Chaque année, une journée est dédiée à la femme pour célébrer l’avancée de ses droits. Ces lois stipulent entre autres que la femme a le droit à l’éducation, a le droit à la sécurité. Cela est salutaire. Quelle femme n’aimerait pas être instruite ? avoir un bon niveau d’étude pour plus tard occuper de bonnes fonctions dans la société, et avoir un très bon salaire ? 

Je suis pour l’excellence, et mon désir est d’avoir une place de choix dans mon domaine de compétence. Ce, pour apporter ma modeste contribution à l’évolution de la société. Quelle femme n’aimerait pas être très nantis pour aider financièrement son époux dans les charges familiales et se faire plaisir également, en s’offrant tout ce qu’elle veut ?  Je ne dis pas que les époux ne le feraient pas, bien au contraire. Beaucoup le font et doivent être félicités.

Aussi, quand des lois sont votées pour protéger la femme des abus et violences de tout genre, quelle devrait être sa réaction ? se réjouir de cela bien évidemment. En toute honnêteté, montrez-moi cette femme qui aime être battue dans son foyer, maltraitée ou violentée. Je ne crois pas qu’il en existe. Moi-même chrétienne, j’aspire toujours à l’harmonie et la paix dans ma maison.

Mon souhait est que mon époux continue à être toujours tendre et doux envers ma personne, me protège et prenne soin de moi davantage.

Maintenant, ce que nous déplorons dans cette histoire de droits de la femme, c’est le fait de l’encourager à se soustraire de l’autorité de son mari. A ce niveau je ne suis pas du tout d’accord. Personnellement, je refuse fermement cela.  Pourquoi me considérer comme l’égale de mon mari ? Non c’est inadmissible. Je veux rester soumise à lui, me laisser dominer par lui. C’est la volonté de Dieu. Je trouve du plaisir et un bonheur incommensurable dans la soumission. Je me sens femme ainsi.

J’ai quel intérêt à vouloir m’émanciper ? Je préfère garder ma position de femme selon la Bible, et jouir des bénédictions divines. Si les femmes mondaines veulent être les égales de leurs époux, se plaisent à avoir les mêmes droits qu’eux, ça les engage. Mais, que le monde entier le sache : « moi aussi j’ai le droit de vouloir être soumise à mon époux. »

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Flora TEHE