JÉSUS APPARAIT A UN JUGE MUSULMAN ET GUÉRIT SON FILS
Le pasteur Michel (nom changé pour des raisons de sécurité), marié et père de deux jeunes garçons de quatre et six ans, travaillait sans relâche et sans crainte à la construction d’une église clandestine au Moyen-Orient lorsqu’il a soudainement disparu.
Il y a deux semaines de cela, en effet, ce musulman converti au christianisme, a été contacté par la police religieuse qui avait trouvé ses coordonnées sur un tract portant son numéro de téléphone. Après l’avoir invité à le rencontrer, ce que le pasteur Michel a accepté, les policiers l’ont brutalement battu avant de l’emmener dans un lieu inconnu pour comparaître devant un « tribunal religieux ».
« Pourquoi as-tu quitté l’islam et être devenu un ministre chrétien ? » a demandé le juge lors de son procès.
Selon l’organisation Bibles for Mideast qui rapporte son témoignage, il a répondu ceci :
« J’étais un pécheur et j’ai eu toutes sortes de problèmes. J’ai également attrapé une maladie grave et suis devenu un patient mourant. Mais le Seigneur Jésus-Christ m’a sauvé la vie. Il m’a guéri et m’a aussi sauvé du péché et de la mort par sa crucifixion et sa mort sur la croix du calvaire. Il est ressuscité des morts et vit toujours. J’ai cru en lui et j’ai reçu le salut. Ensuite, le Seigneur Jésus lui-même m’a appelé à son ministère. J’essaye maintenant d’aider mes frères afin qu’eux aussi trouvent le salut. »
Le tribunal a ordonné qu’il soit emprisonné pendant 15 jours. On lui a dit que s’il ne retournait pas à l’islam, il resterait en prison encore deux ans, puis serait au service des autorités religieuses dans leur lutte contre le christianisme. Et s’il ne renonçait pas au christianisme, il serait tout simplement décapité.
Malgré ces menaces, le pasteur Michel a refusé d’accéder à sa demande, et il a été envoyé en prison où il a commencé à subir d’horribles tortures.
Le juge du tribunal avait deux fils et cinq filles. L’année dernière, il a perdu son fils aîné à 21 ans d’un cancer des testicules. Récemment, les médecins qui ont diagnostiqué la même maladie à son deuxième fils, ont abandonné tout espoir de le voir se rétablir. Le jeune garçon était donc couché chez lui, affligé d’une douleur insupportable en attendant de mourir.
Une semaine après avoir prononcé son verdict, le juge a été réveillé au milieu de la nuit par une voix puissante dans la chambre à coucher lui disant :
« Libère le pasteur de la prison ! Demande-lui de prier pour que ton fils soit guéri. »
N’appréciant guère ce qu’il avait entendu, le magistrat n’a pas tenu compte des paroles qu’il venait d’entendre.
Le lendemain, les souffrances de son fils ont dépassé la limite de ce qu’il pouvait supporter. Cette nuit-là, le juge a fait un nouveau rêve dans lequel il voyait une boule de lumière qui encapsulait des mots puissants se dirigeant vers lui. Les mots semblaient émaner de la lumière qui s’approchait de lui.
« Libère mon serviteur de la prison et demande lui de prier pour ton fils ! » a-t-il entendu pour la deuxième fois résonner dans la pièce. « Avec ses prières, ton garçon pourra être soigné et guéri. »
Cette fois-ci, le juge pensa que cela devait sûrement être l’œuvre de Satan qui essayait de tromper sa foi en l’Islam ! Il s’est levé, a lu des extraits du Coran et a prononcé la Sunnah Namaz, une prière rituelle faite dans des circonstances particulières.
La troisième nuit, le Seigneur lui-même est apparu devant le juge.
« Je suis Jésus, le Fils du Très-Haut », a proclamé l’homme en blanc. « Je suis mort sur la croix et je vis maintenant à jamais. Tu persécutes inutilement mon serviteur ! Libère le de prison. Ton fils sera guéri. Et accepte-moi comme ton Seigneur et Sauveur. C’est la seule façon dont toi et ta famille pouvez être sauvés de l’enfer. »
Puis Jésus a disparu. Entendant son fils qui hurlait de douleur, le juge se leva de son lit se précipita dans la chambre du jeune garçon où il vit sa femme et ses filles pleurer debout près du lit.
Il a alors révélé les détails de son rêve. Elles ont écouté ce qu’il racontait avec étonnement et le prièrent de libérer le pasteur et de le faire venir chez eux pour prier pour le garçon. Le fils malade s’associa à la supplication des femmes de la maison pour demander la même chose à son père.
Lorsque les autorités pénitentiaires ont reçu l’ordre imprévu du juge, elles ont immédiatement libéré le pasteur et l’ont envoyé au domicile de la famille.
Le juge a alors rapporté tout ce qu’il avait entendu et vu et a demandé pardon pour la peine de prison et l’ordre d’exécution. Bien entendu, le pasteur Michel a accepté et a été conduit dans la chambre du jeune homme.
Il a commencé par partager la Bonne Nouvelle du salut en Jésus-Christ.
« Acceptes-tu Jésus comme ton Seigneur et ton Sauveur ? » demanda-t-il.
Le jeune homme malade a accepté immédiatement. Les autres suivirent, s’agenouillant et invitant Jésus dans leurs cœurs et leurs vies.
L’atmosphère resplendissante de sainteté, le pasteur Michel se mit à prier. Alors qu’il le faisait, tous furent remplis du Saint-Esprit. Le garçon a sauté de son lit et a commencé à danser, louant et remerciant Jésus pour sa guérison totale ! Tout le monde se réjouissait dans le Seigneur, la famille débordant d’une joie qu’elle n’avait jamais connue.
Le lendemain, le juge a amené le ministre du culte à son tribunal, cette fois pour le relâcher conformément au droit de la cour pénale. Les trois jours suivants, le pasteur Michel resta chez le magistrat, priant, jeûnant, enseignant la Bible et préparant les nouveaux croyants au baptême. Le quatrième jour, toute la famille a été baptisée.
Pendant que tout cela se passait, l’église du pasteur savait seulement qu’il avait été battu et emmené. N’ayant plus entendu parler de lui depuis sa disparition, les chrétiens s’étaient immédiatement lancés dans une période de prière concertée et de jeûne.
À un moment donné, sa femme, épuisée par la prière persistante, le jeûne et une inquiétude compréhensible, est tombée gravement malade. Les croyants l’ont emmenée à l’hôpital où les médecins ont commencé à la soigner et ont découvert qu’elle portait le troisième enfant du couple.
Elle reste aujourd’hui à l’hôpital, en convalescence, mais avec son mari à ses côtés. Le pasteur Michel, qui travaille avec Bibles for Mideast, a exprimé sa gratitude à tous ceux qui ont prié pour sa libération et le rétablissement de sa femme. Il prépare maintenant la prochaine cérémonie de baptême qu’il avait déjà programmé avant d’être finalement emmené dans un lieu inconnu. Les fondamentalistes locaux pourraient bien tenter de lui causer des problèmes et reprendre la persécution de ce pasteur et de l’église qu’il aime et dirige.