FRANCE : Des insultes racistes taguées sur une église évangélique de Saint-Étienne

Une église évangélique de Saint-Étienne a été taguée d’injures racistes. On peut y lire les mots « nègre » et « noir ». Il ne s’agit ni du seul bâtiment visé dans le quartier ni de la première fois. Mais les voisins ont décidé d’agir. Publié dans infochretienne.net le 11 juin.

Le pasteur de l’église, Clément Guérékozoungbo, explique à France Bleu que c’est la troisième fois en quelques semaines que cela arrive. Sur les murs des voisins ont également été inscrits les mots « turcs », « arabes », « noirs », « Arabe, C-19 die ».

Mais loin de désunir le quartier, une solidarité se met en place et des discussions s’engagent. Ce sont d’ailleurs les voisins de l’église qui ont effacé les injures racistes. Pour Thierry Le Gall, pasteur et directeur du service pastoral du CNEF auprès des Parlementaires, « la gangrène du racisme n’a pas de place sur le sol français ni ailleurs ».« C’est choquant. Moi je suis noir, je suis Africain, on aime ce pays, d’ailleurs notre église n’est pas seulement constituée d’Africains. On est un beau mélange. »

Ce monde n’est pas le fruit du hasard

Il est étonnant de voir des créatures contester avec le Créateur, au point de nier à Dieu la paternité de ce monde.

De même que  l’Eternel s’est entretenu avec Job et l’a interrogé sur l’origine de ce monde, ces interrogations restent valables pour les défenseurs de la théorie de l’évolutionnisme et du Big Bang : « Où étais-tu quand je fondais la terre ? Dis-le, si tu as de l’intelligence. Qui en a fixé les dimensions, le sais-tu ? Ou qui a étendu sur elle le cordeau ? Sur quoi ses bases sont-elles appuyées ? Ou qui en a posé la pierre angulaire, Alors que les étoiles du matin éclataient en chants d’allégresse, Et que tous les fils de Dieu poussaient des cris de joie ? …»Job 38 : 4-12.

Personne, ne peut revendiquer cette paternité, quant à la création de ce monde. Seul le Seigneur Dieu, en est le créateur. Même si le diable, suscite des scientifiques tels Darwin, à travers l’évolutionnisme, pour nier que l’Eternel Dieu est le créateur de toute chose, pour nous, ce verset suffit : « Ainsi parle l’Eternel, roi d’Israël et son rédempteur, L’Eternel des armées : Je suis le premier et je suis le dernier, Et hors moi il n’y a point de Dieu. Qui a, comme moi, fait des prédictions (Qu’il le déclare et me le prouve !), Depuis que j’ai fondé le peuple ancien ? Qu’ils annoncent l’avenir et ce qui doit arriver ! » Esaie 44 : 6-7. Nous voyons la grandeur et la puissance de notre Seigneur à pouvoir annoncer les choses futures. C’est pourquoi, il met au défi, quiconque d’annoncer les événements à venir.

Notre Seigneur étant l’auteur de ce monde, connaît la fin, avant le commencement, c’est pourquoi il se présente comme étant « l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin » Apocalypse 22:13 . Quand on parcoure toute la Bible, on fait le constat qu’elle est le scénario mystérieux, du Créateur et Scénariste par excellence, qui sait toute chose.  C’est ici, l’importance des prophéties bibliques, concernant le déroulement des événements mondiaux et les signes du temps de la fin.

Dieu n’est pas surpris par un évènement, autrement Il ne serait pas Dieu. « Qui dira qu’une chose arrive, Sans que le Seigneur l’ait ordonnée ? N’est-ce pas de la volonté du Très-Haut que viennent Les maux et les biens ? » (Lamentations 3 : 37-38). Il savait qu’Adam et Eve allaient tomber dans la désobéissance.

Concernant Satan, le Seigneur nous montre clairement sa fin, c’est-à-dire comment il sera chassé du ciel, et projeté sur la terre pendant que l’enlèvement de l’Epouse se déroulera (Apocalypse 12 : 7-9). Comment il sera lié pendant mille ans, durant le règne de paix (Apocalypse 20 : 2-3) et sa fin dans l’étang de feu pour des siècles et des siècles (Apocalypse 20 :7-10).

LE PRIX INTERNATIONAL POUR LA LIBERTÉ DE RELIGION DÉCERNÉ A UN IMAM POUR AVOIR SAUVE DES CHRÉTIENS

Le secrétaire d’État américain Michael Pompéo a décerné mercredi 17 juillet dernier le Prix international de la liberté religieuse à deux musulmans africains, un Nigérian et un Soudanais, pour leur action en faveur des minorités.

Le prix a été décerné cette année à six personnalités religieuses dont deux musulmans africains récompensés pour leur activité de défenseurs de la liberté de religion.

Âgé de 83 ans, l ‘imam Abubakar Abdullahi du Nigeria a été honoré pour avoir caché, au péril de sa vie, les membres d’une autre communauté religieuse, qui auraient été tués sans son intervention.

Le 23 juin 2018, des bergers de l’ethnie Fulani, à majorité musulmane, ont lancé des attaques coordonnées contre 10 villages de la région de Barkin Ladi tuant des centaines de fermiers de l’ethnie Berom, à majorité chrétienne, précise la déclaration ministérielle américaine.

Ce jour-là, l’imam Abdullahi venait de terminer la prière de midi, quand il a entendu les coups de feu à l’extérieur. Spontanément, il invite plus de 260 membres de la communauté chrétienne, qui s’enfuyaient, à entrer se réfugier dans la mosquée et à son domicile attenant.

Le responsable religieux est ensuite sorti pour confronter les hommes armés. Il a refusé de les laisser entrer, rapporte le communiqué, « les suppliant d’épargner les chrétiens à l’intérieur, offrant même de sacrifier sa vie pour la leur ».

Les hommes armés, qui avaient déjà tué 84 personnes dans le village de Nghar, ont cédé face à l’imam Abdullahi qui a ainsi réussi à sauver de nombreuses vies humaines.

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