Témoignage : J’ai fait un procès à Dieu et il m’a confondu.

Lorsqu’on se trouve dans la détresse et qu’on pense que Dieu nous a abandonné, il démontre toujours sa fidélité. Tel fut le cas de ce jeune chrétien vivant à Abidjan.

Dans la matinée du samedi 20 juin 2015, le jour de mon anniversaire, la femme de mon cousin m’a appelé pour me souhaiter un joyeux anniversaire. Elle a profité pour m’encourager à persévérer dans la foi. Après ce coup de fil, couché sur mon lit, je me suis mis à pleurer et me plaignais  à Dieu en disant «  Seigneur, à quand mon tour ?Tous mes amis ont réussi, je suis si fatigué d’attendre ». Il m’a répondu : «  Mon fils si tu savais que tout ce que tu voyais n’était que vanité et également tout ce que je fais pour toi! Ta santé et ta vie devraient te suffire ! »

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 Le lendemain, je marchais dans une rue aux environs de 23h30, lorsqu’un jeune homme a enfoncé un couteau dans mon cou. Il m’avait suivi pendant près de 20 minutes. Lorsque je me suis retourné en criant, il m’a demandé de lui donner tout ce que j’avais. Soudain, une force surnaturelle m’a traversé et d’un coup de pied, je l’ai fait tomber. Il n’a pas eu le temps de récidiver lorsqu’un passant est intervenu et il s’est enfui. Jetais grièvement blessé et me vidais de mon sang. on m’avait transféré aux urgences du CHU de Yopougon. Les médecins en service de ce jour, avaient trouvé la situation tellement délicate qu’ils hésitaient quant à la décision à prendre. C’est le jour suivant, sur insistance de mes parents, dont un député, qu’ils ont décidé de faire une opération de mon cou. Je suis resté presque lucide. Oui j’étais presque vidé de mon sang.

Le miracle du Seigneur :

 Il fallait trouver du sang A+. Là encore ce fut un calvaire. Tout ce temps, je devrais attendre. Ce n’est qu’à 15h que l’on m’a transféré au bloc opératoire. J’en suis ressorti seulement à 20h. Le médecin qui m’a opéré fut surpris de mon endurance. Il m’a dit à deux reprises « ton Dieu est très très fort » je venais d’être sauvé par Jésus et c’est en ce moment que je me suis rappelé que j’avais fait un procès à Dieu. Je me suis confessé et j’ai pardonné à mon bourreau. J’ai ainsi vu jusqu’où Dieu peut nous sauver des situations.il m’a montré sa fidélité, et aujourd’hui je travaille en tant qu’assistant d’un député. Je ne cesserai jamais de lui être reconnaissant.

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Que Dieu vous bénisse !

Krismel Bamba