Payement de la dîme : Ma négligence a failli me couter la vie.

La dîme est une ordonnance pour tout chrétien. La désobéissance à cette pratique conduit à des châtiments venant du Seigneur Jésus. Tel fut le cas de ce jeune  chrétien vivant à Abobo.

Je me nomme Y.I étudiant en Gestion Commerciale et membre d’une assemblée du message. De façon récurrente, je négligeais le payement de la dîme. Lorsque j’ai une petite entrée d’argent, je privilégie mes besoins personnels et je me dis qu’en ce qui concerne la dîme cela peut attendre. Mais, cette mauvaise habitude a failli un jour me coûter la vie.

 En effet, un dimanche après le culte, j’ai reçu une importante somme d’argent de la part d’un parent. Au lieu de m’acquitter de ma dîme, j’ai jugé bon d’en différer le payement et m’offrir un nouveau téléphone portable, en remplacement de celui qui était défectueux. Ainsi, le lendemain vers 20 h, après avoir effectué toutes mes courses, je rentrais tout joyeux à la maison. Chemin faisant, j’ai ressenti le besoin d’uriner.

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J’ai privilégié le téléphone à la dîme

 Alors, j’ai marqué un arrêt près d’un grand caniveau pour me soulager. Au même  moment, j’ai aperçu cinq jeunes hommes venant dans ma direction. Arrivé à mon niveau, l’un d’entre eux s’est approché de moi feignant  d’avoir un besoin pressant. Pendant que ses compagnons patientaient à quelques mètres de là. Il sort plutôt un couteau automatique qu’il avait enfoui dans son pantalon. Lorsque j’ai discerné que j’avais affaire à des braqueurs, j’ai essayé de m’échapper. Malheureusement, j’ai glissé et je suis tombé dans un caniveau.

Puisque j’avais perdu l’équilibre, j’ai préféré garder mon calme pour éviter d’aggraver mon sort. Ils m’ont tous rejoint dans le canal d’évacuation et ont pointé leurs couteaux sur ma gorge et mon bas ventre. Quand ces brigands m’ont saisi par les cols, pris par l’étau, sans même qu’ils me demandent quoi que ce soit, je leur ai remis tout ce que j’avais en ma possession. C’est-à-dire mon téléphone portable nouvellement acquis et deux autres. J’étais vraiment triste sur le champ mais plus tard après réflexion, j’ai compris que cette agression est survenue parce que je n’ai pas voulu payer ma dîme. J’exhorte donc les frères et sœurs à toujours payer leur dîme. Pour ma part, j’ai été délivré de ce mauvais comportement.

Que Dieu vous bénisse !

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Krismel Bamba

PAYEMENT DE LA DÎME : UN COUPLE CHRETIEN VIT L’EXPERIENCE DE LA VEUVE DE SAREPTA.

Les expériences bibliques sont toujours d’actualité. Le frère Gédéon Kra et son épouse, chrétiens croyant du message du temps de la fin et résidant au nord de la côte d’Ivoire en sont des témoins.

Le frère Gédéon à l’instar des bons pères de famille   achète un sac de riz tous les mois  pour assurer la nourriture de la maison. Cela a toujours été ainsi, dès que le salaire est disponible. Toutes les dépenses sont identifiées et épongées au fur et à mesure avec en priorité le payement de la dîme.

Lorsque le sac de riz est là, on se sent plus ou moins en sécurité jusqu’à ce que le mois s’achève. Mais, il eut un mois  où les dépenses avaient été assez importantes et  le sac de riz a été la nourriture principale. Il restait encore quelques semaines avant la fin du mois. Le sac de riz était pratiquement vide et il ne restait qu’une petite quantité  pour un  dernier repas.

 Le jour de la préparation, l’épouse a pris le soin de signifier à son mari que c’était le dernier après quoi, il n’y aurait rien à manger. Devant cette situation, le frère n’a pas cédé à la panique, mais a répondu à sa bien-aimée  « le Seigneur est vivant, il pourvoira ».

 Elle renverse le sac et prépare le fond tout en laissant juste une poignée à l’intérieur. Le lendemain, elle vient prendre encore le petit fond laissé la veille qu’elle prépare pour la famille ; en laissant toujours un petit reste dans le sac.

Chaque jour le même scenario. Sur la parole de son mari qui répétait constamment que Dieu pourvoira, la sœur avait miraculeusement la quantité  suffisante de riz pour le jour.

Et c’est ainsi que les choses se sont déroulées jusqu’à ce que le mari perçoive son salaire à la fin du mois. Le jour où il est rentré à la maison avec le salaire, ce dernier et son épouse se sont rendu compte que le sac de riz était complètement vide. Ils ont alors réalisé  le miracle que le Seigneur a opéré pour eux. Pour leur fidélité au payement de la dîme, ce couple chrétien a vécu l’expérience de la veuve de Sarepta.

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