QUAND UNE DANSEUSE SE TREMOUSSE DEVANT UN POLICIER ON N’APPLAUDIT PAS 

La danseuse ivoirienne Dezy Dokui a été arrêtée le lundi 26 septembre 2022 et déférée devant le procureur ce mardi pour avoir tripoté ses fesses contre un policier lors de la finale du tournoi CAM Tchin Tchin à Treichville. Elle a été  libérée après audition, mais son acte n’a nullement interpellé les associations de défense des droits de la  femme.

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Outrage à un agent dans l’exercice de ses fonctions et acte impudique, sont les faits reprochés à la danseuse Dezy Dokui lors de son arrestation. L’orgueil des autorités de la police nationale a été fouetté, et cela n’a pas laissé le procureur de la république indifférent. Cette danseuse a été libérée après avoir regretté et demandé pardon pour son acte. Cependant, quelle a été la réaction des présidentes des associations de défense des droits de la femme ? Un silence radio. Une femme digne de ce nom, a-t-elle le droit de se rabaisser ainsi sous le couvert de la danse ?

On dira que c’est un acte anodin et qu’elle ne l’a pas prémédité. Pourtant, elles sont nombreuses à rouler leurs fesses partout, devant les autorités lors des spectacles, dans les clips. On les acclame, on les félicite. C’est ce que la société actuelle veut voir. On se ‘’régale’’ en regardant ces femmes remuer leurs postérieurs. Cette danseuse a servi aux ivoiriens ce qu’ils aiment. La pudeur est combattue de plus en plus. La nouvelle génération ne veut pas en entendre parler. Les hommes veulent se défouler et n’hésiteront pas à piétiner les lois divines. Cela confirme les signes des temps de la fin : « aimant le plaisir plus que Dieu » 2 Timothée 3 :4.

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Comment veut-on que les femmes soient respectées, si le mot pudeur, n’existe plus dans leur vocabulaire ? Les associations de défense des droits de la femme ont pour habitude de monter au créneau toute fois qu’une femme est maltraitée. C’est une bonne chose, ce sont des actions à encourager. Cependant, quand des femmes foulent aux pieds la pudeur et se livrent à des postures érotiques, ce, de manière récurrente, il faut donc dénoncer et sensibiliser.

On ne doit pas être scandalisé si cette danseuse n’a pas eu de limite devant un policier en tenue. La population ivoirienne est de plus en plus exposée à la dépravation des mœurs à travers des scènes érotiques. Dans le mois de juillet 2022, lors du concours pour enfants « wozo vacances », deux jeunes danseurs de Bamba Ami Sara se sont livrés en spectacle en s’embrassant au vu et au su de tous. A côté de cela, une chaine de télévision n’a pas hésité à envoyer deux lesbiennes sur son plateau. Une manière de faire la promotion de l’homosexualité ! Quel héritage va-t-on laisser à la future génération ? La morale disparait au fur et à mesure, repentons-nous, le Seigneur Jésus est à la porte.

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Le coronavirus, un jugement de Dieu ?

Le coronavirus, un jugement de Dieu ?

La crise du coronavirus frappe durement, et il est encore bien trop tôt pour dire si et quand elle va s’arrêter. En attendant, l’économie est en berne, nos systèmes de santé sont sous tensions, la vie courante semble s’arrêter. Et surtout, des personnes en grand nombre sont frappées par la maladie, et les décès se chiffrent en milliers, avec le potentiel de beaucoup plus. Face à tout cela, il est tentant et même normal de se demander ce que Dieu fait dans tout cela.

Non, parce que Dieu est amour ?

Une réponse trop rapide s’appuie sur l’amour et la bonté de Dieu pour dire que non, certainement Dieu n’y est pour rien. Mais cette réponse fait de Dieu un Dieu impuissant, un Dieu à qui les évènements échappent. Quel secours attendre alors d’un Dieu bien gentil, mais dépassé ? Et la Bible montre plusieurs fois que Dieu peut utiliser les malheurs les plus tragiques, tout comme la méchanceté des humains, pour accomplir ses bons desseins. D’ailleurs la crise du coronavirus conduit à minimiser le trafic aérien, ralentir notre vie frénétique, et donc à diminuer drastiquement nos émissions de CO2. Nous en savions la nécessité sans en trouver le courage, malgré des décennies d’avertissements scientifiques et tout le militantisme d’Extinction Rebellion, de Greta Thunberg et de sa génération. Avec le coronavirus, nous payons en partie le prix de notre modèle économique globalisé, tellement dommageable pour notre terre, et si nous tirons les leçons nécessaires, il se peut qu’à long terme l’humanité s’en porte bien mieux – mais cela demandera de ne pas tout reprendre « comme avant » sitôt la crise passée. Déjà aujourd’hui certains se demandent si l’amélioration de la qualité de l’air a sauvé plus de vies que le coronavirus n’en a coûté. Ainsi, on est en droit de se demander si le coronavirus est un moyen employé par Dieu en dernier recours pour nous faire saisir la nécessité de changements.

Touchés donc coupables ?

Une autre réponse déplacée voudrait voir le malheur frapper directement ceux qui le méritent le plus. Alors les victimes seraient des coupables, et les moins touchés pourraient se sentir assurés de leur supériorité morale. Cette logique, tentante en tout cas dans l’antiquité, a été explicitement refusée par Jésus. Confronté à deux tragédies de son époque, il a clairement refusé l’hypothèse selon laquelle les victimes auraient été plus coupables que tous leurs contemporains. Mais il enchaînait en avertissant : « Si vous ne changez pas de vie, vous mourrez tous comme eux » (évangile selon Luc, chapitre 13, versets 3 et 5). Devant Dieu, il n’est pas d’innocent, et s’il était question de mérite, c’est l’humanité entière qui devrait périr. Nous participons tous aux torts de nos sociétés, et nous faisons tous bien assez de mal à nos congénères pour encourir le jugement de Dieu. Et le mépris du Créateur, si courant et même valorisé, ne saurait être innocent si vraiment il y a un Dieu qui a tout amené à l’existence et qui peut faire valoir ses droits sur notre monde. Du reste, l’avertissement de Jésus ne vise pas seulement le risque d’une mort tragique, mais le plus grand drame de quitter ce monde en étant ennemis de son souverain maître. Dans cette optique, le coronavirus n’est pas l’entier du jugement de Dieu sur tout le mal commis par les humains, mais un avertissement, un signe avant-coureur. Parce que la pandémie menace tout un chacun, elle peut tous nous pousser à nous interroger sur notre vie, notre mortalité et notre destinée.

Repenser à sa vision de la vie

C’est pourquoi les temps de troubles et de malheurs, les drames et les épidémies sont des moments favorables pour le retour sur soi et le retour à Dieu, pour faire le point sur nos vies et mettre au jour ce qui emplit nos cœurs. Du reste nos ancêtres l’avaient bien compris, qui avaient régulièrement décrété des journées de jeûne et de pénitence à l’occasion de catastrophes, inondations ou épidémies, ce dont nous gardons la trace en Suisse, dans les Jeûnes fédéral, genevois ou autres. Cependant, ce n’est pas aux autorités politiques de proclamer la repentance, mais c’est chacun en son âme et conscience qui doit se positionner et se remettre en question. Et puisque les victimes ne sont pas plus coupables que n’importe qui, elles ont droit à toute notre compassion, et à toute l’aide que l’on puisse apporter.

En outre, une circonstance tragique comme celle que nous traversons est aussi un temps d’épreuve, un temps qui va manifester le caractère de chacun, un temps où nos réactions démontreront quel genre de personnes nous sommes, et ce que vaut notre société. Serons-nous de ceux qui se battent pour des rouleaux de papiers hygiéniques, ou de ceux qui aident les plus vulnérables et ceux qui sont en quarantaine à faire leurs courses ? De ceux qui prolongent et profitent de leur insouciance, ou de ceux qui prennent au sérieux les mesures qui permettent de protéger les plus faibles ? De ceux qui veulent avant tout sauver leur propre peau, ou de ceux qui œuvrent pour que la société surmonte l’épreuve ?

Ainsi, la tragédie que nous vivons est l’opportunité pour chacun de repenser à sa vision de la vie et à son comportement. La vision chrétienne met le positionnement face à Dieu au cœur de la question, bien que d’autres domaines puissent être touchés également.

COMMENT LES MAUVAISES COMPAGNIES ONT PERTURBE MON CURSUS SCOLAIRE

« Si j’avais écouté mon père qui me disait toujours Junior va à l’école, je pense que je serais aujourd‘hui en master 2 », affirme Junior le Reveil, le cœur repentant. A travers son témoignage il relate comment sa vie scolaire chamboulée a été sauvée ».

Je suis issu d’une famille de 8 enfants, étant le 2 e garçon. Je me suis fait baptiser en 2008, alors que j’étais en classe de 4e. J’ai obtenu le Bac il y a quatre ans. Alors, mes parents souhaitaient que je fasse de longues études. Mais, ce n’était pas mon ambition et la première année je n’ai même pas mis les pieds à l’école.

Détourné par mon entourage

Résidant dans la commune de Yopougon avec mes parents, j’ai été négativement influencé par mon entourage. En fait, je fréquentais un groupe d’amis dont la majorité trainait dans le quartier à ne rien faire. Notre objectif était tout ce qui est plaisir de ce monde. Vu qu’aucun de nous n’allait à l’école, j’ai aussi perdu l’engouement pour les études. Notre vice principal était l’alcool, et ses corollaires le sexe et autres. Pendant des années, nous avons trainé dans cela. Je ne me souciais de rien, comptant sur mon père.

Difficiles rapports avec les parents

Les parents nous éduquaient toujours selon les Saintes Ecritures. Ils ne manquaient pas de nous dire « allons à l’église ». Je précise que mon père est serviteur de Dieu et Assistant du Pasteur de l’Eglise. Malgré l’effort  qu’il faisait pour nous positionner sur le droit chemin, on était toujours à la traine. Il nous donnait des conseils, nous montrant que Dieu a toujours pris soin de lui. Son désir ardent était que nous adorions sincèrement ce Dieu bon qu’il sert.  Et souvent, il nous punissait en supprimant notre argent de poche. Malheureusement, cela ne nous faisait pas fléchir. Au contraire, nous nous endurcissions de plus en plus. 

Ma vie devenait un paradoxe

Malgré tout ce que je faisais de mauvais, quand j’avais un projet mon père se montrait disponible et me disait : « vas-y, fais l’effort». Mais j’abandonnais quand une petite difficulté se présentait. Mon père était même sur le point de me faire partir aux Etats Unis pour y continuer mes études, mais dans les démarches, j’ai jeté l’éponge. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait. Comment avoir autour de soi des parents attentionnés pour sa cause et être soi-même désintéressé ? Je n’étais pas une fierté pour mes parents.

Les paroles de déclic d’un frère en Christ

Après avoir obtenu le permis de conduire, j’avais rendu le  témoignage à l’église. Le même jour, Stéphane Absous, un frère en Christ m’a interpellé : « ce n’est pas ce genre de témoignage qu’il faut rendre. C’est vrai que le permis de conduire est important, mais il faut voir grand et rendre un témoignage qui va vraiment glorifier le nom du Seigneur ». Entendre de tels propos d’un frère en Christ qui m’a trouvé dans la foi, a fouetté mon orgueil. En observant sa relation avec Dieu, j’ai réalisé combien de fois j’avais pris du retard spirituellement. Ce frère a créé un réveil en moi. J’ai ressenti un besoin de l’imiter et atteindre son niveau afin d’honorer mes parents et mettre la joie dans le cœur des frères et sœurs de l’Eglise.

Sauvé du gouffre par un véritable ami

A l’instar de Stéphane, Dieu m’a fait grâce d’avoir un ami nommé Naounou Randolph. Ce dernier faisait les cours du soir et progressait. J’ai grandi avec lui, il m’appréciait et me donnait beaucoup de conseils.  « Junior, tu es mon ami. Je ne veux pas que tu sois le frustré du groupe. Moi, j’ai déjà la licence et je ne veux pas que tu traînes, sinon dans quelques années tu vas venir nous demander de l’argent alors qu’on a marché ensemble. Franchement, fais un effort, sors de ce chaos,  arrête cette manière de vivre. Va à l’école, cherche un niveau pour honorer tes parents  et  penses à devenir quelqu’un demain.  Parce qu’avec seulement le Bac, tu n’es rien, c’est juste un  petit diplôme universitaire », m’a-t-il jeté à la figure, pour me motiver. Toutefois,  je ne l’ai pas écouté, continuant à vadrouiller au quartier. La deuxième année,  Naounou est revenu à la charge. Vu que le quartier où j’habitais était propice à la débauche, il a réussi à me faire quitter le domicile familial (Yopougon) afin de vivre avec lui à Adjamé. Son but était  de me permettre de quitter la facilité et me confronter à certaines réalités de la vie. Et c’est de là que le déclic est parti. 

Ma nouvelle vie à Adjamé

Grâce  à cet  ami que le Seigneur a mis sur mon chemin, il y a beaucoup de choses que j’ai arrêtées. Lui-même ne buvant pas d’alcool, et vivant sous le même toit que lui, j’ai arrêté aussi. Plus de sorties nocturnes et ni d’alcool. Je n’arrivais même plus à faire ces choses. Quelque chose de nouveau c’était produit en moi. J’avais même repris le chemin de l’école. Certes, c’était vraiment pénible après 4 ans d’abandon. Je n’arrivais plus à lire les romans, ni même mémoriser les leçons. Je savais que j’étais intelligent, mais avec tout ce temps de vagabondage, j’ai perdu tout bon réflexe. Je demandais constamment au Seigneur de m’aider, parce que sans Lui,  je n’y arriverais pas.  

La rage de réussir et mon double succès

Je me réveillais très tôt et souvent à trois heures  pour étudier. Je prenais souvent une journée entière pour étudier. Je me donnais à fond pour réussir et relever le défi d’honorer mes parents. Il arrivait des fois où je ne mangeais pas les soirs pour mieux me disposer à étudier la nuit. Au niveau de l’Eglise, je souhaité qu’on m’appelle désormais ‘’Junior le Réveil’’. Par la grâce de Dieu, j’ai été parmi les meilleurs étudiants de l’école. Au cours de l’année scolaire 2018-2019, j’avais deux défis à relever. Je devais valider mon diplôme interne au niveau de l’école et cela passait par des compositions difficiles. Ensuite, il y avait le BTS (Ressources humaine et communication) au niveau national que je devais présenter. Par la grâce de Dieu, j’ai été admis à ces deux examens. Je dis grand merci au Seigneur pour sa compassion à mon égard. Qu’il  bénisse mon père, mon frère Stéphane Absous ainsi que mon ami Naounou Randopl.

Le conseil que je peux donner à la jeunesse c’est que nous devons vraiment écouter nos parents et marcher avec Dieu. C’est vrai que j’ai des regrets, mais le réveil me pousse à aller de l’avant. Aujourd’hui, quand je marche, je sens qu’il y a quelque chose de bon à l’horizon. Enfin, je peux m’assoir et manger sans contrainte.

APPEL A LA REPENTANCE

La repentance est le fait de regretter profondément un mauvais acte commis ou une mauvaise voie choisie, et avoir le désir sincère de réparation afin d’être sur le bon chemin. C’est un chemin d’or qui montre le degré d’humilité et de sincérité d’une personne.

La repentance apaise le cœur de Dieu

Le cas du bandit à la croix est plus que frappant, sa repentance a radicalement changé son sort : « L’un des malfaiteurs crucifiés l’injuriait, disant : N’es-tu pas le Christ ? Sauve-toi toi-même, et sauve-nous ! Mais l’autre le reprenait, et disait : Ne crains-tu pas Dieu, toi qui subis la même condamnation ? Pour nous, c’est justice, car nous recevons ce qu’ont mérité nos crimes ; mais celui-ci n’a rien fait de mal. Et il dit à Jésus : Souviens-toi de moi, quand tu viendras dans ton règne. Jésus lui répondit : Je te le dis en vérité, aujourd’hui tu seras avec moi dans le paradis » Luc 23 : 39-43.

La repentance se distingue du remord

Pierre et Judas ont tous deux renié le Seigneur. Cependant il y a eu une différence nette entre ces deux disciples. C’est la repentance qui a déterminé celui qui était vraiment fils de Dieu. Certes, ils ont tous deux pleuré amèrement et ont eu du remords, mais ce n’était pas la repentance. Mais Pierre s’est effectivement repenti en revenant sur ses pas pour  continuer l’œuvre du Seigneur (Jean 21 :11-19). Par contre, Judas a préféré aller se pendre, car il ne pouvait revenir sur le droit chemin.

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La repentance pousse à ne plus retourner en arrière

La repentance prend aussi en compte le fait de revenir à la saine doctrine, et reconnaître humblement qu’on s’est trompé ou qu’on a été trompé. Il ne suffit pas d’être attristé pour un peu de temps ou de reconnaitre ses erreurs pour dire qu’on s’est repenti. Quand il y a effectivement repentance on délaisse le péché ou la mauvaise orientation.

2 Pierre 2 : 20-22  « En effet, si, après s’être retirés des souillures du monde, par la connaissance du Seigneur et Sauveur Jésus-Christ, ils s’y engagent de nouveau et sont vaincus, leur dernière condition est pire que la première. 21  Car mieux valait pour eux n’avoir pas connu la voie de la justice, que de se détourner, après l’avoir connue, du saint commandement qui leur avait été donné. 22  Il leur est arrivé ce que dit un proverbe vrai : Le chien est retourné à ce qu’il avait vomi, et la truie lavée s’est vautrée dans le bourbier ».

La repentance conduit à la conversion à Christ

Avant que le Seigneur ne commence son ministère terrestre, il a été précédé par Jean le baptiste, pour amener le peuple à la repentance. Par son message, le peuple devrait non seulement quitter le judaïsme, mais aussi abandonner toutes pratiques diaboliques. La repentance se rapporte au fait de se convertir à Christ mais aussi à la bonne conduite et œuvres justes comme le mentionne Paul :   « …j’ai prêché la repentance et la conversion à Dieu, avec la pratique d’œuvres dignes de la repentance » Actes 26 : 19.

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La repentance précède le baptême d’eau

La bonne nouvelle de l’évangile a pour but de ramener le cœur du pécheur au Seigneur comme cela est mentionné en Luc 5 :32 « Je ne suis pas venu appeler à la repentance des justes, mais des pécheurs ». Les  versets bibliques ci-après confirment qu’il faut véritablement se repentir avant de s’engager pour le baptême d’eau.

Matthieu 3 : 7-8  « Mais, voyant venir à son baptême beaucoup de pharisiens et de sadducéens, il leur dit : Races de vipères, qui vous a appris à fuir la colère à venir ? Produisez donc du fruit digne de la repentance »,

Actes 2 : 37-38 « Après avoir entendu ce discours, ils eurent le cœur vivement touché, et ils dirent à Pierre et aux autres apôtres : Hommes frères, que ferons-nous ? Pierre leur dit : Repentez-vous, et que chacun de vous soit baptisé au nom de Jésus-Christ, pour le pardon de vos péchés ; et vous recevrez le don du Saint-Esprit ».

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