verbal de ce que nous avons cru Dieu dans tel ou tel domaine.

  • Rendre des actions de grâces

Lorsque nous sommes convaincus que le Seigneur nous a exaucés et nous sortant d’une maladie ou d’une détresse, nous nous réjouissons déjà en espérance. En cela, notre Seigneur jésus fut un parfait exemple. En effet, devant la tombe de Lazare il remercia le père de l’avoir déjà exaucé (jean 11 :41).Le peuple d’Israël poussa des cris et les sacrificateurs sonnèrent des trompettes le 7ième jour au 7ième tour avant que les murailles de Jéricho ne tombent (Josué 6 :20). Jonas dans le ventre du poisson pria e ses termes « Dans ma détresse j’ai invoqué l’Eternel, et il m’a exaucé du sein du séjour des morts j’ai crié et tu as entendu ma voix…pour moi je t’offrirai des sacrifices avec un cri d’action de grâces, j’accomplirai les vœux que j’ai faits : le salut vient de l’Eternel » (Jonas 2 :2-10). Comme résultat à cette action, l’Eternel parla au poisson et le poisson vomit Jonas sur le terre.

  • Louer le Seigneur pour la guérison qu’il nous a accordée

Celui qui, alors qu’il est encore malade, loue le Seigneur montre par cela qu’il est reconnaissant au Seigneur pour la guérison qu’il lui a accordée. Il sait que tant qu’il respire il doit louer le Seigneur comme nous l’enseigne David le roi «Que tout ce qui respire loue l’Eternel ! Louez l’Eternel ! » (Ps 150 :6). Remarquez qu’il s’agit du dernier psaume. Ce psaume sonne comme la conclusion du livre des psaumes. Ceci nous montre comment la louange est très importante. Paul et Silas ont expérimenté la puissance et les bénédictions qui y sont attachées, car lorsqu’ils chantaient des louanges dans la prison alors même qu’ils venaient d’être battus de verges et rués de coups. (Actes 16 :22-23) le Seigneur qu’ils louaient avec force et zèle ne tarda pas à les libérer de façon miraculeuse.

PASTEUR HONORE DRO

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